Mostaganem le 15/12/2008
Bentabet Mohamed
Inspecteur divisionnaire des douanes
( à la retraite depuis 2003 )
Cité E l-ferdaous n° 66 Chemouma
Mostaganem
A Monsieur le premier Ministre – Alger
Objet : Blanchiment d’argent , dilapidation de deniers publics , par les sociétés du « groupe Bouteldja » , transferts illégaux de devises et corruption .
Monsieur le premier ministre
J’ai l’honneur de venir respectueusement vous annoncer que les sociétés dites « Groupe Bouteldja » à Mostaganem appartenant au sieur Bouteldja Mohamed demeurant au 7 , rue Ahmed Benali , la pépinière Mostaganem ; siège social , zone industrielle souk-ellil , Ouled El-Bachir Mostaganem ont procédé à l’importation de nombreux camions , de matériels et de matériaux usagés , interdits à l’importation et non conformes aux normes et destinés à des projets qui n’ont jamais vu le jour en procédant aux transferts des devises fortes portant un grave préjudice à l’économie du pays .
Il s’agit là d’un crime économique et de 4 griefs . Obtention de crédits bancaires faramineux (1) , pour des projets fantômes ( carrière , logements ) qui n’ont jamais vu le jour (2) , et les transferts colossaux de devises (3) pour l’importation de la ferraille (4) .
En effet les camions et les moteurs usagés sont formellement interdits à l’importation au regard de l’article 68 de la loi de finances pour 1998 et pour lesquels le transfert a bien été effectué ; et il s’agit là purement et simplement d’un blanchiment d’argent aggravé .
Ces camions , remorques et semi remorques et autres matériaux divers été destinés à un investissement fantômes qui n’a jamais vu le jour et pour lequel d’énormes avantages fiscaux lui ont été accordés à tort , au préjudice de l’état et du trésor public lésé .
Ces camions et les nombreux matériaux usagés acquit en France au quai de la ferronnerie ? ont été vendus aux enchères publiques par l’administration des douanes à Mostaganem le 06 et 07 octobre 2008 au site dit « groupe Bouteldja » , aboutissement logique d’importations de marchandises usagées interdites à l’importation .
Les sociétés du « groupe Bouteldja » se sont distingués à Mostaganem par des importations massives de véhicules de marque « Volkswagen » de plus de 1500 véhicules et encore , en un temps record moyennant d’énormes transferts de devises fortes pour les stocker illégalement dans un terrain vague non agrée par l’administration des douanes , exposés à l’usure pour être ensuite livrés aux caprices de la nature , aux intempéries , à la dégradation , aux vols , à la rouille et enfin pour être vendus aux enchères publiques au profit des créanciers impayés , ou bien carrément livrés à l’abandon ou commercialisés frauduleusement sous immatriculation dite provisoire et nationalement connue – 00 – 27 -
Les sociétés du « groupe Bouteldja » continuent de saigner le pays et d’entuber les citoyens en important du Canada des navires de pomme de terre impropre à la consommation humaine destinée au Canada à l’alimentation des cochons et moyennant le transfert de devises et pour qu’elle soit ensuite déversée dans les décharges publiques .
Monsieur le premier ministre , ceux sont là des crimes économiques palpables et encore visibles à Mostaganem , commis par les sociétés fantômes du « groupe Bouteldja » composé de sociétés suivantes et dont la plupart n’existent pas : SACO , ETCM , STVM , STVO , SOVEPROAM , FAVEMAC , SOMOMA , SOFIEMCA léger , SOFIEMCA lourd , etc… , toutes en banqueroute et en faillite .
Monsieur le premier ministre , le sieur fraudeur Bouteldja Mohamed et son mandat Bourahla Abdelkader ont toujours accusé et diffamé par écrit monsieur le chef du gouvernement de l’époque d’être à l’origine de leur déconfiture et de leur faillite .
Veuillez agréer Monsieur le premier ministre , l’expression de mon plus profond respect .
