Djelfa - Parc et sites naturels, zone humides


Chott Zehrez Gharbi
Descriptif :

Le Chott et la Sebkha de Zahrez Gharbi sont une vaste dépression endoreïque faisant partie d’un système plus étendu composé des grands chotts des hautes plaines steppiques algériennes, là où convergent les eaux provenant de l’Atlas Saharien au Sud et l’Atlas Tellien au Nord. Paysage végétal des Hau tes Plaines Steppiques, il appartient phytogéographiquement au domaine maghrébin steppique. Le site est une dépression peu profonde due d’une part à une topographie favorisant l’accumulation des eaux provenant de plusieurs affluants, Oueds mellah, Zoubia et Hadjia) et, d’autre part, à son sol imperméable qui ralentit les infiltrations souterraines.

Type de zone humide : Continentale R. Ss.

Critères de Ramsar : I et 2.

Critère qui caractérise le mieux le site : 1

Justification des critères :

Critère 1 : Zahrez Gharbi est une zone rare au niveau de la Méditerranée, notamment de part l’étendue de sa superficie et de son bassin versant. Sa situation en zone aride est sans doute son atout principal, elle justifie le degré de rareté de milieux naturels d’un seul tenant soumis à un pâturage extensif notamment d’ovins. C’ est également un modèle représentatif de la région méditerranéenne, voire africaine, par la présence de plusieurs types sols, de bioclimats et de formations végétales steppiques.

Critère 2 :
Les espèces endémiques et rares : Sont au nombre neuf dont une endémique algérienne (Herniaria mauritanica), signalée dans la flore de Quezelet Santa (1962), elle semble néanmoins exister dans les pays limitrophes aux frontières occidentales. Cordylocarpus muricatus et Zygophyllum cornutum sont également des espèces remarquables car elles semblent être des endémiques maghrébines avec une localisation située essentiellement en territoire algérien. Bien qu’elles ne soient pas rares, elles présentent un intérêt certain. Les espèces rares, au nombre de 6, considérées comme rares dans cette région, ne semblent pas se retrouver ailleurs. Il s’agit de Avena bomoides, Hordeum maritimu, Juncus bufonius, Launaea resedfolia, Polygonum equisetforme, Reaumuria venniculata. Elles sont soit psammophiles ou halophiles Salicornia arabica est signalée comme très rare.

Caractéristiques physiques :

Géologie :

La région du Zahrez se caractérise par un grand synclinal irrégulier, plus large à l’Ouest avec 50 kilomètres, qu’à l’Est avec 30 kilomètres, et long d’environ 140 kilomètres avec une orientation Nord-Est-Sud-Ouest. Les couches géologiques du bassin versant, appartenant essentiellement au crétacé, sont recouverts par un Tertiaire continental surmonté par des dépôts du quaternaire. Le Crétacé est composé par des couches de calcaires, de marnes, d’argiles et de grès massif poreux et perméable. Le Tertiaire, entièrement continental, est représenté principale. ment par un horizon conglomératique à la base et plus argileux au sommet. Les dépôts du Quaternaire sont principalement constitués par d’importants éboulis de pente, de dunes, d’alluvions torrentielles et de croûtes minces de calcaires discontinues. Les séries du Crétacé forment le substratum essentiel, alors que les dépôts du Quaternaire sont dominants dans les bassins. L’encadrement géologique est issu pour l’essentiel des plissements du Tertiaire, les séries du Crétacé, qui constituent l’ossature des Monts des Ouleds N-afl, ont été énergiquement plissées selon une direction générale Sud-Ouest-Nord-Est. Le compartiment des Zahrez s’est alors nettement différencié de la partie montagneuse en jouxtant une structure située entre les deux derniers plis anticlinaux du domaine tectonique Sud-atlassique.

