L’organisme de contrôle technique de la construction de l’Est (CTC) a initié hier une journée d’écoute au profit de ses clients de la wilaya de Guelma.
Plus de 70 participants, entre maîtres d’œuvre, maîtres d’ouvrage, bureaux d’études, laboratoire, entreprise de réalisation et promoteurs immobiliers de la wilaya, ont pris part à cette journée qui coïncide avec le 40e anniversaires de la création du CTC. La situation qui prévaut, particulièrement dans le secteur de l’habitat en matière de contrôle de conformité, ne finit pas d’alimenter les tiraillements entre les intervenants du secteur malgré la loi en vigueur, -mais très mal appliquée-, nous dit-on, depuis 1988.
Ainsi, tout le monde s’accorde à dire lors de cette journée, que construire est un acte risqué et les défauts de conception ou de construction peuvent avoir des conséquences graves en terme de solidité d’un ouvrage pour la sécurité de ses futurs occupants, et sa résistance au séisme. A ce sujet, Benchiheub Abderrrezak, P.-D.G. du CTC-Est, déclare aux participants: «De par la loi nous sommes responsable, aussi bien nous CTC que les maîtres d’œuvre et ouvrage; mais il est temps d’en finir avec cette situation.» Et d’ajouter: «La traçabilité du prélèvement éprouvette béton pour essai à la compression doit être systématique afin d’éviter les trop nombreux cas de fraude. Pour ce faire nous mettons à la disposition des entreprises réalisatrices et bureaux d’études du suivi, un bulletin d’échantillonnage des prélèvements de béton, qui sera dûment signé.» En clair, les entreprises réalisatrices n’auront d’autre choix que de couler un béton conforme aux normes ; dans le cas contraire, le CTC ne prendra pas en charge le dossier de contrôle.
Lors des débats certains intervenants ont dressé un tableau noir du secteur: «Les entreprises réalisatrices achètent au prix fort des agrégats et du sable non conformes, de la ferraille douteux et du ciment, et ce au vu et au su des autorités.» Et de se s’interroger: «Comment voulez-vous obtenir un béton conforme à la réglementation?» Pour les responsables du CTC, le passage à la qualité doit s’opérer au plus vite et le drainage se fera progressivement et tout naturellement. Notons que pour parer à la demande de contrôle de la part de ses clients, le CTC-Est, au titre de l’année 2013, a lancé un avis de recrutement pour 90 ingénieurs, lesquels, selon le P.-D.G., bénéficieront d’un emploi-formation.
Karim Dadci
Nom : BEN MAHAMED
Prénom : Naserddine
Né le : 23/07/1986 à Koléa (W) Tipaza
Adresse :BP 262, Koléa (W) TIPAZA.
Situation familiale : célibataire.
Téléphone :0561 10 80 74 / 0774 08 40 87.
Email : nasro_avm75@hotmail.com
diplômes
•BAC + 01 UFC Anglais technique.
•Diplôme technicien en comptabilité.
•Diplôme électricité bâtiment.
•Attestation de maitrise l’outil informatique (bureautique).
•Attestation de maitrise la langue anglais (niveau intermediate not completed).
• 04 ans d’expérience comme électricien générale (éclairage public).
• 01 an d’expérience comme agent de bureau (SARL ALTONI).
• Décembre 2014 à ce jour électricien (SARL ACTARIS).
• Arabe : bien (parler et écrit).
• Français : bien (parler et écrit).
• Anglais : bien (parler et écrit).
nasreddine - electricien batiment et cableur des armoire electriques - kolea(tipaza), Algérie
04/09/2016 - 309129
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Posté Le : 16/05/2013
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Ecrit par : Karim Dadci
Source : El Watan.com du jeudi 16 mai 2013