Tizi-Ouzou - Données générales


Ath Douala ( Larbaâ en kabyle ) commune et daïra de grande Kabylie située dans nord de l'Algérie à laquelle sont rattachés plusieurs villages .

Etymologie

Le nom Larbaâ est le mercredi de la semaine (en Kabyle) est attribué à cette petite ville à cause du marché (souk) qui y a lieu chaque mercredi et vient par la suite Beni-Douala que lui a attribué l'administration arabe et qui désigne les gens de Douala.


Géographie

Ath-Douala est peuplé par près de 70.000 habitants.

Elle est située à 17 km de la ville Tizi Ouzou et à 35 km de la mer Méditerranée. Elle se trouve aux sommets de collines au cœur des montagnes à une altitude de près de 850 mètres. Sa disposition sur la montagne est faite de manière longiligne, ce qui fait que sa superficie reste considérablement réduite.


Histoire

Les origines de la petite ville sont le souk qui rassemblait les gens des différents village de la région chaque mercredi de chaque semaine ainsi que les lieux de culte de religion, la ville appartient principalement aux ath-vuyehya, ces derniers sont les gens habitant le village nommé At-vuyahya qui était le village le plus proche du souk.

Le 25 juin 1998, le chanteur revendicateur de la culture et identité berbères Lounès Matoub a été assassiné à 'Thala bounane' lieu situé à 5 km de la ville de Tizi-ouzou.

Le 18 avril 2001, un jeune lycéen Massinissa Guermah, amené puis détenu dans la gendarmerie d' At-Douala était mal traité puis percé, par mégarde mais aussi par mépris du gendarme responsable, d'une balle qui lui à causé une hémorragie interne, le jeune était évacué à l'hôpital et succomba le lendemain de l'incident ; ceci déclencha l'insurrection kabyle, les émeutes, des incidents connus sous le nom de Printemps noir se sont déclenchés dans toute la Kabylie causant la perte de beaucoup d'âmes et une autre considération du monde et du gouvernement algérien pour la Kabylie.


Sport

Football : Le NRBBD présidé par Drouche Ramdane et l'OCAD : les deux clubs évoluent dans la division wilaya de Tizi-ouzou. Des tournois inter-villages de foot-ball sont organisés chaque été et se jouent entre les seize villages qui sont rattachés à la commune, par exemple : 'Thaddart-ouffela' le village de mois apprécié de la région et dont l'équipe est l'OTO qui a sauvagement triomphé pendant ces deux dernières année en causant beaucoup d'ennuis. At-Douala garde toujours en mémoire les réussites des tournois des années 1990 notamment celui de 1995 organisé par l'association ASAM d'Ait Masbah. La finale de ce dernier fut animée par l'ASCAB d'Ait Bouyahia et l'ASTK de Thala Khlil et fut remportée avec mérite par la première équipe. L'année de 1996 fut marqué la fameuse édition du village d'Ait Bouyahia (tenant du titre) que l'histoire, de cette localité, a gardé comme un exemple de réussite sur tous les plans. La victoire y est revenue pour la première fois dans l'histoire à un petit village en l'accurrence : Ath Idir face à Thamaghoucth, l'autre finaliste qui n'a, à juste titre, pas démérité.


merci pour tous les intervenants.... je me ferai un plaisir de rendre visible et lisible mes vérités s'agissant de toutes ces interventions sous-citées dans le domaine sportif au niveau de beni douala. respectueusement.
noeud de cravate - chomeur de luxe - tizi ouzou, Algérie

06/08/2012 - 37448

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Bonjour, Quelqu'un pourrait'il m'indiquer si le village de Sebaou-El-Kedim (grande Kabylie) n'a pas été renommé. Je tiens à préciser que ce village est occupé uniquement et principalement par la famille Friha. Il se situe prés du sebaou et d'une route nationale qui va vers Draa-Ben-Khedaa,. Je vous remercie par avance
MEYER Ouerdya - adjoint administratif - COLMAR, France

27/09/2011 - 19934

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Je me souviens très bien de mon professeur de psychologie quand j’étais étudiant, et je suis certain que mes camarades se souviennent, eux, aussi. A chaque cours, il nous disait cette bonne phrase : « l’expérience est l’ensemble des erreurs corrigées.» Dans ce monde d’Internet on rencontre dans divers sites beaucoup d’articles du genre et qu’ils sont plus sévèrement critiqués. Boudali, vous nous avez fait rappeler un poème de Simane Azem, merci. Moi aussi, j’évoquerai un proverbe kabyle qui dit : « awal ay tifarroun d awal » la mésentente verbale s’arrange par la bonne parole. Certes, Dieu notre Seigneur Suprême, fait et fera éternellement son affaire, mais plutôt on doit l’implorer pour qu’il nous pardonne tous et nous ouvre les yeux pour voir un avenir meilleur plein de joie et de prospérité. Respectivement.
Le sage - Tizi-ouzou
24/12/2008 - 2404

