Réagissant à l'actualité qui agite la presse nationale, M. Sellal a rassuré qu'aucun journaliste n'est emprisonné pour ses opinions et que la corporation est libre. Le Premier ministre a évoqué "la diffamation, l'injure, l'insulte et l'atteinte à la dignité des personnes et des familles", qui ne sauraient être acceptées et qui ne relèvent pas de nos traditions et des valeurs de la société. Il a expliqué, par ailleurs, que "nous n'avons aucun problème avec la presse" et que "les journalistes sont libres", mais "ils sont tenus de respecter l'éthique, les institutions de l'Etat et les lois de la République".M. M.
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Posté Le : 16/07/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Mohamed Mouloudj
Source : www.liberte-algerie.com