Le citoyen dénonciateur : Md Bentabet
bentabet mohamed - cadre des douanes retraité - mostaganem, Algérie
15/12/2012 - 51039
Mostaganem le 01 décembre 2012
Bentabet Mohamed Inspecteur divisionnaire des douanes ( Ex : enquêteur à la retraite depuis 2003 )
- Aux organisations des droits de l’homme
- A l’opinion publique assoiffée de justice
- Aux médias
Objet : Corruption , injustice et violations des droits de l’homme à Mostaganem
Référence : Affaire Douane contre la société « Sofiemca » Mostaganem
Pièces jointes : un dossier complet sur facebook
Je soussigné monsieur Bentabet Mohamed , inspecteur divisionnaire des douanes à la retraite depuis décembre 2003 , je dénonce par la présente la corruption , l’acharnement judiciaire , l’injustice qui sévit à Mostaganem et les violations des droits de l’homme à mon encontre au vu et au su de tout le monde .
Synopsis des faits
En février 2001 , en ma qualité d’enquêteur assermenté , j’ai dénoncé dans un rapport écrit la corruption , le détournement , la fraude , l’évasion fiscale , la dilapidation des deniers publics , le blanchiment d’argent et le transfert illégal , commis par un groupe de sociétés fantômes à Mostaganem appartenant à la même personne . Le préjudice causé à l’état Algérien s’élève à 3000 milliards dilapidés sans aucun investissement . Une commission composée de cinq membres , tous cadres des douanes de Mostaganem a rédigé un procès verbal de constat le 12 septembre 2001 contre le P.D.G de la société contrevenante « Sofiemca » , importateur à l’époque de véhicules de marque Volkswagen et qui a été transmis à la justice avec le dépôt de plainte le 17 septembre 2001 avec toutes les preuves .
En mai 2002 le P.D.G contrevenant est " élu " député et de facto toutes les poursuites judiciaires engagées par l’administration des douanes à son encontre sont suspendues et en décembre 2003 il est encore désigné à Mostaganem comme directeur de la campagne électorale du futur président de la république . Le 16 décembre 2003 alors que je suis à la retraite , il profite des nouvelles données qui lui sont favorables et il charge par procuration une tiers personne , un intrus pour déposer une plainte hasardeuse truffée de faux et de mensonges contre X , dans le cadre de l’article 72 du code de procédure pénale pour attaquer en faux le procès verbal de constat du 12/09/2001 établi en bonne et due forme . Le sieur intrus a été autorisé à se constituer partie civile par procuration pour en tirer profit et obtenir dommages et intérêts et réparations .
Deux juges d’instruction différents chargés de ce nouveau dossier en 2004 puis en 2005 ont respectivement décerné deux ( 2 ) ordonnances de non-lieu au profit de X après deux instructions jugées infructueuses , il n’y a pas de faux et c’est la chambre d’accusation qui interjetait en appel les décisions justifiées de non-lieu pour relancer l’instruction de nouveau . Il s’agit d’interjections en appel contre nature relancées contre le trésor public lésé et contre les intérêts du pays et au profit des sociétés incriminées . La chambre d’accusation de Mostaganem a adoptée une attitude belliqueuse envers l’administration des douanes et envers le trésor public , elle a retiré le dossier au vrai magistrat instructeur chargé du dossier , déclaré incompétent et a entamée elle même une interminable instruction à charge à mon encontre qui a aboutit à mon inculpation brusque le 08 Aout 2006 . Elle m’accuse arbitrairement nommément Bentabet Mohamed , de faux et usage de faux sans jamais avoir été entendu auparavant de 2001 à 2006 et sans m’expliquer de quel faux il s’agit . La chambre a joué un rôle prépondérant dans mon accusation qui est intervenue à la tête du client . Les quatre autres membres de la commission qui ont rédigé avec moi le procès verbal de constat du 12/09/2001 n’ont jamais été convoqués ou entendus , encore moins impliqués ou inculpés . Mon accusation est une machination colportée par certains médias à la solde du P.D.G de « Sofiemca » . Mon accusation n’a rien à voir avec le droit . Je n’ai jamais fait de faux encore moins l’usage du faux .