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De passage de visite d’un Blog j’ai retrouvé à peu prés le même article que je lis dans ce site, mais celui du blog est un extrait ou il a indiqué le lien duquel a été reproduit (site de wikipedia). Alors quand j’ai cliqué sur le lien je retrouve un autre article du même sujet mais qu’il a été modifié. C’est absurde, je deviens fou ou quoi ! Mais je me rend compte finalement que Wikipédia est une encyclopédie libre d’Internet, c’est-à-dire que l’importe qui peut modifier les paragraphes et à tout moment. D’ailleurs si vous entrez dans le site : http://fr.wikipedia.org/wiki/Beni_Douala vous trouverez cet article sur Beni-Douala différent de celui déjà posté sur www.vitaminedz.com. Il faut savoir que pour décrire une région avec tous ses aspects géographiques, historiques, culturel, social et économique, nécessite évidement quelques recherches référentielles et aussi de prendre soin de ne pas se tromper facilement en ridiculisant le contenu. Slimane Azem Ath irhem Rebbi, dans l’un de ses poèmes, dit : Ih ya lqarn rbaâtach Ghaven yizmawen Saâben yemchach Ih ya lqarn rbaâtach Ggugmen yamgharen Haddren warrach Au quatorzième siècle Quand les lions disparaissent Les chats deviennent intransigeants Et quand les vieux sages sont muets C’est les gamins qui en parlent Je ne sais pas, peut-être ces articles ne sont que des scénarios pour inciter les internautes aux débats critiques pour une construction évolutive intellectuelle ? Toutes mes excuses, c’est vrai, parfois on en a envie de vomir ; mais une fois qu’on a vomis, on poussera un soupir de soulagement et on sentira une bonne fraîcheur, puis on ouvre les yeux et on verra que Dieu le Tout Puissant fera son affaire. C’est le Darwich Boudali qui vous le dit ! Merci à Tous et surtout à Vitaminedz.com Amicalement, Aboudali
Aboudali - Derviche - Alger
18/12/2008 - 2367

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En terme urbanistique, ue ville érigée comme sous prefecture ou commune dans une province quelconque, doit être dotée d'un PDAU ( Plan directeur d'aménagement urbain). Ce schema directeurindique dicte les commodités primordiales d'une cité urbaine proprement dite: les boulevards, les routes avec numérotation, les emplacement des infrastructure de base, les institutions reprensentants la souveraineté de l'etat et les assise foncieres, c'est-à-dire les terres relevant du domaine publique déstinées à l'extention d'une ville par rapport à sa croissance demographique qui va avec l'evolution economique et autres domaines...etc. Un village a son aspect urbanistique mais archaique, qu'on peut assimiler téoriquement à une ville. prenant exemple, le boulevard dans une ville ou on l'imagine comme ruelle dans un village, les routes c'est les sentiers, les batiments c'est les maisons, les salons de thé c'est les cafés maures, les ecoles c'est les zaoyuias ou petit local servant l'apprentissage du saint Corant....etc. Maintenant Si Larbaa de Beni-Douala que je ne connais pas d'ailleurs puisque je ne suis pas de la region, est un village dont l'auteur de l'article comme il le pretent, ça pourrait être le cas, sinon une ville au sens moderne du term devra être automatiquement peupler par différentes couches soçiales, quelque soit leurs origines. Je n'ais pas encore visité Larbaa de Beni-Douala, mais j'ai hate d'en faire un tour un jour avec mes petits enfants, et j'aurai l'occasion de visiter Akal berkan et les tombes de mouloud Feraoun et de Matoub Lounas. Grand salut aux Ait-Douala. Intimement Samira
Samira - Urbaniste - Tizi-Ouzou
16/12/2008 - 2357

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Ton article sur le sport a Béni Douala et surtout sur les tournois de cette région est incencé surtout concernant le village de Taddert Oufella et soutout l'OTO ,mon ami je te signales que L'oto produit le meilleur foot ball de la région elle contribue au bon déroulement de ces tournois et a une ambiance et attire des foules dans les tribunes quand celle ci est le terrain , je comprend votre haine , meme QUAND UN CITOYEN de ce village offret des douches gracieusement a vos equipes il y en a qui trouve le moyen de les boyocoter je trouve votre article ridecule et vous de meme
Nmc - comérsant - Gonnese
03/11/2008 - 2130

