Et voilà le dossier du chemin des touristes, cette Arlésienne constantinoise, qui revient encore à l’ordre du jour.
Pour relancer ce projet en veilleuse depuis plus de 4 ans, une réunion s’est tenue lundi au cabinet du wali autour du premier responsable de la wilaya et a rassemblé le directeur du tourisme et de l’artisanat, le représentant de l’entreprise SAPTA, celui du bureau d’étude chargé du suivi et les membres de la commission technique que sont le directeur de l’urbanisme ( DUC), le directeur des travaux publics (DTP), le directeur des ressources en eau (DRE), et les directeurs de la Sonelgaz et de la Seaco.
Le représentant du bureau d’étude a présenté l’étude du projet et fait un exposé sur la rénovation du chemin des touristes.
Après, M. Sassi Ahmed Abdelhafid, wali de Constantine, a donné au bureau d’étude un délai de 15 jours pour lui présenter l’étude technique de risque qui bloque encore le démarrage du chantier de la première tranche.
Le premier responsable de la wilaya a indiqué qu’il veut d’abord savoir exactement où il va mettre les pieds, ce qu’il faut reprendre comme travaux qu’il faut inscrire dans la limite de l’enveloppe financière réservée à la réalisation de ce projet de 600 millions de dinars, soit 60 milliards de centimes.
En clair, le wali veut connaître l’intérêt que présente l’intérêt général, économique, touristique que revêt le projet pour la ville des ponts, sa faisabilité, etc. Lorsqu’on mise de l’argent sur quelque chose, dit-il, il faut que cela soit bien étudié, que cela rapporte, qu’il présente une utilité pour le citoyen.
Et compte tenu de sa géographie il faut étudier l’aspect sécuritaire sous tous les aspects, a considéré le chef de l’exécutif de la wilaya.
C’est pourquoi le wali a fixé une quinzaine de jour pour lui remettre cette étude accompagnée de l’estimation financière des trois sections dont il a été convenu de réaliser en premier.
Ces trois sections à réaliser en premier partent, on le sait, du pont du diable situé en bas au pied du pont de Sidi-Rached pour aboutir sous le pont de Bab-El-Kantara, au jardin de Sousse, sur un linéaire de 1, 2 kilomètres.
Photo archive ajoutée par Akar Qacentina pour illustration de l'article
A Mallem
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 04/10/2020
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Ecrit par : A Mallem publié le jeudi 1er octobre 2020
Source : http://www.lestrepublicain.com/