La chambre d’accusation n’a aucune preuve probante contre moi , pour ce faire , elle fait appel à une interminable série de 12 experts judiciaires dont un expert du sérail parent de l’insolite personne partie civile , un expert marin taulard ayant séjourné en prison en 1970 pour malversations et deux experts maritimes , pour corroborer les accusations infondées énumérées sur sa feuille de route sur le présumé faux procès verbal de constat des douanes du 12/09/2001 . Au total 4 honnêtes experts ont confirmés le bien fondé du procès verbal des douanes , 4 experts ont suivi la feuille de route tracée par la chambre et 4 experts se sont courageusement abstenus de réponde à l’invitation empoisonnée . Dans son arrêt de renvoi daté du 22 juin 2010 la chambre d’accusation n’a pas pris en compte la réalité des faits , elle n’a pas validé la vérité , elle n’a pris en compte et en considération bizarrement que les expertises à charge de sorte que je suis renvoyé devant les assises par ouï-dire , c’est l’expert taulard et l’expert marin qui ont dit et qui ont décidé . La chambre n’a pas rapporté la preuve contraire condition sine qua non , nécessaire et obligatoire pour inscrire un procès verbal des douanes en faux .
Dans cette affaire dite « Sofiemca » le sieur PDG contrevenant a violé en matière de douane les dispositions des articles 75 , 109 et 156 du code des douanes et les textes subséquents , outre la violation de la réglementation de change et les nombreux et faramineux crédits bancaires qui lui ont été accordés à tort sans aucune garantie pour des projets qui n’ont jamais existés et dont il fait l’objet aujourd’hui , de poursuites judiciaires par les banques créancières .
Dans cette affaire préfabriquée , la chambre d’accusation qui m’a accusé à tort a violé les dispositions légales édictées par les articles 251 , 254 et 265 du code des douanes . Elle a violé les articles 5 , 72 , 75 et 536 du code de procédure pénale . Elle a violé les articles 22 , 34 , 45 , 46 , 140 et 150 de la constitution Algérienne . Elle a violé les articles 7 , 8 , 10 et 11 de la déclaration universelle des droits de l’homme . Le principe fondamentale sacré de la présomption d’innocence a été bafoué à Mostaganem , accusé à tort je dois prouver à cette instance mon innocence dix ( 10 ) années après les faits , au mépris de la loi qui stipule qu’un procès verbal de constat des douanes est limité dans le temps et dans l’espace .
Toutes les plaintes introduites contre moi par le sieur P.D.G de la société « Sofiemca » sont validées et actualisées et toutes mes plaintes contre lui sont invalidées et classées sans suites , même la plainte initiale de l’administration des douanes toujours d’actualité a été mise en veilleuse , une complaisance qui constitue outre mer un déni de justice . Plus de cinquante lettres adressées aux autorités politiques et judiciaires du pays par mes soins sont restées lettres mortes .
La longue procédure judiciaire entamée arbitrairement à mon insu et les mesures inquisitoriales entreprises par la chambre d’accusation à mon encontre sont une atteinte flagrante aux principes fondamentaux des droits de l’homme . La vérité a été confisquée et le fameux renversement du fardeau de preuves dont la chambre a injustement procédé à sa translation du contrevenant verbalisé auquel incombe la charge de prouver le contraire , au cadre verbalisateur des douanes que je suis qui bénéficie du bouclier de le loi , est une mesure anticonstitutionnelle entachée de faux .
Aujourd’hui aucun magistrat digne de ce nom n’en veut de ce dossier et de ce procès honni , il a été reporté par l’honorable président de la cour d’assises à trois ( 3 ) reprises sans raison valable , mais moi à la veille de la date du procès , j’irai passer la nuit en prison de sorte que j’ai séjourné en prison à trois ( 3 ) reprises . Je suis certes chez moi , mais c’est comme si j’étais dans le sinistre couloir de la mort à attendre ma propre exécution et ce , pour avoir dénoncer la grande corruption .
Dénoncer la corruption est un crime en Algérie et la justice est au service des fraudeurs corrompus , aussi je sollicite l’aide et l’intervention des organisations de droit et des médias indépendants pour faire valoir la vérité " assassinée " à Mostaganem .
