Algérie

WAT : Bourahli signe pour 18 mois



WAT : Bourahli signe pour 18 mois
«Heureux et fier de rejoindre le WAT».
C'est officiel, après quelques jours de négociations, le président Abdelkarim Yahla a réussi à convaincre l'ex-attaquant de l'ASO Chlef, Amir Bourahli, de signer un contrat de 18 mois en faveur du WAT durant la matinée d'hier. Une première recrue de qualité pour le club phare des Zianides. Yahla s'active aussi en coulisses pour finaliser la venue de l'émigré Saoudi, durant la journée d'aujourd'hui. Tout en voulant garnir davantage l'effectif actuel par deux ou trois renforts de qualité, durant les jours à venir.
«Heureux et fier de rejoindre le WAT»
En plus d'un grand sourire aux lèvres, au moment de prendre la photo aux côtés du président Yahla en portant fièrement le maillot bleu et blanc, Bourahli nous a confié qu'il était très heureux et aussi fier de finaliser sa venue dans un grand club comme le WAT. Il veut apporter par son expérience au Widad, lui qui reste sur un début de saison assez décevant avec le récent champion d'Algérie.
En plus de l'arbitrage, le moral et la forme des joueurs
Quel rôle jouera le public face au CAB '
Un seul paramètre pourra changer la physionomie de toute une partie. Si les Bleu et Blanc peuvent toujours regretter l'arbitrage scandaleux lors de la dernière sortie du club phare des Zianides à Bologhine face au Mouloudia d'Alger, ils auront intérêt à tourner la page de ce revers en se concentrant sur la réception du CAB ce samedi, avec comme obligation de remporter le gain complet de la partie. Une rencontre pas vraiment trop alléchante, face à une équipe qui ne devra pas faire le show en se contentant de bien défendre avec l'espoir de repartir avec le point du match nul, d'où la probable présence d'une affluence moyenne, mais qui aura un rôle très important à jouer avant, pendant et après cette partie.
Ne pas rééditer la bourde de l'ASO !
Si les coéquipiers de Anouar Boudjakdji restent sur une victoire à domicile, face pourtant au récent champion d'Algérie à savoir la grande formation de l'ASO Chlef, ils ne gardent forcément pas un probant souvenir de cet après-midi. En effet, le public tlemcénien n'a pas été vraiment tendre avec les joueurs et encore moins avec le coach Amrani, en osant même le bombarder d'insultes malgré la victoire en fin de match. Cela a poussé l'intéressé à vouloir jeter l'éponge, avant de revenir sur sa décision après sa réunion avec les responsables widadis.
Le WAT n'est pas relégable !
Même si tous les amoureux du club phare des Zianides rêvent de voir le WAT remporter de nouveau les sacres ou même d'arracher une qualification pour une compétition étrangère, il ne faut pas exiger non plus d'une jeune équipe, qui devra se contenter d'une simple place honorable avec l'effectif actuel, de rivaliser avec les grandes écuries de l'élite. La bande à Amrani est loin de la zone rouge, à l'heure actuelle.
Finir dans le top 10 est toujours possible
A la 9e place actuellement avec 16 points au compteur, le Widad, qui pourra certes regretter quelques matchs nuls à domicile avec des points bêtement perdus depuis le début de saison, pourra toujours espérer finir la phase aller parmi le top 10. Surtout en cas d'une nouvelle victoire face au CAB demain.
Les joueurs ont besoin d'une certaine confiance
Capables du bon mais aussi du moins bon, les camarades du portier Houari Djemilli ont montré à maintes reprises cette saison qu'ils peuvent élever certes leur niveau pour sortir de grands matchs et tenir tête à de grandes formations de l'élite (USMA, CRB, JSMB). Mais aussi de se perdre totalement et notamment le volet la confiance, d'où la nécessité de sentir un soutien total des supporters widadis, afin de les pousser à se transcender davantage sur le rectangle vert.
Faire les bilans après la fin du match
Si la bande à Amrani n'a pas toujours pratiqué un jeu assez spectaculaire, il faut que le public reste assez serein en soutenant à fond les joueurs durant l'intégralité de la partie. Réagir uniquement à la fin et en fonction du résultat, en réservant une standing- ovation à l'équipe en cas de victoire, ou siffler copieusement les Widadis en cas de contre-performance et piètre prestation.
Quand les enfants prennent le pouvoir !
Le mal réside dans l'identité, mais surtout l'âge de ceux qui commandent dans les tribunes. C'est juste des adolescents de 13, 14 ou
15 ans seulement qui sont souvent poussés par des individus qui veulent changer X ou Y ou défendre les intérêts d'un joueur au détriment d'un autre. En attendant un changement radical dans la mentalité du public algérien, une intervention rapide des vrais amoureux du WAT ne fera mal à personne, mais un bien énorme au club.


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