Les jeunes bénéficiaires des crédits Ansej dans la filière de la restauration ambulante rencontrent des difficultés pour s’installer, travailler et rentabiliser les crédits que l’Etat leur accorde.
L’un d’eux a bénéficié d’un crédit de 300.000.000 de centimes mais depuis juin 2013 il tourne en rond, faute de cette autorisation de la part de l’APC de Boumerdès pour s’installer dans un endroit où, assure-t-il, il ne gênera personne.
Ce n’est malheureusement pas le seul cas. Pourtant ces jeunes, autorisés par l’Etat à travers le financement des projets, répondent aux obligations d’hygiène publique.
Par ailleurs, comment se fait-il que d’énormes espaces publics sont indûment occupés par un grand transporteur qui gare ses bus aux abords des facultés de la ville de Boumerdès et qu’un petit 20 m2 est refusé à un jeune de la ville qui a une fonction légalisée par l’administration?
De plus, des restaurateurs clandestins se sont installés en ville, dans certains cas sur des trottoirs, alors qu’on fait courir un jeune qui veut travailler dans la légalité.
Abachi L.
Posté Le : 23/10/2014
Posté par : akarENVIRONNEMENT
Ecrit par : Abachi L.
Source : leSoirdAlgerie.com du jeudi 23 oct 2014