- Je ne prétend pas être un historien ;ni un homme de lettre .J'ai vécu humblement parmi une classe moyenne pour ne pas dire sans ressources suffisantes .A l'indépendance de l'Algerie ,j'avais plus de dix ans et j'était à l'école primaire. Je me souviens passablement de la guerre d'algerie . Mais les événements vécus ou racontés par les proches ont été à jamais gravés dans une mémoire d'adolescent .telles que les Raffles nocturnes des militaires français , le passage des goumis à dos des chevaux qu'ils appelés avec fierté par les prénoms de leur anciens propriétaires. Sans oublier les trois jours noirs , tous les hommes du village amassés dans une cour devant la mairie sans bouger même pour leur besoins naturels ;Ces jour là beaucoup ont à jamais disparus. Un jour parmi tant d'autre un goumi s'est révolté contre les français et a tué plusieurs soldats , l'événement d'est déroulé avant l'entrée de huit heure , devant les yeux de tous les écoliers , heureusement aucun élève n'a été blessé .Actuellement ont riait entre amis lors des retrouvailles entre anciens écoliers de l époque . et surtout de l'incident qui m'est arrivée : on discuté ce jour là en arabe des cartous ( figues) un sergent est venu de derrière m'a pris par les épaules tout en m'entrainant vers le deuxième bureau répétait à voie haute " où tu as vu les cartouches". J'ai été secouru par notre maitre de classe Un certain Zermatti juif d’origine et connaissant bien l'arabe sans jamais la parler devant les écoliers.
Posté Le : 24/07/2010
Posté par : benzebouchi
Ecrit par : Benzebouchi