Durant l'élaboration des réformes politiques, le pouvoir exécutif n'a retenu aucune des 1 200 recommandations adoptées lors des états généraux de la société civile.
Le Conseil national économique et social, organisateur de ces états généraux, devrait pourtant être le porte-voix de la société civile. Une situation vécue comme un camouflet au niveau de l'institution de Mohamed Seghir Babès.
Posté Le : 30/10/2011
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Le Soir d'Algérie
Source : www.lesoirdalgerie.com