Algérie

Vers un championnat à huis clos '



Vers un championnat à huis clos '
Le phénomène de la violence prend de l'ampleur et le huis clos demeure l'unique solution aux yeux des responsables du football algérien.Le phénomène de la violence prend de l'ampleur et le huis clos demeure l'unique solution aux yeux des responsables du football algérien.Aucun stade n'a été épargné par la violence en ce début de championnat, alors que la compétition n'en est encore qu'à sa deuxième journée. Jamais le football algérien n'a connu de telles scènes de violence. Les deux premières journées ont été marquées par un grand nombre d'incidents entre supporters.L'instance nationale du football, dirigée par le président Mahfoud Kerbadj, n'a trouvé d'autre solution que d'infliger aux clubs concernés des huis clos plus des amendes. Mais, estce que cela constitue la solution pour, au moins, diminuer la violence dans nos stades ' La question reste posée. À ce rythme, le championnat algérien risque de se jouer sans la présence des supporters. La décision de la Ligue nationale de football de demander aux clubs d'assurer la sécurité des stades est irrévocable.Le plus touché par cette mesure reste le MC Alger. Ce dernier n'aura pas le droit de recevoir ses adversaires en présence de ses supporters qu'à partir de la 9e journée, face à la JS Saoura, prévue au stade Omar-Hamadi à Bologhine.Le doyen du football algérien, qui est déjà sanctionné par deux matchs à huis clos, reliquat de la saison dernière, a été encore une fois sanctionné par un autre huis clos lors de sa première sortie à Tizi-Ouzou. Même la catégorie des réserves n'a pas échappé à cette mesure. Tout indique donc que l'on se dirige droit vers une saison à huis clos où vers un record en termes de matchs se jouant devant des gradins vides.De leur côté les spécialistes en la matière n'arrivent toujours pas à donner une explication à ce phénomène qui marque le début de championnat. Si le phénomène de la violence dans les stades a été enregistrée la saison dernière vers la fin de la saison en raison des enjeux ayant caractérisé la compétition, cette fois-ci c'est l'anarchie totale dans nos stades.Il y a lieu de signaler que la saison écoulée a enregistré 34 matches de Ligue 1 qui se sont déroulés sans public. Le président de la LFP, Mahfoud Kerbadj, a été clair dans ses déclaration en confirmant qu'aucun "règlement n'existe pour remplacer la sanction du huis clos, qui reste la seule sentence pour punir les fautifs". Certains responsables de clubs ont proposé des alternatives, en réclamant de grosses amendes financières où une défalcation de points aux fautifs.Mais pour le moment c'est le huis clos qui prime. Conscients du danger dans lequel se trouve le football national, les présidents des clubs de Ligue 1 ont décidé de tenir une réunion d'urgence pour trouver une solution. Mais aucune décision concrète n'a été prise. Une chose est sûre, la décision de remplacer les policiers par des stadiers dans les stades a été contestée dès son annonce.Cela a fait accroître le sentiment d'insécurité dans les stades, en témoigne l'absence des grandes foules dans les stades comme ce fut le cas du premier derby algérois entre le MC Alger et l'USM Harrach. Un rendez-vous qui a connu de graves incidents.En tous cas, le phénomène de la violence dans les stades prend de l'ampleur mais aucune décision n'a été prise. Les supporters sont livres à eux-mêmes et les stadiers, sans aucune formation, sont dépassés par les événements. Cette nouvelle mesure vise, certainement, une meilleure organisation des matchs de football dans les stades algériens, mais sur le terrain c'est totalement le contraire.Aucun stade n'a été épargné par la violence en ce début de championnat, alors que la compétition n'en est encore qu'à sa deuxième journée. Jamais le football algérien n'a connu de telles scènes de violence. Les deux premières journées ont été marquées par un grand nombre d'incidents entre supporters.L'instance nationale du football, dirigée par le président Mahfoud Kerbadj, n'a trouvé d'autre solution que d'infliger aux clubs concernés des huis clos plus des amendes. Mais, estce que cela constitue la solution pour, au moins, diminuer la violence dans nos stades ' La question reste posée. À ce rythme, le championnat algérien risque de se jouer sans la présence des supporters. La décision de la Ligue nationale de football de demander aux clubs d'assurer la sécurité des stades est irrévocable.Le plus touché par cette mesure reste le MC Alger. Ce dernier n'aura pas le droit de recevoir ses adversaires en présence de ses supporters qu'à partir de la 9e journée, face à la JS Saoura, prévue au stade Omar-Hamadi à Bologhine.Le doyen du football algérien, qui est déjà sanctionné par deux matchs à huis clos, reliquat de la saison dernière, a été encore une fois sanctionné par un autre huis clos lors de sa première sortie à Tizi-Ouzou. Même la catégorie des réserves n'a pas échappé à cette mesure. Tout indique donc que l'on se dirige droit vers une saison à huis clos où vers un record en termes de matchs se jouant devant des gradins vides.De leur côté les spécialistes en la matière n'arrivent toujours pas à donner une explication à ce phénomène qui marque le début de championnat. Si le phénomène de la violence dans les stades a été enregistrée la saison dernière vers la fin de la saison en raison des enjeux ayant caractérisé la compétition, cette fois-ci c'est l'anarchie totale dans nos stades.Il y a lieu de signaler que la saison écoulée a enregistré 34 matches de Ligue 1 qui se sont déroulés sans public. Le président de la LFP, Mahfoud Kerbadj, a été clair dans ses déclaration en confirmant qu'aucun "règlement n'existe pour remplacer la sanction du huis clos, qui reste la seule sentence pour punir les fautifs". Certains responsables de clubs ont proposé des alternatives, en réclamant de grosses amendes financières où une défalcation de points aux fautifs.Mais pour le moment c'est le huis clos qui prime. Conscients du danger dans lequel se trouve le football national, les présidents des clubs de Ligue 1 ont décidé de tenir une réunion d'urgence pour trouver une solution. Mais aucune décision concrète n'a été prise. Une chose est sûre, la décision de remplacer les policiers par des stadiers dans les stades a été contestée dès son annonce.Cela a fait accroître le sentiment d'insécurité dans les stades, en témoigne l'absence des grandes foules dans les stades comme ce fut le cas du premier derby algérois entre le MC Alger et l'USM Harrach. Un rendez-vous qui a connu de graves incidents.En tous cas, le phénomène de la violence dans les stades prend de l'ampleur mais aucune décision n'a été prise. Les supporters sont livres à eux-mêmes et les stadiers, sans aucune formation, sont dépassés par les événements. Cette nouvelle mesure vise, certainement, une meilleure organisation des matchs de football dans les stades algériens, mais sur le terrain c'est totalement le contraire.


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