Oran - ECONOMIE

LES QUALITÉS D’UN BON COMMERCIAL (suite)



C'est un excellent coéquipier : dans l’entreprise, il fait partie d’une équipe. Si son entreprise a des problèmes, ce sont ses problèmes et il doit contribuer à leur résolution. Quand son entreprise échoue à satisfaire son client, c’est lui qui a échoué.
Il a de l’enthousiasme : l'enthousiasme est une sorte de passion communicative, il induit chez les autres un phénomène similaire, il entraîne l'adhésion. Il met de la vie, de la flamme dans ses actes et dans ses paroles afin de faire réagir ses contacts.
C’est un persévérant: la persévérance, c'est le courage renouvelé chaque jour, le travail de fourmi, la ténacité dans l'effort qui fait le fait accrocher à toutes les affaires à partir du moment où il a décidé de les mettre dans son collimateur. Le courage pour le vendeur, ce n'est pas seulement surmonter les difficultés, c'est savoir les analyser, en tirer les enseignements et repartir de pied ferme, recommencer.
Il est organisé et méthodique : le bon commercial doit concilier quantité et qualité dans sa vente. Il doit trouver le temps de tout faire et de le faire bien car nous sommes au siècle de la course contre la montre. Le seul moyen efficace est de s'organiser, d'être méthodique.
C’est un psychologue : être psychologue, c'est être apte à comprendre, à prévoir les comportements, apte à connaître les sentiments, les états de conscience d'autrui.
Il est compétent : le bon vendeur doit bénéficier d'une triple compétence technique : Connaissance technique de la branche d'activité (produits, marché, concurrence, clientèle, etc..) ; Connaissance technique de la vente (méthode) ; Connaissance technique de gestion et d'économie.
C’est un optimiste : c'est une tournure d'esprit qui dispose à prendre les choses du bon côté, en négligeant leurs aspects fâcheux, c'est voir le coté positif des choses. Exemple : Il y a ceux qui voient la bouteille à moitié vide et les autres qui la voient à moitié pleine.
Il a une bonne réputation : les bonnes réputations sont longues à établir, mais sources d'affaires durables et profitables pour les deux parties. Les mauvaises réputations sont comme les calomnies, des bruits qui courent vite, s'infiltrent partout, et qu'il est très difficile d'étouffer.
Il est présentable : qu'on le veuille ou non, lorsque deux individus se rencontrent, ils ont automatiquement l'un de l'autre une impression qui les amène malgré eux à porter un jugement. Cette première impression conditionne l'entretien et influe sur le résultat de la négociation. Rappelez-vous toujours : on n'a rarement l'occasion de faire une seconde première bonne impression.



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