En marge de la présentation de la 5ème phase de l’étude (Dossier: Aire protégée Bougaroune-Oued Zhor à Skikda), M. Moali, coordinateur principal et professeur d’écologie à l’université de Bejaïa a tenu d’abord à revenir sur la proposition d’intégrer la commune de Collo dans l’aire à protéger: «Il est vrai que Collo a un cachet particulier au vu de son statut de grande cité d’abord et surtout au vu du potentiel naturel inestimable dont elle dispose».
Revenant par la suite à l’esprit même de l’étude qu’il a coordonnée, M Moali dira qu’au départ «on s’est essentiellement intéressé à la nature et à sa préservation, mais on ne pouvait occulter le volet humain qui ne peut être dissocié de toute approche, écologiquement durable».
Il fera aussi savoir que le volet marin reste lui aussi indissociable et de rajouter que d’autres études plus élargies auront à concerner la côte de cette aire.
Au sujet des actions qui restent encore à mettre en pratique pour enclencher effectivement le processus de protection de cette aire, il fera remarquer qu’une fois l’étude validée dans sa globalité, les pouvoirs publics prendront le relais pour proposer au ministère de l’environnement de classer cette aire soit en tant que Parc naturel ou en réserve naturelle.
K. O.
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Posté Le : 19/11/2014
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Photographié par : Photo: skyscrapercity.com ; texte: K. O.
Source : El Watan.com du mardi 18 nov 2014