La cour d'appel de Constantine a confirmé hier le verdict prononcé le 27 novembre 2018 contre le coordinateur du mouvement Mouwatana à Constantine, Abdelkrim Zeghilèche, à savoir une peine de deux mois de prison avec sursis assortie d'une amende de 50 000 DA et une disculpation des chefs passibles de peine d'emprisonnement, à savoir l'outrage à fonctionnaire dans l'exercice de ses fonctions et l'atteinte à la vie privée d'autrui.Il s'agit, en effet, de la même sentence rendue en première instance par le tribunal correctionnel de Constantine après une mise sous mandat de dépôt de l'accusé pendant près de 50 jours et un appel introduit par le procureur de la République en même temps qu'un pourvoi en cassation de la part de ses avocats. Son accusateur qui n'est autre que Mohamed Latafi, un activiste du mouvement associatif connu sur la place de Constantine, notamment au sein des comités de soutien au président Bouteflika depuis le début des années 2000, n'a d'ailleurs pas daigné se présenter au procès en appel.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 29/04/2019
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Liberté
Source : www.liberte-algerie.com