Vers le blanchiment de Tahkout

Apparemment Tahkout Manufacturions Company(TMC), accusée de tricherie dans l'assemblage des voitures de la marque sudcoréenne Hyundai de Tiaret, est sur le point d'être lavée de tout soupçon. C'est en tout cas ce qui a déjà filtré de la commission d'enquête dépêchée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.Apparemment Tahkout Manufacturions Company(TMC), accusée de tricherie dans l'assemblage des voitures de la marque sudcoréenne Hyundai de Tiaret, est sur le point d'être lavée de tout soupçon. C'est en tout cas ce qui a déjà filtré de la commission d'enquête dépêchée par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.Ce dernier a, pour rappel, decidé d'envoyer à Tiaret cette commission suite aux informations selon lesquelles TMC n'a pas respecté le cahier des charges s'agissant les impératifs de montage de la voiture en question. Il lui a été reproché, photos à l'appui, d'importer des voitures et de se contenter juste de monter les roues dans l'usine de Tiaret. L'affaire a défrayé la chronique poussant le gouvernement à réagir par l'envoi de cette commission d'inspection pour faire la lumière sur cette affaire.Il semble que les premières conclusions de cette commission, qui comprend des représentants de l'Inspection générale des finances, de l'Inspection générale des douanes et de l'Inspection générale de l'Industrie, et qui s'est déplacée sur place avant-hier mardi, sont positives. Selon ce qui a filtré des membres de cette commission TMC a bel et bien respecté les clauses du cahier des charges. Cette affaire a suscité une vague de réactions. Le patron de TMC, Mahiedine Tahkout, s'est défendu d'avoir enfreint la réglementation en accusant ses détracteurs d'avoir monté cette affaire de toutes pièces pour le discréditer.Il dira aussi que ses détracteurs veulent aussi discréditer l'industrie naissante de l'automobile. Tout comme il a dénoncé une cabale contre sa personne et contre tous les investisseurs potentiels susceptibles de limiter les importations. Pour mieux appuyer ses dires il a décidé d'inviter la presse à visiter son usine. Des professionnels des médias ont pu alors voir de visu que le montage des voitures s'effectue sur place.Ce dernier a, pour rappel, decidé d'envoyer à Tiaret cette commission suite aux informations selon lesquelles TMC n'a pas respecté le cahier des charges s'agissant les impératifs de montage de la voiture en question. Il lui a été reproché, photos à l'appui, d'importer des voitures et de se contenter juste de monter les roues dans l'usine de Tiaret. L'affaire a défrayé la chronique poussant le gouvernement à réagir par l'envoi de cette commission d'inspection pour faire la lumière sur cette affaire.Il semble que les premières conclusions de cette commission, qui comprend des représentants de l'Inspection générale des finances, de l'Inspection générale des douanes et de l'Inspection générale de l'Industrie, et qui s'est déplacée sur place avant-hier mardi, sont positives. Selon ce qui a filtré des membres de cette commission TMC a bel et bien respecté les clauses du cahier des charges. Cette affaire a suscité une vague de réactions. Le patron de TMC, Mahiedine Tahkout, s'est défendu d'avoir enfreint la réglementation en accusant ses détracteurs d'avoir monté cette affaire de toutes pièces pour le discréditer.Il dira aussi que ses détracteurs veulent aussi discréditer l'industrie naissante de l'automobile. Tout comme il a dénoncé une cabale contre sa personne et contre tous les investisseurs potentiels susceptibles de limiter les importations. Pour mieux appuyer ses dires il a décidé d'inviter la presse à visiter son usine. Des professionnels des médias ont pu alors voir de visu que le montage des voitures s'effectue sur place.