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J’ai hésité d’intervenir avant d’écrire ce message, j’ai compris alors que l’article tiré de wikipédia est l’œuvre d’une ou plusieurs personnes qui se font des illusions en se proclamant que la ville de Larbaa de Beni-Douala appartient principalement au village Ait-Bouyahia. De ce fait, ma conscience m’interpelle afin de dénoncer ce genre de propos insignifiants au nom de mon village respectif et je tiens à informer les internautes que mon village ne s’est jamais considéré, en aucun cas, propriétaire ou maître des lieux, contrairement à ce qui est dit dans l’article tout en respectant les différents commentateurs quoi que accablants soit-ils et ce, dans le soucis de préserver le respect et la dignité de mon village et de tous les autres villages de la région. A méditer et à comprendre par les gents d’Ait-Bouyahia : Quant aux auteurs de l’article se constituent de trois personnages : le pharmacien, le polyclinique et Nassima l’infirmière ( pseudonyme de l’envoyeur de l’article). Ils veulent crée un royaume à Beni-Douala, un royaume des fous. Alors si votre folie n’est pas soignée par Vitaminedz, je ne sais pas est-ce-que c’est le pharmacien qui va soigner le polyclinique ou c’est l’inverse, ou bien c’est carrément Nassima l’infirmiere ( inéxistante) qui va s’en charger. Rassurez-vous, je ne ferais pas partie de votre caste et vous n’êtes pas de vrais fous, car les vrais ignorent tout sauf la raison « Amaslouv yassen thabbourth is », non plus moins fous, vous n’êtes que des idiots et imbéciles…………………………………. !!!!!!!??????????????????? Vive mon village et ceux de toute ma région de Beni-Douala. BouyahiaouiAnifi
Bouyahiaoui Anifi - fonctionnaire - Ait-bouyahia
25/10/2008 - 2080

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Louiza a raison de son appréciation, Beni-douala lui appartient, la daira et la mairie lui appartient, les batiments, les trottoires et les routes lui appatiennes, c'est la capitale du monde et le monde lui appartient. "Matchi dketch idi yichqan ayighadhen d'ath-Bouyahia d'irgazen ath nnif. Le jour ou les malheurs et malédiction tomberons sur vos têtes, vous invoquerez vos saints!!!!! Ayaghyoul, sale hypocrite de Merde!!! Hachakoum Rezki de Paris Etudiant
Rezki - Etudiant - Paris
21/10/2008 - 2061

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Je vie en france depuis quelques années avec mes parents et Je suis étudiante en sociologie fin de cycle. En Zappant sur Internet je retombe sur le site, comme par hasad je lie l'artice sur beni_douala que jai connu lors des me visvites avec mes parents en des occasions de Tachourt et en visitant aussi la tombe de Matoub Lounés que j'aime entendre ses chonsons et celle de Malika domrane,mais je m'aperçoi qu'il y a quand même plusieurs commentaires qui critiquent l'article. je constate moi aussi que cet article est bidon, n'y a-t-i pas à Beni-doula des intellectuels qui peuvent écrire un article digne de son contenu. c'est maron pour celui qui s'eclate d'orgueil en minimisant des villages pour que son village prend le dessus. c'est banale pour un homme qui nuit à l'image de la modesté de son village qu'il considére Roi! qu'il sache son auteur la modesté ne lui appatient pas, car la modésté est l'art des grands, pauvre homme, sale petite mouche collée sur la merde .... HACHAKOUM. Louiza, de Lyon
Louiza - Etudiante en Sociologie - Lyon
20/10/2008 - 2055

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-Je ne sais pas qui a utilisé mon pseudonyme ; mais de toute façon je dois dire que ce n’est pas moi qui ai écrit ce commentaire sur l’OCAD. Si son auteur voulait exprimer sa colère, il est libre mais non sous mon pseudonyme, mais d’autant plus, il n’a pas le droit d’accabler les personnes qu’il a cité. Moi, je ne pense pas que ces personnes avaient l’intention d’évincer Da Ramdane de la présidence de l’ancien club NRBBD, mais ils avaient plutôt la volonté d’enrichir la région par un autre Club, d’ailleurs c’est ce qu’il reconnaît à la fin de son commentaire. Donc, je dirais, peut-être, c’est le doute qu’il l’a emporté à s’exprimer ainsi. Je n’ai pas de doute de son amour pour sa région mais seulement il faut quand même un peu de civisme, et je souhaite qu’il utilisera dorénavant un pseudonyme autre que le mien. Pour la question de traiter le village de Taddert-Oufella de moins apprécié dans la région par l’auteur de l’article de Wikipedia, cela est mal poli et inadmissible, le village Taddert-Oufella est un grand village ayant ses qualités et ses défauts comme Ath-Bouyahia et tous les villages qui existent dans ce monde. Nous avons la même histoire qui nous unit, le meilleur exemple de notre union est la glorieuse révolution 54, alors faisant de même que nos valeureux martyrs. Nous devons partager nos joies et nos souffrances. Nous devons contribuer ensemble à développer notre région, qui de nos jours tous les regards sont planqués sur elle. Beni-Douala est de renommée mondiale avant et après les événements du printemps noire et grâce aussi à ses grands hommes tels que : Matoub Lounés, Mouloud Feraoun, Fadhma Ath-Massour, Imache Amar, Bedek Mohamed, Halata Mohamed dit Hadj moh Twiil, Bardous Maamar, Belghazli Moh Achour, Moh Smail Medjber, Hamdad Rachid, Kemem, Moh Cherbi, Himeur Mohand Arezki, Chemim Mokrane, Malika Doumrane, Zedek Mouloud, Amar Koubi, Cherif Hamani, Hamidi Said…..pour ne citer que ceux-la et la liste est longue. Alors, faisant de Beni-Douala la ville émancipée à la hauteur des ses hommes qu’on a cité. Cordialement.
naitslimane - enseignant - Beni-Douala
15/10/2008 - 2018