Origine :

Après la régression marine, la région de l’Atlas Saharien connut une phase orogénique au Tertiaire ayant entraîné la formation de plissements caractérisés par des anticlinaux étroits et des synclinaux larges où les dépressions des Zahrez ont psis naissance et ont connu au cours du temps des apports continentaux qui les ont comblées partiellement pour aboutir à la formation des cuvettes des chotts durant le Quaternaire. La zone du Zahrez a pour origine l’accumulation des eaux des oueds, drainés par les bassins versant avoisinants. Les eaux de Zahrez Gharbi sont issues du bassin versant des Oueds Zahrez et Mesrane.

Hydrologie :

La cuvette de Zahrez Chergui, plus réduite que celle de Zahrez Gharbi situé à proximité, est mieux fermée, sauf peut être à l’Est.L’altitude des affleurements assure, tant au Sud qu’au Nord la recharge de la nappe phréatique qui s’écoule vers l’Est en franchissant un seuil dont la côte se situerait vers l’altitude 700 mètres. Le bassin versant du Zahrez est un bassin endoréïque décomposé en six sous-bassins drainés par les oueds les plus importants qui se jettent tous dans les chotts Zahrez Gharbi et Chergui.

Type de sol :

Dans l’Atlas Saharien, les sols, en relation avec les affleurements géologiques, sont peu profonds et très érodés. Sous la végétation forestière, la teneur en matière organique est élevée pour des sols évolués (rendzines et sols bruns calcaires). niveau des plateaux, les sols sont plus di1.renciés, on distingue : a) Les sols très peu profonds à profonds avec croûte ou encroûtement calcaire, situés sur les glacis encroûtés du quaternaire ancien et moyen ; b) Les sols des zones d’épandage ; c) Les sols salés issus d’alluvions ou de nappe proche de la surface ; d) Les sols sableux du cordon dunaire. qualité de l’eau : Les eaux sont salées caractéristiques des chotts algériens de la zone des Hauts Plateaux Sahariens. Dans la région des Zahrez, les eaux souterraines se présentent sous forme de nappes semi-captives et libres, la plus grande partie étant sous forme libre. Dans le cas des nappes libres, les niveaux d’eau étant liés à la pression atmosphérique remontent librement en réponse à une réalimentation et baissent de même en réponse à une exploitation. Le niveau statique suit globalement la configuration topographique du terrain, cependant, le niveau piézométrique est plus profond dans les zones surélevées des bordures du bassin que dans celles des plaines. Fluctuation du niveau de l’eau varie & Imètre en hiver et à zéro en été

Climat :

type méditerranéen froid variant du semi-aride à l’aride. La pluviométrie est de 250 mmlan. Les T° Min sont de + 7° c. T° Max : + 38° c. Le mois le plus pluvieux est le mois de mai durant lequel on enregistre une moyenne mensuelle de 33,7 mm, tandis que juillet est le plus sec avec 8,34 mm.

Caractères physiques :

Les Zahrez, Rharbi et Chergui, situés sur le même bassin versant font partie du système des grands Chotts des Hauts Plateaux, ils sont compris entre deux ensembles analogues mais plus grands, Chott Chergui à l’Ouest et Chott El Hodna à l’Est.

Géologie :

Le synclinal de Djelfa qui représente une vaste structure régulière est constitué par les successions suivantes, le Crétacé inférieur constitué par d’épaisses séries, en grande partie continentale, formées par des dépôts calcaires, marno-calcaires, calcaire-marnes, marnes et marno-calcaire-argileux. Le Trias composé d’argile et de gypse ; le sel joue un rôle fondamental de part son extension et sa forte teneur. Le Mio-Pliocène composé de calcaire marneux, de marne, d’argile bleutée gréseuse et rouge à poudingue.

