Skikda - Affaires judiciaires

la mafia judiciaire de skikda spolie une immigrée de sa maison



la mafia judiciaire de skikda spolie une immigrée de sa maison
Une veuve immigré âgée de 77 ans, spoliée de sa maison par un médecin avec la complicité du tribunal de justice de Skikda, lance un appel à l’aide digne d’une séquence de film sur les agissements de la pègre la plus cruelle qu’il soit.



Une femme victime de l'injustice à Skikda. Une femme victime de l'injustice à Skikda.



Celle qui sévit dans les pays sans Etat, sans justice et sans aucune moralité collective, ou la société est livrée à elle-même dans un état de non droit, dont la raison du plus fort est la seule expression qui fait loi.



Désemparée, Madame Abdelbaki s’est plainte de cette ignoble injustice dont elle est victime aux autorités d’Alger, au consulat d'Algérie de Lyon, à la presse et à tout ce qui pourrait constituer à ses yeux une autorité morale. En vain ! Ses cris de détresse se sont perdus dans les échos de la déliquescence de l’Etat et de ses institutions et de l’immoralité ambiante qui s’est emparée des valeurs de la société et de la déontologie de la presse qui est préoccupée principalement par le renflouement de ses caisses. Car aucun titre de la presse nationale n’a voulu médiatiser cette violation abjecte du droit à la propriété.



Aujourd’hui, Madame Abdelbaki ne sait plus quoi faire, ni à qui s’adresser pour se faire justice de son bien spolié. Cela fait bientôt 10 ans, depuis le décès de son mari survenu en 2004, qu’elle essaye de récupérer sa maison sise à Skikda cité Bouyala, qu'elle a acquise au prix de nombreux sacrifices et de travail pénible qu’elle exerçait avec son mari dans l’exil. A l’âge de 77 ans, elle ne peut même pas rentrer chez elle dans son pays et regrouper ses enfants et sa famille autour d’elle dans la sérénité familiale pendant les quelques années qui lui restent à vivre. Pendant ce temps, d’autres, en toute violation du droit à la propriété, dans l’impunité totale et avec la complicité des autorités judiciaires, vivent dans une maison qui ne leur appartient pas, sans autorisation des propriétaires, ni contrepartie financière.



Cela ne semble déranger, ni inquiéter personne. Madame Abdelbaki se heurte à un vrai mur de hogra. Le tribunal civil de Skikda refuse de lui restituer sa maison, avec en prime de subir insultes et violences de la part du médecin spoliateur de son bien.



Malgré une somme considérable dépense en faisant appel à plusieurs avocats, malgré la possession de tous les documents de propriété en règle et malgré un jugement en sa faveur en 2011, qui par un tour de magie a été détourné en sa défaveur, Madame Abdelbaki vient encore une fois d’être déboutée ce mercredi par la pègre judiciaire de Skikda, du médecin et de ses réseaux mafieux qui sévissent sur la région en prenant en otage sa justice et les biens de ses habitants.



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