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Commentaire Sport Concernant le nouveau club du football de la commune de Beni-Douala, connue sous le sigle OCAD (Olympique club de Ati-Douala), apparaît les prémices de sa création lors du tournoi inter-villages à la charge de l’APC, confiée son organisation à l’ASAM (Association Sportive d’Ait-Mesbah) à l’occasion de l’inauguration du Stade communal en juillet 2006 . En effet , ce n’est qu’à la fin du tournoi, à l’approche du début du championnat de la division régionale de la wilaya de Tizi-Ouzou, que cette nouvelle équipe fut crée officiellement par des adversaires de Drouche Ramdane président du NRBBD, s’achant que ce groupe antagonistes qui sont des anciens dirigeants du NRBBD en position de force en opposition à Drouche Ramdane. Cette nouvelle équipe OCAD, ses fondateurs semble d’un apport de force politique puisqu’ils ont tout le soutien du P/APC Fekhar Amar et ses pairs élus et amis du FFS : SAM Marzouk, MEDJBOUR Mourad, FENEK Djamel et KLARE Salem…etc. Ce dernier ex. dirigeant du NRBBD, Journaliste couvrant les rencontres que dispute NRBBD, était auparavant bras-droit de Drouche Ramdane mais ésprit d’ambition et d’opportunisme le lacha en joindrant le groupe l’autre parti. Quelques mois plus tard, il devient cadre à la DJS (Direction de la jeunesse et des sports de la wilaya de Tizi-Ouzou), donc en voila les faits qui nous met en lumière de comprendre un coup d’Etat dans le but d’évincer l’ancien président du Club NRBBD pour prendre les regnes par cet ambieux KLARE, d’une part, et les élus FFS qui veulent chapoter même les composantes sportives de la région au seul buts de s’imposer politiquement contre le RCD et le FLN sachant d’ailleurs que Drouche Ramdane était partisan du FLN (fils de chahid). Outre le Zaimisme de Fekhar Amar croyant qu’il est le seul homme dans la region à redorer le blason de Beni-Douala. Qu’mpote dans tout ça, ce qu’il y a à rtenir de bon en dehors de ces calculs makiaviliques, c’et que la commune Beni-Douala s’enrichit par l’éxistance de deux club de football, spot favoris de la jeunesse, malgré le manque de résultats positifs auxquels elles sont habitués depuis longtemps. Quant à ce parasite auteur de l’article qui est citoyen du village Ait-Bouyahia (à ne pas généraliser, respect pour le village Ait-Bouahia) qui se vente au non de l’ASCAB en s’en prenant au village respectif de Taddert-Oufella et sa merveilleuse équipe OTO, en le traitant de moins apprécié, cela est la preuve de sa jalousie et son sentiment tribaliste, raciste, sectariste et diabolique. Je n’ai rien à ajouter, sauf vive l’union de tout les village Beni-Douala. Amicalement.
nait-slimane - journaliste independant - beni-douala
27/09/2008 - 1927

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Club sportif de Beni-Douala: Le club sportif coùmmunal de Bni-Douala (NRBBD) est le premiuer Club historique du fooot-ball de la commune de Beni-(Douala, bien qu'il existait avant sa création des clubs villageois comme OTO de Taddert-Oufella, l'ASTK de Tala-Khlil, CRIM de Ighil-Mimoun;Il faut noter aussi les autres Clubs des village de Taguemount-Azou, Agouni-Arous, Taourirt-Moussa, Aguemne et Tighzert à l'apoque ou Beni-Doual était commune mère. Le club NRBBD qui, représentant la région à l'echelle wilayale, a été crée en 1981 dont son président actuel fut menbe fondateur à l'epoque avec d'autres hommes tel que Gounane Hadj Arezki pour ne citer que ceux-la, bien évident avec l'aide du Maire de la commune de l'epoque je crois c'est Belarif et le soutient des joueurs de la Jsk à son organition sur le plan technique, on peut citer parmis eux: Iboud Mouloud,Belhadj, Derridj Mourad et Hareb... En 1982, le NRBBD a gagné le championa régional de wilaya, ce qui donnera le souffle d'espoir de suivre le parcours jusqu'à 1992 ou le club a monté à l'honneur des équipes de wilaya. Mais par la suite n'a connu de stabilité à cause d'influence politique de chaun des deux partis politiques RCD, FFS bien inplantés dans la région, s'ajoute les anciens du club qui se légiment pour leur appartenance au Parti FLN, et aussi pour d'autre considération d'apport de force et de préstige d'ordre villageois et sctariste, le club connait la descente au régional dew clubs wiaya. Actuellement le cub occupe souvent la 2eme et la 3eme place dans le classement régional de la wilya de Tizi-Ouzou. Nous en parlerons prochainement dans quelles conjoncture a été crée le deuxieme club de Beni-Douala OCAD. Cordialement .
rabah - enseignent - beni-douala
25/09/2008 - 1919

