La «fièvre» publicitaire qui touche désormais les espaces urbains dans les diverses localités de haute Kabylie tend à revêtir un caractère d’anarchie, notamment dans la ville des Genêts et ses environs.
En effet, l’emplacement de certains de ces écriteaux publics et privés n’obéit à aucune norme connue. Un état de fait qui se traduit sur le terrain par l’occupation sauvage de certains trottoirs par les porte-panneaux et l’agression du rayon de visibilité sur les deux bords de la chaussée par la succession des panneaux. Dans le même contexte, ce sont des lampadaires qui sont utilisés pour la fixation des écriteaux. Cette réalité, qui prend une plus grande ampleur depuis près d’une année, semble totalement ignorer les textes réglementaires qui régissent l’activité publicitaire. Des débordements favorisés essentiellement par le manque d’initiative à propos des emplacements choisis pour la publicité: il s’agit, entre autres, des grandes façades de bâtiments et des ensembles bâtis qui pourraient abriter ce genre d’affichage.
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Posté Le : 30/07/2006
Posté par : hichem
Ecrit par : Mohand Maokli
Source : www.quotidien-oran.com