Géomorphologie :

C’est une dépression salée des zones arides et semi-arides de grande dimension dont les termes vernaculaires sont représentés par Chott et Sebkha ; la différence entre ces deux noms réside dans le mode d’alimentation. Les sebkhas sont sous la dépendance d’apport des eaux de crue et les Chotts Sont alimentés respectivement par les apports de ruissellement et aussi par les nappes artésiennes profondes arrivant jusqu’en surfacepar des sources et/ou des suintements (Pouget, 1971). Les Chotts seraient de véritables « machines évaporatoires » (Coque, 1962). En période pluvieuse normale, hiver, printemps, une couche d’eau de quelques centimètres, saturée en sel (300-400g !!) recouvre la surface, laissant après évaporation des dépôts de chlorure de sodium, parfois exploitables. Après de fortes pluies, les Chotts peuvent constituer de véritables lacs de plusieurs mètres de profondeurs ; quelques mois après, l’évaporation très forte assèche complètement la surface. Le vent balayant cette surface desséchée et dénudée peut, dans certaines conditions, entraîner des particules argileuses et des cristaux de sels (Chlorure de sodium, gypse) qui s’accumulent en bordure de la dépression (Pouget, 1979). Tout autour de ces systèmes, la présence d’une nappe phréatique plus ou moins salée et inégalement profonde contribue à la formation de sols halomorphes. A l’opposé des vents dominants du Nord-Ouest-Ouest, on observe sur la bordure Sud-Est-Est de véritables champs de microdunes. Origjns : La constitution naturelle des Chotts est directement liée à l’histoire géologique des Hauts Plateaux algériens. Toute cette région marquée par un substratum sédimentaire hérité des transgressions marines du Secondaire et du Tertiaire, aurait connu vers la fin de l’Oligocène une phase d’orogenèse extrêmement active ayant entraîné la surrection de l’Atlas saharien. A la fin du Tertiaire, une phase d’érosion aboutit au façonnement des formes jurassiques et au comblement des dépressions par des dépôts continentaux. Au Villafranchien, il en résulte un ensemble homogène, sous forme d’une vaste plaine, qui va constituer le cadre des processus morphogénétiques du Quaternaire avec des séquences d’érosion (Pouget, 1980). Hydrolok : Le réseau hydrographique est organisé en système endoreïque, il alimente de nombreuses nappes phréatiques de faible profondeur, 1 à 6 mètres, et participe à la pédogenèse des sols halomorphes. Dans le bassin du Zahrez Gharbi, on note la présence de plusieurs nappes, toutes plus ou moins salées, 0.2 à 164 grammes par litre, (Pouget, 1971). La salure de ces nappes est en relation directe avec différentes sources d’alimentation et la nature des terrains. Les principales nappes sont, La nappe du cordon dunaire avec une profondeur de 50 à 100 centimètres et une salure faible de 0.2 à 3 g/l. La nappe de Zâafrane, dont la profondeur varie entre 1 et 3 mètres et une salure faible de 2 à 5g !!. La nappe, en relation avec l’Oued Melah, a une profondeur de 3 à 5 mètres et une salure forte dc 3 à 20g !!. La nappe des sols gypseux de la zone Sud-Ouest des Zahrez, 2 à 4 mètres de profondeur a une faible salure de 3 à 4g !l. La nappe des terres blanches, 1 à 2 mètres de profondeur, est en relation éventuelle avec les ressources d’eau souterraine. Les nappes hypersalées en bordure Sud-Ouest du Zahrez Gharbi dans la dépression en aval des terres blanches et dans la zone très salée à l’Ouest de Grizine El Hatob.

Qualité de l’eau :

