Échos de l'enfance : Le Jeu Insouciant

Dans les méandres de l'enfance dorée,
Dans les rires insouciants des jours passés,
Un poète s'est éveillé, un rêveur éternel,
Capturant l'essence de jeux éphémères et réels.

Tel un papillon aux ailes colorées,
Il virevoltait dans son monde enchanté,
Ses mots, des joyaux parsemés dans l'air,
Racontaient l'histoire d'un bonheur à foison, à partager.

Les cerceaux tournoyaient, la corde à sauter s'envolait,
Les billes roulaient, le ballon rebondissait,
Et dans ces jeux simples, son cœur s'épanouissait,
Il était le roi de ce royaume où l'enfance dansait.

Les étoiles étaient ses guides, la lune son témoin,
Il chantait avec les oiseaux, il s'inventait des destins,
Imaginant des mondes cachés derrière chaque coin,
Où la réalité et la fantaisie se mêlaient sans fin.

Mais le temps, comme un voleur, s'est échappé,
Emportant avec lui cette pureté tant aimée,
L'enfance s'est évanouie, laissant place à l'âge adulte,
Et le poète a gardé ces souvenirs en occulte.

Pourtant, dans chaque vers qu'il écrivait,
L'âme de l'enfant dans son cœur perdurait,
Il capturait la magie des instants révolus,
Dans des mots qui réchauffaient les âmes éperdues.

Ainsi, ce poète connu par ses chants d'antan,
Transmettait aux générations son doux chant,
L'enfance, l'insouciance, le jeu sans fin,
Dans son poème, immortel, pour toujours enclin.

Car l'enfance ne meurt jamais, elle reste en nous,
Comme une étoile qui brille même dans le plus sombre des ciels,
Et le poète, avec ses mots, nous rappelle,
Que l'enfant en nous, toujours, se réveille.