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L’événement le plus important dans l’histoire de la Kabylie, est l’insurrection générale de Kabylie de 1871, menée par Hadj El Mokrani et Aâziz fils du cheikh Aheddad, soutenu par ce dernier en proclamant le djihad jusqu’à chasser le colon français au delà de la mère. L’insurrection s’étendant même à d’autre région d’Algérie comme Msila, Boussaâda, Médéa, Sétif et Constantine. La réunion des Ath-Aissi s’est tenue à Larbaa Ath-Douala, le jour même du marché, c’etait les chefs des Ath Oukaci qui mobilisa la région avec l’influence d’un cheikh des Ath- Anan des Ath Zmeznzer qui proclamaient au Souk le djihad en expliquant ses causes. Des contingents importants se sont formés avec les Maathkas et les Ouadhis et ont pris part à toutes les batailles. Parmis ces Batilles celle d’Akal Aberkan (citée par l’historien Tahar Ouseddik, mouvement insurrectionnel de Kabylie 1871). Elle se deroulait sur les champs allant des limites de la mosquée d’Akal Aberkan jusqu’à Aman Iouraghen, mais le champs de bataille s’élargissait d’avantage vers Taguemount-Azouz, ou l’armée française à bombardé la mosquée de ce village. Ses habitants furent durement châtiés en raison de leur combattant farouche et qui se battaient pour l’honneur et la dignité. Les résultats de l’insurrection tout le monde les connaît, les conséquence se sont soldées par la perte de 30 000 hommes morts au combat, en plus des déportations des centaines de chef élites vers la nouvelle Calédonie, un île lointaine au delà de l’océan atlantique. Outre les maladies et épidémies, famine et misère ainsi l’impôt de guerre qui est affligé de force aux population dépossédés de leurs biens, de leurs hommes, de leur recoltes….. cordialement . A Suivre prchainement……………..
ait-slimane - journaliste - beni-douala
24/09/2008 - 1914

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L’événement marquant est celui de l’unification des tribus kabyles en confideration par Hadj Ahmed Zamoum, le chef de la tribu des Iflissen Oumellil des Isser, le souk de Larbaa vers la fin de l’année 1830 lors du siège d’Alger par l’armée coloniale française répond à l’appel de Hadj Ahmed Zamoum, pour prendre les armes et défendre la métidja. La réunion de la confédération des Ath Aissi s’est à Souk Larbaa, plus de 500 combattants volontaires armés de fusils sont mobilisés sous l’appel des chouyoukh au dhihad. (voir le tableau de l’organisation politique et milaire dréssé par Dumas en 1848, histoire d’algerie coloniale, dont il dénombre 500 fusils portés par les Ath-Aissi). Les Ath-Aissi soutenaient le lieutenant de l’Emir Abdelkader en Kabylie, il s’agit de Ahmed Tayeb Ousalem des Ath-Jaad de Bouira, épaulés par Belkacem Oukaci et Hadj Ahmed Zamoum. Les réunions des Ath-Aissi se tenaient tantôt au Souk Larbaa tantôt à Ighil g-Nnaren, la proclamation du Djihad est faite par Cheikh Adelsi, moqadem de la Tariqa Arrahmaniya à Ait-Aissi, il a été formé à la Zaouiya de cheikh Sidi mohamed Ben Abderrahmane à Ath-Smai de Bougni par le successeur de ce dernier, cheikh Ali ben Aissi, père de Lalla Fatma n’Soumer et époux de Lalal Khdidja.Il rayonnait la Zaouiya d’Akal Aberkan, Bâtit sur les lieu la mosquée d’Akal Aberkan connue autrefois sous le nom de El-Djamaa Adelsi, puis édifia une Zaouia au village Aith-Bouali et de même un mosquée. Ce cheikh originaire de Dellys etait un infatigable, proclama le djihad et rassembla des centaines de combattants volontaires des Ath Aissi et des maathkas et ouadhias. Il était à leur tête jusqu'à la reddition de l’Emir Abdelkader. Il choisit l’exil vers Damas avec quelques de ses compagnons, fin l’année 1947(il a été cité avec chikh Seklaoui des Ath-Irathen par Mohamed Seghir Ferradj dans Histoire de Tizi-Ouzou et de ses régions). Vers octobre 1856, le general Randan, avec son armée, était en route pour soumissionner la kabylie, arrivant à Larbaa des Ath-Douala, implante son camp sur la placette du marché. Les hommes du village deTaddert-Oufella alertèrent les villages du bas : Ighil-Mimoun, Ath-Yidir et Ath-Bouali. Ces derniers envoyèrent quelques hommes aux Ath-Yirathen leur demander des renforts de soutient pour combattre l’armée française, entre-temps le soir, la nuit, c’est les hommes de Taddert-Oufella qui commencèrent les attaques d’attentat contre le camp par surprise, en blessant un capitaine et tuant deux ou trois soldats. La réplique de l’armée fut farouche, Taddert-Oufella perdait quelques hommes. Le lendemain matin, les renforts des Ath-yirathen arrivèrent et tenaient un regroupement à Ighzer-Imoula, Ravin au coté bas de Tala-Khlil et Ath-Bouali, ils prirent l’union avec les hommes des Ath-Douala à Ighil g-Nnaren et ont attendu jusqu’à la tombée de la nuit. Au moment opportun, les attaques ne furent que commencer, durant toute la nuit des échanges de tirs se répètent, et il y a eu des pertes des deux cotés, jusqu’au lendemain nos contingents battaient en retraite. Les renforts des bataillants aux canons et cavaliers arrivèrent à partir de Beni-Aissi, après une pose de repos, l’armée en grand nombre commençait son offensive village par village. Le premier jour, ils lancèrent des couts de feu de canons sur le village Taddert-Oufella, brûlant les maisons, et les récoltes . Les repostes de nos rebelles étaient courageuses mais faible devant les grosses armes des français. le village fut assiégé. Puis de même pour les villages Ikhouchathen, Ighil-Mimoun, Ath-Yidir et en Fin Ath-Bouali ou l’armée Française menace de brûler le sanctuaire de leur ancêtre. Au même moment déjà des bataillants français se dirigèrent vers Adni, de loin, lancèrent leurs couts de canons en mettant des feux sur leurs champs d’oliviers, ce qui poussa les combattants des Ath-Yirathen à rejoindre leurs collines pour défendre leur région. Ainsi la soumission des Ath-Douala fut après dix jours de révoltes armée, de jours comme de nuit. Le chef du village Ath-Lhadj dit Hadj Slimane tente de soulever de nouveau les Ath-Mahmoud et les Ath-Douala mais cette tentative a été vite étouffée par l’armée coloniale. L’armée française satisfaite de la réussite de leur mission, rejoint leur caserne à Tizi-Ouzou. Le marché de Larbaa fut évacué et les corps des combattants morts sont enterrés dignement. (source : revue africaine de 1901, rapport du colonel Nil Robin sur la révolte des Ath-Douala). Cette révolte fut l’avant dernière, avant la chute de Larbaa n’Ath-Irathen en juillet 1857.
ait-slimane - jounaliste - beni-douala
24/09/2008 - 1913

