MEMOIRE : Cheikh Djillali Ain Tédelès
MEMOIRE : Cheikh Djillali Ain Tédelès
Né le 9 septembre 1930 à Oued El Kheir, une plaine près d’Ain Tédelès, Djilali Kaious, plus connu sous le nom de Cheikh Djilali Ain Tédelès est le cadet d'une famille de cinq enfants. Son père Laid,
depuis 1929 aide cantonnier, poseur de rails puis surveillant de voie, exercera successivement à Sayada (ex-Pélissier), Kheir- Eddine (Ex Tounin) dans la région de Mostaganem et à Mansourah, une petite localité près de Tlemcen. En 1943, sa famille s'installera définitivement à Ain Tédelès, un village du littoral mostaganémois, dont il empruntera, pour sa carrière d'artiste, le nom. Le 5 juin 1955, il enregistrera ainsi trois de ses propres textes. : Ya el goumri saf richet, Mabrouk d’nhar el khatra et Ya fahmine nhikilkoum et deux du grand poète de Hillel( Relizane), Cheikh Charef Boukheira, décédé en Mai 1990 : Raidi liha Ourjaye et Skini ya m’ra. Il mourut le lundi 25 décembre 1995 à Alger et fut enterré dans son village natal
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 16/01/2016
Posté par : yasmine27
Source : reflexiondz