Algérie

Violence, une plaie à panser Sous la Plume



Violence, une plaie à panser                                    Sous la Plume
USMA-El Harrach, une belle affiche pour un match de coupe que les mordus de foot suivaient avec passion. Mais la passion s'est transformée en folie destructrice. Les petits hooligans d'El Harrach s'en sont pris à la caméra HD de l'ENTV. Pour sûr, de vulgaires délinquants prennent cet espace pour déverser toute leur agressivité et proférer des propos orduriers et saccager tout ce qui est à leur portée. Des voyous, certes mal dans leur peau, cherchent à s'affirmer et à attirer l'attention.
Cette violence, si elle peut être assimilée à l'importance de l'enjeu, peut être également associée à l'envie de défoulement d'une catégorie sociale le plus souvent marginalisée. Les affrontements entre groupes de supporters se déroulent, la plupart du temps, avant et après les matches et qui parfois surviennent pendant la rencontre comme cela a été le cas pour la rencontre d'hier. Mais pourquoi une telle violence.
Les raisons sont aussi à chercher ailleurs. On assiste à un arbitrage pas très équitable, à des violences verbales entre joueurs sur le terrain. Le doigt est pointé vers les présidents de club mais aussi sur les dirigeants de la Ligue qui par leurs décisions suscitent l'animosité entre clubs. Mais avant tout, il y a la famille puis l'école.
Une famille, la plupart du temps, démissionnaire et une école sinistrée qui n'est pas en mesure d' éduquer et d' inculquer le civisme aux enfants, de sensibiliser les citoyens de demain.
Que reste-t-il ' Les moyens coercitifs, des matches à huis clos, installer des caméras de surveillance, renforcer l'arsenal policier, procéder à des fouilles générales, interdire l'accès aux stades à ceux qui se sont rendus coupables de vandalisme ' la Ligue de football professionnel a pris la décision de faire rembourser les dégâts occasionnés par le club et de payer les frais des parties victimes, c'est le moins qu'on puisse faire, mais la Ligue ne parle pas de faire juger les auteurs. A bien regarder, le foot algérien est malade de ses dirigeants, de ses joueurs et de ses supporters.
C'est la triste réalité
USMA-El Harrach, une belle affiche pour un match de coupe que les mordus de foot suivaient avec passion. Mais la passion s'est transformée en folie destructrice. Les petits hooligans d'El Harrach s'en sont pris à la caméra HD de l'ENTV. Pour sûr, de vulgaires délinquants prennent cet espace pour déverser toute leur agressivité et proférer des propos orduriers et saccager tout ce qui est à leur portée. Des voyous, certes mal dans leur peau, cherchent à s'affirmer et à attirer l'attention.
Cette violence, si elle peut être assimilée à l'importance de l'enjeu, peut être également associée à l'envie de défoulement d'une catégorie sociale le plus souvent marginalisée. Les affrontements entre groupes de supporters se déroulent, la plupart du temps, avant et après les matches et qui parfois surviennent pendant la rencontre comme cela a été le cas pour la rencontre d'hier. Mais pourquoi une telle violence.
Les raisons sont aussi à chercher ailleurs. On assiste à un arbitrage pas très équitable, à des violences verbales entre joueurs sur le terrain. Le doigt est pointé vers les présidents de club mais aussi sur les dirigeants de la Ligue qui par leurs décisions suscitent l'animosité entre clubs. Mais avant tout, il y a la famille puis l'école.
Une famille, la plupart du temps, démissionnaire et une école sinistrée qui n'est pas en mesure d' éduquer et d' inculquer le civisme aux enfants, de sensibiliser les citoyens de demain.
Que reste-t-il ' Les moyens coercitifs, des matches à huis clos, installer des caméras de surveillance, renforcer l'arsenal policier, procéder à des fouilles générales, interdire l'accès aux stades à ceux qui se sont rendus coupables de vandalisme ' la Ligue de football professionnel a pris la décision de faire rembourser les dégâts occasionnés par le club et de payer les frais des parties victimes, c'est le moins qu'on puisse faire, mais la Ligue ne parle pas de faire juger les auteurs. A bien regarder, le foot algérien est malade de ses dirigeants, de ses joueurs et de ses supporters.
C'est la triste réalité


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