Les escaliers de la ville, comme les décrit si bien notre confrère Amar Belkhodja dans son livre «Tiaret mémoire d'une ville», ne font plus honneur à leur longue histoire et semblent ne plus émouvoir personne dont les autorités communales.
Avec le temps, la décrépitude les a rongés au point de menacer la sécurité des passants qui les empruntent quotidiennement. Indispensables pour gagner le centre-ville à la rue Emir Abdelkader (ex-rue Bugeaud) ou descendre jusqu'à la rue de la Victoire à proximité d'«El Blaça» et du marché couvert vers où convergent beaucoup de monde, les escaliers dits «Ba Salem», baptisés à l'indépendance Mokhtar Okacha, tombent en ruine et leurs marches laissent entrevoir des trous béants qui risquent de coûter cher aux usagers. La même situation est vécue à un degré moindre par ceux dits «Droj El Hedid».
pauvre tiaret si c'etait que les escaliers les trottoirs sa irait le probléme c les voleurs les responsable les tiaretien parle et les parachuter ruine la ville
mokhfi farid - bordeaux, France
01/04/2013 - 86694
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Posté Le : 06/03/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Fawzi Amellal
Source : www.elwatan.com