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Histoire Les origines de la petite ville Larbaa doit son nom et son histoire à son soukn d’où le nom Souk Larbaa n’Ath-Douala (Le marché du Mercredi des fils de Douala), qui rassemblait les gens des différents village de la région chaque mercredi de chaque semaine ainsi, ce marché est chargé d’évements historique que nous développant plutard. Comme nous l’avons dit haut dans l’étymologie du terme Ath Dwala, le nom Douala indique l’ascendance des Ath-Douala qui sont descendant de l’homme qui s’appelle Douala et dont les origines est obscurs, mais le Ath-Mahmoud ont pour leur ancêtre Mahmoud, les Beni-Zemenzer ont pour ancêtre Zemenzer et les Beni-Aissi ont leur ancêtre Aissi , mais ce dernier est l’ancêtre de la tribu mère c'est-à-dire l’ancêtre commun des tribus qu’on a citées, ainssi nous pouvons prétendre que Mahmoud, Douala, Fayed (ancetre de la population du grand village Taguemount-Oukerrouche, Ath Amar Ou Fayed citée par des historiens comme Hanoteau et Léturneau, Nil Robin, Mouloud Gaid…) et Zmeznzer seraient les fils de Aissi. Ce dernier est le patron de toute la contrée de la grande tribu Ath-Aissi. On retient deux toponymes qui indiquent sa qualité de patriarche : Assif Aissi (Oued Aissi) qui se prolonge de Hemmam -Adni jusqu'à la fin des limites des maquis de Takhoukht ; et Ighil-Aissi qui consiste en une roche vénérée à Taguemount-Oukerrouche. C’est deux lieu nous indiquent précisément un territoire en extension occupé par Aissi, il serait être le premier qui a habité la région à une époque, peut-être, ou des berbères fuyant les menaces des invasions des tribus barbares arabes hilaliens. Ath-Aissi est cité par,ibn Khaldoun, parmi les tribus des Zouaouas occupant les massifs du djurdjura. La nous ne pouvons parler de l’histoire de Larba des Ath-Dwala sans en parler en générale de celles des Ait-Aissi, parce que de tous les temps Larbaa des Ath-Douala a été par excellence le centre d’attraction et si on peut dire la Capitale économique, politique, culturelle, organisationnelle et sociale des Ath-Aissi. Conformement à la memoire colléctive de nos anciens, il y a lieu de citer trois lieux ou se tenaient les réunions des amines des tribus des Ath-aissi : Souk de Larbaa, Taguemout-Oukerrouche et Ighil-g-Nnaren des Ath-Yidir et d’Ighi-Mimoun et Akal Aberkan à la mosquée dite Ldjamaa OuDelsi.
ait-slimane - journaliste - beni-douala
24/09/2008 - 1912

