Guelma - Revue de Presse

Guelma : Les sacrificateurs réclament une couverture sociale



Pour se faire entendre, ils ont manifesté à  plusieurs reprises, mercredi et jeudi, leur colère en fermant la circulation routière à  hauteur dudit abattoir. En effet, le métier est exercé depuis des décennies en porte à  faux avec la réglementation par des travailleurs sans employeur, et donc sans couverture sociale. Sur les lieux, c'est l'anarchie et aucune règle d'hygiène n'est respectée lors de l'abattage. Nous saurons que cet abattoir est loué chaque année à  la même personne. Selon la chambre de commerce Seybouse, aucune close allant dans ce sens n'existerait dans le cahier des charges, cosigné avec l'APC, pour la prise en charge des sacrificateurs. Cependant, une initiative a été prise, sur injonction du wali, par la chambre de l'artisanat et des métiers, pour délivrer aux concernés des cartes d'artisan avec pour code d'identification «traiteur d'intestins et de boyaux». Avec cette carte, les bénéficiaires pourront prétendre à  une adhésion à  la CASNOS.             
 


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