Les analyses de l’eau de l’Oued Melah en amont et en aval de Rocher de sel ont donné les résultats regroupés dans le tableau I. Profondeur et fluctuations du niveau de l’eau : La profondeur de la nappe d’eau dans les dépressions interdunaires est faible, de 50 à 100 centimètres. Pendant les périodes pluvieuses, lorsque l’eau arrive à la surface du sol, l’on peut observer de véritables lacs qui ne subsistent que durant une courte période. La nappe d’eau prend une importance plus grande dans la zone centrale où la teneur en sels devient plus grande. Le pourtour du Chott est jalonné par des sources jaillissantes (Cornet, 1952). Bassin versant : La superficie du bassin du Zahrez Gharbi est de 5.601 kilomètres carrés (Djermoun,1977) Climatiquement, la région des Zahrez est la moins aride des grands Chotts des Hauts plateaux. Les stations climatologiques de la région (Djelfa et Guet ! Es Steli) sont toutes dans l’étage bioclimatique aride supérieur à hiver froid et frais. Les paramètres climatiques les plus importants pour ces deux stations sont regroupées dans le tableau II. Valeurs hydrologiques : Maîtrise des crues : L’écoulement des cours d’eau, appelés Oueds, de type endoreique comme pour tous les Chotts, est caractérisé par l’absence d’oueds permanents qui sont à sec durant une grande partie de l’année, 6 à 10 mois, des crues violentes et abondantes sont enregistrées durant les orages et les pluies d’hiver. Recharge des nappes : Le Zehrez Gharbi, qui de part l’étendue de sa superficie et sa situation biogéographique dans la région du Hodna est l’exécutoire principal des eaux superficielles et souterraines de 22 cours d’eau, contribue au maintien des équilibres hydriques. A ce titre, il emmagasine les ressources en eau les plus importantes et les mieux connues représentées par deux sortes de nappes, la nappe en charge et la nappe phréatique toutes deux exploitées pour l’irrigation, pour les besoins des groupements de mise en valeur agricole et l’usage urbain et industriel.

Rétention des sédiments :

Les sédiments charriés par les cours d’eau du bassin versant se déposent naturellement sur pratiquement toute l’étendue du chott.

Zone de pâturage par excellence :

Le chott est surtout valorisé par la production de viande ovine d’excellente qualité, ses terres de pâturages sont d’une excellentes facture et permettent le développement d’une des plus importante race ovine du Maghreb, Ouled Djellal.

En arabe lexique, le terme « Chott » désigne le mot français « bordure ». Dans ce sens, le « Chott » comprend uniquement la bordure verte. Etant donné que seule cette partie intéresse le pasteur, son premier et presque unique utilisateur hormis les oiseaux, la partie de cette même zone humide appelée « Sebkha », équivalente à lac salé, est automatiquement comprise dans le Chott. Ainsi le Chott inclut toujours une sebkha. mais le contraire n’est pas vrai. Une Sebkha n’est qu’une zone salée sans aucune végétation et en général peu intéressante. Dans ce cas précis, le « Zahrez » serait le synonyme de « Chott ». Par conséquent, il y a donc, de facto, au moins deux types d’habitats importants : le lac salé ou sebkha ; le chott, composé d’une végétation halophpile où se rencontrent : atriplex, salsola et sulla. Le cordon dunaire, troisième type d’habitat, se trouve à proximité de cette zone humide, plus précisément au Sud du Zahrez ; il présente une végétation particulière, localisée sur les dunes, qui comprend des formations buissonnantes (Drinn et retam). Alors que sur les micro-dunes, au niveau des dépressions, se rencontrent des espèces hydrophiles très denses (Joncs, Diss, Phragniites). La végétation :

Nous pouvons distinguer deux types de végétation.Une végétation steppique sur glacis au voisinage des chotts et une végétation halophyte propre aux chotts. La végétation steppique est souvent sur sols calcimagnésiques à accumulations gypseuses, sur sols peu évolués des oueds afférents ou sur substratum marneux plus ou moins salifères. Les formations rencontrées sont :
Les steppes à Salsola tetrandra var villosa et Salsola vermi culata sur alluvions à texture moyenne à fine. Les steppes à Trag anum nudatum et Thymelea microphylla sur glacis croûtes calcaires ensablées. Les steppes à Erodium glaucophyllum sur glacis à encroûtements gypseux La présence d’espèces gypseuses ou halophiles, sensus lato, s’explique par la présence d’une nappe plus ou moins profondeur et la salure atteint le plus souvent 8 mmhos/cm. La structure est souvent dégradée et quand le gypse et la salure sont faibles ces sols se placent parmi les sols à alcali. La liste des espèces est composée de : Salsola tetrandra, Aizoon hispanicum, Hordeum maritimum, Spergula diandra, Agropyron orientale, Pholiurus incurvus ssp incurvatus, Halogeton sativus, Hutchinsia procumbens, Limonium echiodes, Limonium sinuatum, Limon ium thouini.