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Géographie Elle est située à 17 km de la ville Tizi Ouzou au sud-Ouest de la Wilay , et à 35 km de la mer Méditerranée. Elle se trouve aux sommets d’une créte (Tighit-Larbaa) au cœur des massifs montagneux de Agawwa, à une altitude de près de 850 mètres par rapport au niveau de la mer, Sa disposition est faite de manière longiligne, ce qui fait que sa superficie reste considérablement réduite. Au sortant de la ville on est vite impressionné par des rongées de mamelons verdoyants. Sa surface agricole est plus faible qui de 10% de sa surface globale, le reste est arbres et forêts, ce qui nous laisse à sentir une misère rapprochée avec extinction des retraités immigrés et ceux des moudjahiddines. Selon le recensement générale de 1998 la population de la commune s’éleve à 26000 habitants et celui de 2008 nous donne un résultat de prés de 33 000 habitants, soit une croissance 7000 habitants en l’espace de dix(10) années.
yuba II - journaliste - beni-douala
24/09/2008 - 1911

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Ainsi de ces faits, en résumé, il est judicieux de démentir le sentiment d’accaparement d’un bien commun (Larbaa n’Ath Douala) qui est la ville de tous les villageois de la commune de Beni-Douala et aussi des autres communes sœurs (Ait-Mahmoud, Beni-Aissi, Beni-Zmenzer) et même les Ath Abdelmoumen et Ihesnaouen qui faisaient partie de la Confédération des Ath-Aissi d’antan. Rendant chaque chose à sa juste valeur et débarrassons-nous de toute ces hypocrisies, car il n’est jamais trop tard de bien faire.
nait-Slimane - journaliste - beni-douala
24/09/2008 - 1910

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- Il existe une fontaine au village Ighil-Mimoun dite « Thala Ath Douala », la fontaine des descendants de Douala, son eau coule à merveille jusqu’à nos jours, bien aménagé, et que les villages voisins au moment des pénuries venaient s’approvisionner. Ce petit village est le plus respecté dans la région, car il est respectif et respectueux, alors qu’il était un grand village démographiquement dans le temps, selon les témoignages des anciens. Il est vraisemblablement l’un des villages les plus anciens des Ath Aissi. Ces donnés nous indique que l’ascendant Douala habitait ce coin avant qu’il devient sous le non de Ighil Mimoun et probablement les anciens du village Ighil-Mimoun serait les vrais premiers descendant de Douala d’où le nom de leur fontaine bien aimée. - Il faut bien citer qu’une secte du village Ath-bouyahia ont occultés plusieurs sources d’eau à Larbaa des Ath-Douala, volontairement ou involontairement n’ont pas le droit de s’accaparer ou ruiner des sources d’eau, s’achant que l’eau est une matière précieuse, vitale que Dieu Tout puissant nous a combler et doit être publique même si c’est dans un terrain privée que se trouve. Les gens de Larbaa se souviennent de ces belles et généreuses fontaines mais actuellement dévastées par le béton de quelques propriétaires. Le meilleur exemple frappant c’est la fontaine dite Thiliwa autrefois connue sous le nom « Amdun n’Ali Ou Slimane » fontaine réalisé par cet homme généreux d’Ath-Bouyahia pour tous les passagers et surtout les marchants vers le Souk qui venaient de loin faire boire leur troupeaux étancher leur soiffe, aux moments de chaleurs d’été était le petit paradis pour les populations ; mais, hélas, de nos jours elle a été ruiné en la déviant anarchiquement au contre bas de la route, n’est-ce-pas une manière d’occulter une source vitale offerte par le Miséricordieux, et malheur encore, la fontaine cachée devenait une toilette publique et un lieu de débauche. Et pour corriger cette erreur on revient pour la restituer à son état initiale en piquant un trou au niveau du mur du bassin apparent au coté haut de la toute pour que l’eau apparaît de nouveau à couler mais goûte à goûte. - Concernant la photos présentée sur le site et dont il est fait mention « vue sur la commune de Beni-Douala », il y a lieu de signaler que le paysage de la photos n’est pas la ville de Beni-Douala mais plutôt c’est le lieu dit Ighil prés d’Ichardiouen en allant vers le sud-ouest, bourgade de maisons d’habitation des familles du village Ait-Bouyahia et qui sont éloignées du chef lieu de commune d’environ de deux kilomètres ou plus. L’image a été prise de loin à partir de la mosquée d’Akal Aberkan. - Pour l’auteur de l’article dont quelques renseignements sont erronées, qu’il sache que le village Ath-Bouyahia a été fondé bien après plusieurs siècles que beaucoups de villages des Ath-Douala. La mémoire collective nous apprend que l’ascendant des Ath-Bouyahia ( formé des village Ath-Bouyahia, Amsiouene, Ath-Bouali et quelques familles à Taddert-Oufella et à Taguemount-Azou) est le Wali Sidi Abdellah U Hssen pas Abdellah ibnou Hassane, déformation arabisée du nom d’ailleurs qui est l’œuvre de quelque fanatiques marabouts panarabistes entre paranthéses, venu du village Igourés de la tribu AthYahia de Michelet autrement dit de la grande confidération des Ath-Manguellat, berceau du maraboutisme soufiste du 16eme et 17eme siecle, issue du mouvement confrérique des Zouaoua, ayant été formé à la timammart de sidi Ali Ou Taleb au village Koukou. Après la chute du Royaume de Koukou, les grands Machayikhs des confrérires décident d’organiser les villages de kabylies ssur les bases des enseignements de l’Islam et des coutumes ancestrales (berberes) de kabylie. C’est ce qui explique d’ailleurs cette propagation des marabouts dans toutes les regions et villages de kabylie. Sidi Abdellah Ou Hssen l’un des missionnaire chargé d’accomplir ça mission chez les Ath Aissi en amenant avec lui des adeptes des servivteurs qui était soldats à la forteresse de Koukou et qui se retrouvaient au chômage après la chute du royaume et de même pour leur procurer la protection des vengeances de la population du Aârch. S’installe à Akal Aberkan et fonda sa Timammart (zaouiya). Il choisit sa demeure au village actuel Ath-Bouyahia par nécessité d’existance de points d’eau pour y bâtir des maisons et travailler mes terres avec ses enfants et les dizaines de gents qui l’accompagnaient.
nait-slimane yugurthen - Journaliste - beni-Douala
24/09/2008 - 1908

