Oh toi le cerveau, qui imagine au delà de toutes sortes d’illusions,
Toi qui pars en voyage à travers le temps dans cette vie d’équation,
Sans que je sache pourquoi tu m’amènes avec toi, telle une obligation,
Tel un nuage d’été tu apparais, tu disparais dans le futur comme dans le passé,
Où certaines images semblent tellement réelles que l’on peut les effacer,
Parfois un cauchemar qui brûle le cœur, d’une souffrance gelée par la peur,
Où d’amour tellement pur, celui d’une joie d’aimer dans le jardin du bonheur,
Parfois tu deviens un petit orphelin, tu ne cherches point à comprendre les tiens,
Ou alors tu te transformes en diable avec cette haine qui coule dans tes veines,
À suivre.
voici une pub du premier manuscrit la légende Berbère, juste pour information, l édition de ce premier livre a été financé par la société ou je travaillai. une pub que voici, avait également financée santé sagesse ait lounes.
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Posté Le : 01/01/2019
Posté par : Mokraneaitlounes
Ecrit par : Mohand Amokrane nazef
Source : Azul Felawenn, le cerveau peut-il un jour devenir maître du Corps.