Algérie

WAT : Le cauchemar continue !


WAT : Le cauchemar continue !
Bennaï n'a pas trahi la confiance de Benyellès
Apparemment, les semaines se suivent et se ressemblent pour les Widadis ! Avec une seule victoire à domicile en championnat depuis le début de l'année 2013 et l'entame de la phase retour, face à la JSK (17e journée), les Bleu et Blanc enchainent les déboires depuis, en se contentant avant-hier du simple partage des points avec le CSC, pour le compte de la 26e journée de championnat. Une nouvelle contre-performance qui n'arrange nullement les affaires de la bande à Benyellès, qui reste coincée dans la zone rouge, à quatre journées de la fin.
Domination stérile des Widadis
Face à une équipe du CSC, qui n'a rien montré d'exceptionnel, à l'exception d'une performance XXL de son joueur africain Gil Ngoma, les Bleu et Blanc ont eu souvent le monopole du jeu, se procurant les plus chaudes occasions dans ce match, mais sans pour autant se montrer efficaces dans le dernier geste, comme l'a souligné Benyellès à la fin de la partie.
Beaucoup de joueurs loin de leur meilleur niveau
Si l'entraineur tlemcénien a aligné une équipe assez tournée vers l'offensive, avec un 4-3-3, beaucoup de titulaires n'ont pas été à la hauteur de la confiance du staff technique, en ayant une prestation très décevante, notamment dans le domaine offensif.
Même les changements n'ont pas apporté un plus
Voulant apporter du sang neuf à son équipe, Benyellès a aligné Boussehaba, de retour de blessure en tout début de seconde période à la place d'un Hachem très décevant, tout en lançant quelques minutes plus tard Chaouti à la place de Taouil, loin du visage affiché lors des récents matches amicaux. Des changements qui n'ont rien apporté de plus, alors que le capitaine Boudjakdji, aligné lors des dix dernières minutes, n'a pas eu assez de temps pour faire la différence en pointe de l'attaque.
Ils ont joué pourtant sans pression du public
Alors que les joueurs ont souvent tendance à se justifier après le moindre échec à domicile, par la forte pression exercée par le public tlemcénien, les coéquipiers de Rechrouche ont pourtant joué face au CSC à huis clos, mais sans pour autant livrer une grande prestation, ce qui prouve que le mal est vraiment profond, et que les Widadis n'arrivent plus à trouver le fameux déclic psychologique.
Zouaoui a privé les widadis d'un penalty flagrant
Comme c'était le cas face à l'USMA, en tout début de match, le WAT n'a pas bénéficié avant-hier du moindre penalty, malgré une faute de main flagrante d'un défenseur constantinois à la 16', alors que l'arbitre Zouaoui avait déjà fermé les yeux sur une faute moins évidente certes dans la surface de réparation, quelques minutes auparavant. Une attitude qui a beaucoup irrité le président Benchouk, qui avait pourtant déjà affirmé ses craintes envers ce referee, en sollicitant à maintes reprises la Ligue pour le remplacer, mais sans pour autant recevoir la moindre réponse. On parle d'un véritable complot qui vise le club phare des Zianides...
Le CSC était largement prenable, mais...
Si le match nul arrange nettement plus les affaires du CSC, qui n'a pas livré une prestation digne d'un club postulant pour une place sur le podium, le WAT pourra se mordre les doigts de ne pas battre un adversaire largement prenable, au lieu de se contenter du simple partage des points.
Le rêve est-il toujours permis '
Oui, car à quatre journées de la fin du championnat, les Bleu et Blanc, qui n'ont certes plus leur destin entre leurs mains, peuvent malgré tout réussir l'exploit de se maintenir, en cas d'un sans-faute lors des quatre prochains matches, tout en s'attendant à des faux pas du CAB mais aussi du MCO, premier club non reléguable.

Bennaï n'a pas trahi la confiance de Benyellès
Titulaire au coup d'envoi, l'attaquant Noureddine Bennaï n'était nullement pas le joueur le plus mauvais sur le rectangle vert face au CSC, avec une première période assez honorable, avant de baisser de rythme en seconde mi-temps, certes, mais en méritant malgré tout la confiance de son entraineur.
Mebarki, un vrai combattant
Si Benyellès a décidé d'écarter Boulemdaïs de la liste des 18, tout en laissant Boudjakdji sur le banc de touche en début de match, l'entraineur tlemcénien a préféré miser sur la paire Zouak-Mebarki. Ce dernier, connu pour sa grande combativité, a livré un match plein et a eu même le courage de ne pas laisser ses coéquipiers à dix en fin de match, en revenant sur le terrain en boitillant, après un sacré choc aérien avec le portier Maazouzi.
Dif assume pleinement le capitanat
En l'absence de Boudjakdji et Belgheri dans le onze de départ, c'est le milieu de terrain, Hamid Dif, qui a hérité du brassard de capitaine face au CSC, assumant pleinement ce nouveau rôle de leader, lui qui, à 26 ans, fait partie des cadres de l'équipe.
Trois jours de repos pour les Widadis
Vu que le prochain match des Widadis se déroulera le 7 mai prochain à Béjaïa face à la JSMB, Benyellès a offert trois jours de repos à ses capés, programmant la séance de reprise pour la journée de mercredi.
-
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)