Lettre au Tribunal de Justice de Boufarik ( Sedira Nacer )

Monsieur





J’apprends que j’aurais été condamné par un jugement qui aurait été présenté par un huissier dénommé Kebkoub Boudjemaa le 28/01/2014.



Résidant en France j’ignore la manière employée pour obtenir ce jugement, même si je comprends le but recherché.



Je ne comprends pas que un tribunal ai put donner crédit au prétexte que mon père avait un âge précoce pour être mon père.



Mon père a épousé ma mère en 1959, j’avais alors 11 ans, il m’a reconnu donc le prétexte présenté est totalement fallacieux.



Je vous fourni ici le S12 la preuve que ma filiation est parfaitement acceptée par l’état algérien.



J’attends de votre part une explication si non le retrait de cette condamnation qui est une erreur manifeste

lundi 14 mai 2018
Tribunal de Boufarik
Mr Sedira Nacer
Rôle N°17/05001
Répertoire N°17/06827
Date du jugement 18/12/2017

Exposé des faits

1° Les frères Messou parlent d’un héritage laissé par leur père, un immeuble de 56 ares et 5 centiares en date du 25-1 1971, et qu’il aurait édifié une habitation dessus et que le défendeur Sebti se serait emparé de cette habitation sans leur consentement.
1° Ceci est faux, mon père Ahmed si Ahmed a acheté son terrain en 1976 et a construit sa maison dans les années 80 et les Sebti y résident en toute légalité et avec mon accord.
2° je n’ai jamais fait de fausse déclaration nulle part ni a qui que ce soit, je présente mes papiers depuis 50 ans toujours les mêmes.
3° Personne n’a établi que je ne sois le fils de mon père Ahmed Si Ahmed tous mes papiers (S12 compris) le prouvent.
4° Le jugement N° 15/14999 rendu le 12/11/2015 est une insulte a mon honneur et une tache indélébile au fronton de ce Tribunal.

Votre obligé

Si Ahmed Rodríguez Eduardo