Algérie

Wihr d'or pour le film marocain L'orchestre des aveugles



Wihr d'or pour le film marocain L'orchestre des aveugles
Le rideau est tombé, vendredi dernier, à Oran sur le 8e Festival international du film arabe avec la remise de prix et distinctions aux heureux élus, et ce, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, de l'ensemble des organisateurs du festival, à commencer par son commissaire, Brahim Seddiki, des autorités locales et de l'ensemble de la famille artistique.Le rideau est tombé, vendredi dernier, à Oran sur le 8e Festival international du film arabe avec la remise de prix et distinctions aux heureux élus, et ce, en présence du ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, de l'ensemble des organisateurs du festival, à commencer par son commissaire, Brahim Seddiki, des autorités locales et de l'ensemble de la famille artistique.Cette cérémonie de remise des prix, qui veut s'inscrire dans une tradition qui respecte le genre, n'arrive pas à décoller, malgré sa huitième édition ainsi que tous les moyens mis à la disposition... (On y reviendra). Quant au moment tant attendu de cette soirée qui s'est déroulée en début de soirée à l'hôtel Sheraton, a vu le Whir d'or, le grand prix, de cette huitième édition, attribué, au long métrage marocain L'orchestre des aveugles, du réalisateur marocain, Mohamed Mouftakir. Le film relate l'histoire d'un orchestre populaire dont les musiciens se font passer parfois pour des aveugles pour animer des fêtes réservées aux femmes.Dans la catégorie des courts métrages, le Wihr d'or est revenu à l'oeuvre Et Roméo épousa Juliette de la réalisatrice tunisienne Hind Boudjemaa, qui aborde la monotonie dans la vie conjugale et l'absence de romantisme après des années d'amour. Sur un autre registre, le documentaire Je suis avec la mariée, co-réalisé par le Palestinien Khaled Souleimane Ennaciri et les Italiens Gabriel Del Grande et Antonio Oujoujliar, a décroché le Wihr d'or dans la compétition réservée à cette catégorie. Cette oeuvre traite de l'émigration clandestine dont les candidats sont des Palestiniens et des Syriens fuyant la guerre en Syrie vers l'Europe.La production algérienne, quant à elle, n'a pu s'imposer, si ce n'est le jury qui estintervenu à deux reprises, en attribuant le prix à Je suis mort de Nassim, dans la catégorie long métrage et dans Passage à niveau du réalisateur algérien Anis Djaâd, dans la catégorie courts métrage. A noter que durant toute la durée du festival, plusieurs thèmes et variés ont été traités dans les films en compétition. Pour certaines oeuvres (12 longs métrages, 14 courts métrages et 12 documentaires), projetées en compétition, des cinéastes sont allés jusqu'à briser certains tabous.Dans les courts et longs métrages, l'horreur de la violence et de la destruction dans les pays arabes en proie à des conflits dont la Syrie et la Libye, la question de l'autodétermination du peuple sahraoui et l'émigration clandestine, la mémoire, l'amour de la vie, le divorce ont été abordés. Hors compétition, le cinéma turc, invité d'honneur, trois films ont été projetés durant la journée turque du Festival Le rêve du papillon, Silsile (conséquences) et Prunelle de mes yeux , qui résument en quelque sorte le cinéma de ce pays. D'autre part, les activités annexes du FIOFA ont été marquées par l'organisation du colloque international « Roman et cinéma » et du Salon arabe du cinéma et de la télévision, « deux grands acquis du FIOFA », selon le commissaire du festival, Brahim Seddiki.Le Salon du Cinéma et de la Télévision, organisé en marge du Festival international d'Oran du film arabe (FIOFA), inauguré vendredi dernier par le ministre de la Communication, Hamid Grine, a été une occasion pour réunir les acteurs et faire connaître les feuilletons TV et les films de cinéma susceptibles d'être commercialisés localement et dans le reste du monde. Un hommage à titre posthume a été rendu à plusieurs figures du 7e art national et arabe à l'ouverture du FIOFA, inauguré par le ministre de la Culture, Azzeddine Mihoubi, en présence du ministre de la Communication, Hamid Grine.Cette cérémonie de remise des prix, qui veut s'inscrire dans une tradition qui respecte le genre, n'arrive pas à décoller, malgré sa huitième édition ainsi que tous les moyens mis à la disposition... (On y reviendra). Quant au moment tant attendu de cette soirée qui s'est déroulée en début de soirée à l'hôtel Sheraton, a vu le Whir d'or, le grand prix, de cette huitième édition, attribué, au long métrage marocain L'orchestre des aveugles, du réalisateur marocain, Mohamed Mouftakir. Le film relate l'histoire d'un orchestre populaire dont les musiciens se font passer parfois pour des aveugles pour animer des fêtes réservées aux femmes.Dans la catégorie des courts métrages, le Wihr d'or est revenu à l'oeuvre Et Roméo épousa Juliette de la réalisatrice tunisienne Hind Boudjemaa, qui aborde la monotonie dans la vie conjugale et l'absence de romantisme après des années d'amour. Sur un autre registre, le documentaire Je suis avec la mariée, co-réalisé par le Palestinien Khaled Souleimane Ennaciri et les Italiens Gabriel Del Grande et Antonio Oujoujliar, a décroché le Wihr d'or dans la compétition réservée à cette catégorie. Cette oeuvre traite de l'émigration clandestine dont les candidats sont des Palestiniens et des Syriens fuyant la guerre en Syrie vers l'Europe.La production algérienne, quant à elle, n'a pu s'imposer, si ce n'est le jury qui estintervenu à deux reprises, en attribuant le prix à Je suis mort de Nassim, dans la catégorie long métrage et dans Passage à niveau du réalisateur algérien Anis Djaâd, dans la catégorie courts métrage. A noter que durant toute la durée du festival, plusieurs thèmes et variés ont été traités dans les films en compétition. Pour certaines oeuvres (12 longs métrages, 14 courts métrages et 12 documentaires), projetées en compétition, des cinéastes sont allés jusqu'à briser certains tabous.Dans les courts et longs métrages, l'horreur de la violence et de la destruction dans les pays arabes en proie à des conflits dont la Syrie et la Libye, la question de l'autodétermination du peuple sahraoui et l'émigration clandestine, la mémoire, l'amour de la vie, le divorce ont été abordés. Hors compétition, le cinéma turc, invité d'honneur, trois films ont été projetés durant la journée turque du Festival Le rêve du papillon, Silsile (conséquences) et Prunelle de mes yeux , qui résument en quelque sorte le cinéma de ce pays. D'autre part, les activités annexes du FIOFA ont été marquées par l'organisation du colloque international « Roman et cinéma » et du Salon arabe du cinéma et de la télévision, « deux grands acquis du FIOFA », selon le commissaire du festival, Brahim Seddiki.Le Salon du Cinéma et de la Télévision, organisé en marge du Festival international d'Oran du film arabe (FIOFA), inauguré vendredi dernier par le ministre de la Communication, Hamid Grine, a été une occasion pour réunir les acteurs et faire connaître les feuilletons TV et les films de cinéma susceptibles d'être commercialisés localement et dans le reste du monde. Un hommage à titre posthume a été rendu à plusieurs figures du 7e art national et arabe à l'ouverture du FIOFA, inauguré par le ministre de la Culture, Azzeddine Mihoubi, en présence du ministre de la Communication, Hamid Grine.




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