Signé
Bentabet Mohamed
Mostaganem le 01 décembre 2012
Bentabet Mohamed Inspecteur divisionnaire des douanes ( Ex : enquêteur à la retraite depuis 2003 )
- Aux organisations des droits de l’homme
- A l’opinion publique assoiffée de justice
- Aux médias
Objet : Corruption , injustice et violations des droits de l’homme à Mostaganem
Référence : Affaire Douane contre la société « Sofiemca » Mostaganem
Pièces jointes : un dossier complet sur facebook
Je soussigné monsieur Bentabet Mohamed , inspecteur divisionnaire des douanes à la retraite depuis décembre 2003 , je dénonce par la présente la corruption , l’acharnement judiciaire , l’injustice qui sévit à Mostaganem et les violations des droits de l’homme à mon encontre au vu et au su de tout le monde .
Synopsis des faits
En février 2001 , en ma qualité d’enquêteur assermenté , j’ai dénoncé dans un rapport écrit la corruption , le détournement , la fraude , l’évasion fiscale , la dilapidation des deniers publics , le blanchiment d’argent et le transfert illégal , commis par un groupe de sociétés fantômes à Mostaganem appartenant à la même personne . Le préjudice causé à l’état Algérien s’élève à 3000 milliards dilapidés sans aucun investissement . Une commission composée de cinq membres , tous cadres des douanes de Mostaganem a rédigé un procès verbal de constat le 12 septembre 2001 contre le P.D.G de la société contrevenante « Sofiemca » , importateur à l’époque de véhicules de marque Volkswagen et qui a été transmis à la justice avec le dépôt de plainte le 17 septembre 2001 avec toutes les preuves .
En mai 2002 le P.D.G contrevenant est " élu " député et de facto toutes les poursuites judiciaires engagées par l’administration des douanes à son encontre sont suspendues et en décembre 2003 il est encore désigné à Mostaganem comme directeur de la campagne électorale du futur président de la république . Le 16 décembre 2003 alors que je suis à la retraite , il profite des nouvelles données qui lui sont favorables et il charge par procuration une tiers personne , un intrus pour déposer une plainte hasardeuse truffée de faux et de mensonges contre X , dans le cadre de l’article 72 du code de procédure pénale pour attaquer en faux le procès verbal de constat du 12/09/2001 établi en bonne et due forme . Le sieur intrus a été autorisé à se constituer partie civile par procuration pour en tirer profit et obtenir dommages et intérêts et réparations .
Deux juges d’instruction différents chargés de ce nouveau dossier en 2004 puis en 2005 ont respectivement décerné deux ( 2 ) ordonnances de non-lieu au profit de X après deux instructions jugées infructueuses , il n’y a pas de faux et c’est la chambre d’accusation qui interjetait en appel les décisions justifiées de non-lieu pour relancer l’instruction de nouveau . Il s’agit d’interjections en appel contre nature relancées contre le trésor public lésé et contre les intérêts du pays et au profit des sociétés incriminées . La chambre d’accusation de Mostaganem a adoptée une attitude belliqueuse envers l’administration des douanes et envers le trésor public , elle a retiré le dossier au vrai magistrat instructeur chargé du dossier , déclaré incompétent et a entamée elle même une interminable instruction à charge à mon encontre qui a aboutit à mon inculpation brusque le 08 Aout 2006 . Elle m’accuse arbitrairement nommément Bentabet Mohamed , de faux et usage de faux sans jamais avoir été entendu auparavant de 2001 à 2006 et sans m’expliquer de quel faux il s’agit . La chambre a joué un rôle prépondérant dans mon accusation qui est intervenue à la tête du client . Les quatre autres membres de la commission qui ont rédigé avec moi le procès verbal de constat du 12/09/2001 n’ont jamais été convoqués ou entendus , encore moins impliqués ou inculpés . Mon accusation est une machination colportée par certains médias à la solde du P.D.G de « Sofiemca » . Mon accusation n’a rien à voir avec le droit . Je n’ai jamais fait de faux encore moins l’usage du faux .