Flore remarquable :
Au niveau du Zahrez, vu le taux élevé de surpâturage non contrôlé, il est difficile de parler de plantes rares ou uniques. Ce sont les communautés végétales composées de nombreuses formations qui constituent une rareté de deux points de vue. D’une part pour leur étendue importante et d’autre part pour leur situation en zone aride. Ces deux facteurs font du Zahrez un milieu refuge pour les plantes et les animaux inféodés aux régions arides. Les espèces les plus caractéristiques rencontrées au niveau des Zahrez et au niveau du Hodna s’élèvent à environl 16, la liste n’étant évidemment pas exhaustive, mais elle fait ressortir l’essentiel des traits de la végétation de la région. Il existe un cortège floristique ou la prépondérance de l’élément méditerranéen est certaine avec 54 espèces. L’élément saharien n’est pas important, il est représenté par 17 espèces seulement dont la présence est liée à la dépression saharienne du Hodna.Il est à signaler que l’élément cosmopolite (Cosmo+Subcosmopolite) qui n’est pas négligeable compte 13 espèces ; ceci s’explique par le caractère azonal des sols de beaucoup d’espèces, ce qui permet leur installation à peu près partout dans des milieux similaires dans le monde entier.

Les espèces endémiciues et rares :

On en dénombre neuf dont une est endémique algérienne (Herniaria mauritanica), signalée dans la flore de QUEZEL et SANTA (1962), elle semble néanmoins exister dans les pays limitrophes aux frontières occidentales. Cordylocarpus muricatus et Zygophyllum cornutum sont également des espèces remarquables car elles semblent être des endémiques maghrébines avec une localisation située essentiellement en territoire algérien. Bien qu’elles ne soient pas rares, elles présentent un intérêt certain. Les autres espèces, des endémiques nord africaines, sont regroupées dans le tableau 3. Les espèces rares, au nombre de 6, considérées comme rares dans cette région, ne semblent pas se retrouver ailleurs. Il s’agit de Avena bomoides, Hordeum maritimu, Juncus bufon jus, Launaea resedfolia, Polygonum equisetiforme, Reaumuria vermiculata. Elles sont soit psammophiles ou halophiles (s.l.) Tab 2. Salicomia arabica est signalée comme très rare. Les espèces protégées au niveau national (décret relatif à la protection des végétaux du J.O.1983) ou au niveau international (liste des espèces menacées, RED DATA BOOK, 1996) sont au nombre de deux au niveau de notre liste ; Helianthemum lippu et Pistacia atiantica. cette dernière est une endémique Nord Africaine, alors que le rang taxonomique (infra spécifique) de l’Hélianthème n’est pas précisé. Ceci serait du au fait que ces milieux azonaux, à tendance cosmopolite, sont peu susceptibles, comme nous venons de le voir, de receler des espèces végétales endémiques ou rares.

Faune remarquable :

A priori, le niveau de recensement et les connaissances actuelles ne permettent pas de s’avancer sur l’existence ou non d’espèces animales rares ou uniques, cependant on note la présence intéressante de la gazelle de montagne et de l’outarde houbara. A défaut de recensements d’oiseaux d’eau, on ne peut trancher sur l’importance ou non du Zahrez pour l’avifaune hivernante, comme gîte d’étape ou comme lieu d’hivernage.

Régime foncier / propriété :

Le régime foncier de type domanial, alors que la région voisine a un régime foncier de type domanial et communal.

Occupation actuelle des sols :

Zone salée nue et chott pour le pâturage, pour la région voisine, il existe une culture céréalière vivrière et de petits périmètres de mise en valeur agricole sur finance ment de l’état.

Facteurs défavorables affectant les caractéristiques écologiques du site :

Le surpâturage non contrôlé, enaffectant ravement la couverture végétale, provoque et intensifie la désertification Direction Générale des Fôrets


أريد معلومات عن b.v الجلفة زهراز
faissal - étudaint - m'sila, Algérie

30/11/2010 - 8789

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