El-Oued - A la une

Le phénomène pesant Sous la Plume


Le phénomène pesant                                    Sous la Plume
Criminalité organisée, banditisme sont des fléaux qui minent la société algérienne tout autant que le terrorisme. L'insécurité qui, jadis, était l'apanage de certains quartiers populeux et populaires, gagne aujourd'hui même les quartiers résidentiels des grands centres urbains. Les courbes des trafics en tous genres, et particulièrement la drogue, évoluent à la hausse. Le racket et les kidnappings sont malheureusement en vogue. Les services de sécurité, qu'ils soient de la DGSN de la Défense ou de la Gendarmerie nationale, déploient de gros moyens nonobstant les décisions qui portent sur le sérieux et la rigueur dans la lutte contre la criminalité. Les différents services de sécurité ont acquis des moyens modernes leur permettant de lutter avec plus d'efficacité contre le crime organisé dans les quatre coins du pays. Les laboratoires d'ADN et les banques de données high tech portent leurs fruits. La Gendarmerie nationale, elle aussi, est très impliquée dans la lutte contre ce fléau avec la création, en 2007, de l'Institut national de criminalistique et de criminologie pour traiter la production de la preuve matérielle. Les réseaux de surveillance, installés aux frontières terrestres du pays pour endiguer le trafic de drogue et de contrebande, permettent aux services de sécurité de saisir de grosses quantités de drogue, notamment à la frontière ouest. Le plan Delphine mis en place durant la période estivale a permis de contrecarrer une criminalité opportuniste qui sévit dans les stations balnéaires. Les opérations coup-de-poing, les brigades canines pour les drogues et les explosifs ont été le quotidien des services de sécurité. Les identifications d'individus, qui avoisinent les 400.000 et 168.369 véhicules, participent de la prévention. La présence continue sur le terrain prône la dissuasion qui est un vecteur pour la sécurité des citoyens. On se désole que la petite délinquance ait atteint des pics intolérables durant les périodes de Ramadhan. Alger ne doit pas ressembler ni à Harlem ni à Rio, ni à Mexico où des gangs se livrent des guerres sans merci. Les récentes batailles rangées dans les quartiers de Bab El-Oued et Baraki doivent être des évènements bien loin derrière nous.
Criminalité organisée, banditisme sont des fléaux qui minent la société algérienne tout autant que le terrorisme. L'insécurité qui, jadis, était l'apanage de certains quartiers populeux et populaires, gagne aujourd'hui même les quartiers résidentiels des grands centres urbains. Les courbes des trafics en tous genres, et particulièrement la drogue, évoluent à la hausse. Le racket et les kidnappings sont malheureusement en vogue. Les services de sécurité, qu'ils soient de la DGSN de la Défense ou de la Gendarmerie nationale, déploient de gros moyens nonobstant les décisions qui portent sur le sérieux et la rigueur dans la lutte contre la criminalité. Les différents services de sécurité ont acquis des moyens modernes leur permettant de lutter avec plus d'efficacité contre le crime organisé dans les quatre coins du pays. Les laboratoires d'ADN et les banques de données high tech portent leurs fruits. La Gendarmerie nationale, elle aussi, est très impliquée dans la lutte contre ce fléau avec la création, en 2007, de l'Institut national de criminalistique et de criminologie pour traiter la production de la preuve matérielle. Les réseaux de surveillance, installés aux frontières terrestres du pays pour endiguer le trafic de drogue et de contrebande, permettent aux services de sécurité de saisir de grosses quantités de drogue, notamment à la frontière ouest. Le plan Delphine mis en place durant la période estivale a permis de contrecarrer une criminalité opportuniste qui sévit dans les stations balnéaires. Les opérations coup-de-poing, les brigades canines pour les drogues et les explosifs ont été le quotidien des services de sécurité. Les identifications d'individus, qui avoisinent les 400.000 et 168.369 véhicules, participent de la prévention. La présence continue sur le terrain prône la dissuasion qui est un vecteur pour la sécurité des citoyens. On se désole que la petite délinquance ait atteint des pics intolérables durant les périodes de Ramadhan. Alger ne doit pas ressembler ni à Harlem ni à Rio, ni à Mexico où des gangs se livrent des guerres sans merci. Les récentes batailles rangées dans les quartiers de Bab El-Oued et Baraki doivent être des évènements bien loin derrière nous.
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