Dix-huit ans après son inauguration, le jardin botanique oasien de Laghouat est resté dans la virtualité. Aussi nu que le désert de Gobi, l’immense périmètre qui devait accueillir le projet, ne porte ni arbres, ni palmiers, ni végétations, ni même un aménagement quelconque, hormis une surface bétonnée.
La photo aérienne montre clairement que rien n’a été entrepris pour créer effectivement ce poumon vert, malgré les engagements et les promesses des exécutifs et des élus locaux de la wilaya, qui ont eu en charge le devenir de ce jardin botanique.
Pourtant l’entreprise n’est pas si laborieuse. Le jardin de Djelfa est un exemple édifiant en la matière. Ce dernier prévaut par une végétation luxuriante qui a poussé dans un endroit auparavant désertique.
Rubrique Radar
Posté Le : 17/06/2017
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Photographié par : Photo: Liberté ; texte: Rubrique Radar
Source : liberte-algerie.com du samedi 17 juin 2017