On vous le dit

- Saisie d'armes à feu à RelizaneSix carabines et un fusil de chasse ont été saisis par les éléments de la sûreté de Oued R'hiou, a-t-on appris de source sûre. En effet, mettant à profit une information parvenue à leur service dénonçant la détention illégale de ces armes, les policiers se sont déplacés au lieu indiqué, soit le douar Khelaifia dans la commune de H'madena, et ont arrêté les trois présumés propriétaires de ces armes. C'est dans un puits d'une profondeur de 15 mètres que les hommes en uniforme ont retrouvé les armes.Une quantité de 50 kg de baroud et un lot de matériel destinés à la fabrication d'armes et de munitions ont été aussi saisis. L'enquête est toujours en cours dans l'espoir de découvrir d'autres lots et l'arrestation d'autres complices. Il est à souligner que cette affaire a éclaté la veille des festivités de la waâda du saint patron de la région qu'organise annuellement la tribu de Akarma, une étendue qui regroupe la population des communes de H'amdena et Oued Djemaâ.- Sur le point d'accoucher, une femme décède à l'hôpital de BoufarikUne femme de 37 ans, qui s'est présentée récemment à l'hôpital de Boufarik pour accoucher, est décédée quelques instants après son arrivée à l'hôpital. Selon une source hospitalière, sous le couvert de l'anonymat, la victime, dont la grossesse était à terme, s'est présentée à maintes reprises à l'hôpital dans le but d'accoucher, mais elle n'a pas été prise en charge en dépit des fortes contractions qu'elle ressentait. Elle a dépassé ses neuf mois de grossesse.«C'est son bébé qui est mort le premier dans son ventre, puis ce fut son tour», a-t-on dit. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de ce drame, même si on parle déjà d'un flagrant dépassement que connaît l'hôpital de Boufarik. Cet établissement assiste quotidiennement à un «rush» de patients et a beaucoup de mal à répondre à la forte demande de ces derniers venant de Boufarik et de sa région.- Un jeune meurt par noyade à BoumerdèsUn jeune de 27 ans a trouvé la mort par noyade, hier, à Boumerdès, a-t-on appris de source locale. Il s'agit de B. H., originaire de Chabet El Ameur, à l'est de la wilaya, ajoute la même source. La victime s'est noyée au moment où elle se baignait avec ses camarades à la plage de Sghirate. Son corps a été repêché par les éléments de la Protection civile et a été acheminé vers la morgue d'un hôpital de la région. Par ailleurs, depuis le début de la saison estivale à Boumerdès, les services de la Protection civile ont enregistré huit morts par noyade et secouru près de 3000 baigneurs au cours des interventions au niveau des 34 plages autorisées à la baignade.- Plus de 300 oliviers ravagés par le feu à SkikdaPlus de 300 oliviers et 450 bottes de foin ont été ravagés par le feu dans la wilaya de Skikda depuis le début du mois de septembre, a-t-on appris hier auprès de la Protection civile. Pas moins de huit incendies se sont déclarés depuis le début de ce mois dans les communes de Aïn Bouziane, Tamalous, Es Sebt, Ramdane Djamel, Sidi Mezghiche, Cheraia et Skikda, a précisé la même source, faisant savoir que 200 oliviers ont été détruits incendiés dans la seule commune de Cheraia, dans la daïra de Collo.Ces sinistres ont également provoqué la destruction de plus de 450 bottes de foin dans les localités de Sidi Mezghiche et de Ramdane Djamel, a encore indiqué la même source, ajoutant que les feux ont également ravagé 10 hectares de maquis dans les localités de Ramdane-Djamel, de Es Sebt et de Aïn Bouziane, ainsi que 6,5 hectares de broussailles dans les communes de Skikda et de Cheraia, en plus de 30 arbres fruitiers dans la zone de Sidi Ahmed, au chef-lieu de wilaya.- Un receveur des PTT réprimandé par le directeurCela s'est passé hier matin à la poste de Ruisseau (commune de Belouizdad). Le directeur des postes et télécommunications de la wilaya d'Alger a réprimandé la receveuse devant tous les usagers. Le motif est lié au nombre important de personnes en attente devant les guichets. Un comportement qui a été mal perçu par les présents.Alors que le directeur ne s'est guère soucié de la situations des travailleurs qui exercent dans de mauvaises conditions dues aux travaux lancés sur place depuis plusieurs mois. Ce qui a fait que la poste de Ruisseau s'est transformée en chantier. Des désagréments qui ont provoqué une véritable anarchie.