Le constructeur de poids lourds Volvo a relevé, vendredi, sa prévision pour le marché européen mais réduit celles concernant l'Amérique du Nord et le Brésil, après des résultats trimestriels meilleurs qu'attendu grâce aux réductions de coût.Le constructeur de poids lourds Volvo a relevé, vendredi, sa prévision pour le marché européen mais réduit celles concernant l'Amérique du Nord et le Brésil, après des résultats trimestriels meilleurs qu'attendu grâce aux réductions de coût.Le groupe suédois, comme ses grands concurrents allemands Daimler et Volkswagen, bénéficie du dynamisme de la demande en Europe au moment où les marchés ralentissent de l'autre côté de l'Atlantique. La première entreprise suédoise par le chiffre d'affaires, qui est également le premier employeur privé du pays, a publié un bénéfice d'exploitation ajusté à 4,46 milliards de couronnes suédoises (485 millions d'euros) contre 4,60 milliards de couronnes il y a un an.Les analystes interrogés par Reuters s'attendaient en moyenne à un bénéfice à 4,14 milliards de couronnes. Les commandes enregistrées par le groupe ont, elles aussi, dépassé le consensus, à un peu plus de 50.000 unités contre moins de 49.000 attendues en moyenne par le marché. "C'est un très bon trimestre.Mais c'est aussi un trimestre pendant lequel il y a eu des inquiétudes chez les investisseurs à cause des coûts élevés observés historiquement chez Volvo quand les cadences de production changent", a commenté Hampus Engellau, analyste d'Handelsbanken Capital Markets. Volvo, qui vend des camions sous sa propre marque ainsi que sous les marques Mack, Renault et UD, table désormais sur une hausse de 20.000 de la demande de camions en Europe cette année, soit deux fois plus qu'auparavant, ce qui porterait le marché à 290.000 unités. Il a parallèlement réduit de 10.000 unités sa prévision de demande pour l'Amérique du Nord et de 5.000 celle du marché brésilien."Le marché européen se porte très bien", a dit le directeur général, Martin Lundstedt. "La demande en Amérique du Nord ralentit par rapport à des niveaux élevés. Au premier trimestre, l'entreprise a fait du bon travail en ajustant les capacités à la baisse des volumes." Les ventes de camions en Europe bénéficient du mouvement de renouvellement des flottes de camions tandis qu'aux Etats-Unis, elles souffrent du passage à vide de l'activité industrielle en début d'année et du déstockage. En février, Volvo avait annoncé une baisse de 30% de sa production nordaméricaine.Le groupe suédois, comme ses grands concurrents allemands Daimler et Volkswagen, bénéficie du dynamisme de la demande en Europe au moment où les marchés ralentissent de l'autre côté de l'Atlantique. La première entreprise suédoise par le chiffre d'affaires, qui est également le premier employeur privé du pays, a publié un bénéfice d'exploitation ajusté à 4,46 milliards de couronnes suédoises (485 millions d'euros) contre 4,60 milliards de couronnes il y a un an.Les analystes interrogés par Reuters s'attendaient en moyenne à un bénéfice à 4,14 milliards de couronnes. Les commandes enregistrées par le groupe ont, elles aussi, dépassé le consensus, à un peu plus de 50.000 unités contre moins de 49.000 attendues en moyenne par le marché. "C'est un très bon trimestre.Mais c'est aussi un trimestre pendant lequel il y a eu des inquiétudes chez les investisseurs à cause des coûts élevés observés historiquement chez Volvo quand les cadences de production changent", a commenté Hampus Engellau, analyste d'Handelsbanken Capital Markets. Volvo, qui vend des camions sous sa propre marque ainsi que sous les marques Mack, Renault et UD, table désormais sur une hausse de 20.000 de la demande de camions en Europe cette année, soit deux fois plus qu'auparavant, ce qui porterait le marché à 290.000 unités. Il a parallèlement réduit de 10.000 unités sa prévision de demande pour l'Amérique du Nord et de 5.000 celle du marché brésilien."Le marché européen se porte très bien", a dit le directeur général, Martin Lundstedt. "La demande en Amérique du Nord ralentit par rapport à des niveaux élevés. Au premier trimestre, l'entreprise a fait du bon travail en ajustant les capacités à la baisse des volumes." Les ventes de camions en Europe bénéficient du mouvement de renouvellement des flottes de camions tandis qu'aux Etats-Unis, elles souffrent du passage à vide de l'activité industrielle en début d'année et du déstockage. En février, Volvo avait annoncé une baisse de 30% de sa production nordaméricaine.
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Posté Le : 25/04/2016
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : R E
Source : www.lemidi-dz.com