Annaba - Revue de Presse

La Coquette, plaque tournante de la délinquance



Fief de tous les maux, Annaba est devenue le refuge de la pègre des banlieues (Boukhadra, Sidi Salem, El Bouni, Oued Nil, Hadjar Dis, etc., ou de Beni M?haffeur, la Caroube, et la cité Ausas). Elle est devenue le théâtre quasi quotidien de sinistres festivals. « Les bandits viennent des banlieues. Ils commettent leurs forfaits et fuient par des rues, ruelles et autoroutes dont ils connaissent les moindres recoins », explique un officier de police. C?est dire qu?en 2008, Annaba est devenue la plaque tournante du crime. Nonobstant les efforts consentis par les services de sécurité, l?on n?est toujours pas arrivé à faire baisser la criminalité, ajoute-t-il « Ouvrir un poste de police dans chaque quartier n?est pas suffisant, il est également nécessaire que la mansuétude des magistrats cesse vis-à-vis des malfaiteurs, et les policiers qui n?interviennent pas doivent être poursuivis », affirment des gérants de magasins de la rue Ibn Khaldoun (Ex-Gambetta). Pour défendre leurs biens et leur clientèle, ils ont décidé de retrousser les manches et de passer à l?acte à chaque fois que cela sera nécessaire.


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