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Voici l’article comment qu’il doit se présenter objectivement en introduisant des corrections et ajustements: Présentation de la ville de Beni-Douala La ville de Laarba de Ath Douala comme chef lieu de Commune de Beni-Douala, commune mère avant le découpage territorial de 1984, regroupait les Trois douar : Ath-Douala, Ath Aissi (Amarzi) et Ath Mahmoud et aussi Taguemount El Djdid. La commune de Béni-Douala est érigée en commune à l’instar des communes : Ait-Mahmoud, Béni-Aissi et Béni-Zmenzer qui fut rattachée à la daira de Beni-Douala erigée son statut de Daira à partir de l’année 1990. Etymologie La ville de Laarba de Ath Douala comme l’indique son nom, avant qu’elle soit crée comme petite agglomération prenant progressivement, avec le temps, l’aspect d’une petite ville qui se développe jusqu’aujourd’hui, doit son toponyme à l’existence d’un marché hebdomadaire qui se tenait chaque mercredi de la semaine. La création du marché de larbaa à été l’œuvre d’un commune accord entre les tribus formant la grande tribu des Ath-Aissi dont elles sont issues puis fractionnées avec le temps pour l’occupation d’un espace géographique dont les limites seront naturelles la separant par des ravins ( ighezrawen) des Tribus voisines telles que celle des ouadias au Sud, celle des Maatkhas à l’Ouest , celle des Abid Chamlal au nord et celles des Ait-Yirathen et Ath-Ouacif à l’Est d’ailleurs séparée par la Vallée de Aissi (actuel oued Aissi s’étendant jusqu'à Takhoukht). Mais l’étymologie du nom Douala est difficile à décrypter, nous savons que (Ath )veut dire les descendants, (Douala) peut être est le nom du fondateur de la tribu, à ne pas confondre d’ailleur avec le nom de la capitale du Cameroun qui veut dire tout autre chose ; d’ailleur l’auteur de l’article qui prétend que la ville de Beni-Douala appartient aux Ait-Bouyahia reléve de la fantaisie, de l’idéalisme fantôme et cela peut même entraîner la falsification de l’histoire de la région, tout mes respects pour les gens sincères de Ait-Bouyahia. Voila selon mes propres recherches que je considère plus ou moins précises jusqu’à preuve du contraire :
ait-slimane yugurtehn - journaliste - Beni-Douala
24/09/2008 - 1907

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Après lecture de cet article, je découvre un sentiment raciste et sectariste de son auteur qui affiche semble t-il son identité maraboutique fantaisiste et tribaliste qu’il n’aurait pas lieu d’être en ce troisième millénaire La ville de Laarba de Ath Douala comme l’indique son nom, avant qu’elle soit crée comme petite agglomération prenant progressivement, avec le temps, l’aspect d’une petite ville qui se développe jusqu’aujourd’hui, doit son toponyme à l’existence d’un marché hebdomadaire qui se tenait chaque mercredi de la semaine. La création du marché de larbaa à été l’œuvre d’un commune accord entre les tribus formant la grande tribu des Ath-Aissi dont elles sont issues puis fractionnées avec le temps pour l’occupation d’un espace géographique dont les limites seront naturelles
nait-slimane - journalier - beni-douala
23/09/2008 - 1898

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