Réflexion l’encre de la mémoire
Le jour où la conscience deviendra l’esclave et l’ennemi de la morale,
CE JOUR LA?
La dignité sera en larme, l’honneur un vieux tissu accroché sur un vulgaire éventail,
L’humanité trouvera le mensonge sain, elle fuira la vérité craignant son visage blême,
Elle incriminera la morale de blasphème, condamnant le passé comme un vulgaire emblème,
La honte fera de son image sa devise, la plus grande valeur de sa noblesse,
Le mérite d’être à ses cotés sera une fierté, et non une vulgaire de parenthèse,
Telle une rivière noire qui coule dans les veines qui fend le cœur déprimé,
Comme des larmes de souffrance qui coulent profondément et creusent l’âme abimée
Que dire, que faire, dans cette société où l’arme redoutable est la psychologie,
Où le Mal, inattendu, peut venir de l’amour d’une mère, comme le plus grand des dangers.
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Posté Le : 31/10/2012
Posté par : litteraturealgerie
Ecrit par : mokrane ait lounes aliace M N F