La chambre d’accusation n’a aucune preuve probante contre moi , pour ce faire , elle fait appel à une interminable série de 12 experts judiciaires dont un expert du sérail parent de l’insolite personne partie civile , un expert marin taulard ayant séjourné en prison en 1970 pour malversations et deux experts maritimes , pour corroborer les accusations infondées énumérées sur sa feuille de route sur le présumé faux procès verbal de constat des douanes du 12/09/2001 . Au total 4 honnêtes experts ont confirmés le bien fondé du procès verbal des douanes , 4 experts ont suivi la feuille de route tracée par la chambre et 4 experts se sont courageusement abstenus de réponde à l’invitation empoisonnée . Dans son arrêt de renvoi daté du 22 juin 2010 la chambre d’accusation n’a pas pris en compte la réalité des faits , elle n’a pas validé la vérité , elle n’a pris en compte et en considération bizarrement que les expertises à charge de sorte que je suis renvoyé devant les assises par ouï-dire , c’est l’expert taulard et l’expert marin qui ont dit et qui ont décidé . La chambre n’a pas rapporté la preuve contraire condition sine qua non , nécessaire et obligatoire pour inscrire un procès verbal des douanes en faux .
Dans cette affaire dite « Sofiemca » le sieur PDG contrevenant a violé en matière de douane les dispositions des articles 75 , 109 et 156 du code des douanes et les textes subséquents , outre la violation de la réglementation de change et les nombreux et faramineux crédits bancaires qui lui ont été accordés à tort sans aucune garantie pour des projets qui n’ont jamais existés et dont il fait l’objet aujourd’hui , de poursuites judiciaires par les banques créancières .
Dans cette affaire préfabriquée , la chambre d’accusation qui m’a accusé à tort a violé les dispositions légales édictées par les articles 251 , 254 et 265 du code des douanes . Elle a violé les articles 5 , 72 , 75 et 536 du code de procédure pénale . Elle a violé les articles 22 , 34 , 45 , 46 , 140 et 150 de la constitution Algérienne . Elle a violé les articles 7 , 8 , 10 et 11 de la déclaration universelle des droits de l’homme . Le principe fondamentale sacré de la présomption d’innocence a été bafoué à Mostaganem , accusé à tort je dois prouver à cette instance mon innocence dix ( 10 ) années après les faits , au mépris de la loi qui stipule qu’un procès verbal de constat des douanes est limité dans le temps et dans l’espace .
Toutes les plaintes introduites contre moi par le sieur P.D.G de la société « Sofiemca » sont validées et actualisées et toutes mes plaintes contre lui sont invalidées et classées sans suites , même la plainte initiale de l’administration des douanes toujours d’actualité a été mise en veilleuse , une complaisance qui constitue outre mer un déni de justice . Plus de cinquante lettres adressées aux autorités politiques et judiciaires du pays par mes soins sont restées lettres mortes .
La longue procédure judiciaire entamée arbitrairement à mon insu et les mesures inquisitoriales entreprises par la chambre d’accusation à mon encontre sont une atteinte flagrante aux principes fondamentaux des droits de l’homme . La vérité a été confisquée et le fameux renversement du fardeau de preuves dont la chambre a injustement procédé à sa translation du contrevenant verbalisé auquel incombe la charge de prouver le contraire , au cadre verbalisateur des douanes que je suis qui bénéficie du bouclier de le loi , est une mesure anticonstitutionnelle entachée de faux .
Aujourd’hui aucun magistrat digne de ce nom n’en veut de ce dossier et de ce procès honni , il a été reporté par l’honorable président de la cour d’assises à trois ( 3 ) reprises sans raison valable , mais moi à la veille de la date du procès , j’irai passer la nuit en prison de sorte que j’ai séjourné en prison à trois ( 3 ) reprises . Je suis certes chez moi , mais c’est comme si j’étais dans le sinistre couloir de la mort à attendre ma propre exécution et ce , pour avoir dénoncer la grande corruption .
Dénoncer la corruption est un crime en Algérie et la justice est au service des fraudeurs corrompus , aussi je sollicite l’aide et l’intervention des organisations de droit et des médias indépendants pour faire valoir la vérité " assassinée " à Mostaganem .
Signé
Bentabet Mohamed
bentabet mohamed - cadre des douanes retraité - mostaganem, Algérie
15/12/2012 - 51037
Posté Le : 04/11/2006
Posté par : sofiane
Source : www.voix-oranie.com