Le puits et la maison
Mon père une fois le terrain payé, son acte d’achat en poche se mis aussitôt à chercher de l’eau car les poiriers avaient soif.
De l’eau il n’en manque guère il suffit de creuser, la nappe d’eau elle se situe a 18 mètres de profondeur, le puisatier était courageux et bosseur il finit le boulot en quelques jours, il fit aussi quelques découvertes bizarres, des gobelets en faïence, résidus de anciennes tombes ? Peut-être, on n’y attachât pas plus d’importance que ca.
Une fois l’eau a disposition, Ahmed trouvât un maçon et le mit au travail, cela devait aller vite car la maison de son frère Mohamed (au Domaine 179 sur la route Boufarik-Chebli (8 Km)) ne convenait pas au couple Parisien, étant encombrée des multiples nièces et neveux, enfants de Djera et Mohamed, résidant dans la maison du colon au sein de la coopérative crée après son départ a la Libération, en 1962.
C’est étrange, on dirait que construire ça maison est un besoin génétique chez l’homme, un reflexe, comme on verra plus tard il ne faut pas courir, pour construire, parfois on fait n’importe quoi, des bêtises, mon père Hamedette, surnom, affectueux, en fit, et surtout une grosse comme une… ? Maison. (Ahmed, Eduardo, Mohamed)
Posté Le : 08/10/2013
Posté par : doujdouj
Ecrit par : Si Ahmed Eduardo
Source : Ma vie