Algérie

USM El Harrach : refaire le coup de l'année dernière



USM El Harrach : refaire le coup de l'année dernière
El Harrach rééditera-t-il le même scénario de la saison dernière ' C'est ce qu'espèrent les férus de la balle ronde et de l'épreuve populaire à quelques heures de cette très attendue demi-finale qui les opposera ce soir au leader du championnat, l'Entente de Sétif.
En effet, l'USMH, qui vise une deuxième finale de suite, après celle perdue l'année dernière face à la JSK, retrouvera pour la deuxième fois de suite l'ESS sur son chemin vers la finale de Coupe d'Algérie, avec une seule différence, celle qui fait que c'est l'USMH qui se déplacera cette fois-ci vers Sétif et le chaudron du 8 Mai 1945. Une affiche alléchante en perspective et ouverte à tous les pronostics, comme le notera Nacer Bechouche, le coach adjoint de l'USMH. «C'est un match difficile pour les deux formations et chacune des deux équipes a des chances de l'emporter. Pour notre part, on ira en véritable concurrent avec la ferme intention d'arracher cette qualification pour la finale. La détermination anime nos joueurs et le fait de disposer de l'ensemble de notre effectif est un atout de taille, même si on joue à Sétif», estime le technicien.
Et d'ajouter : «Il est vrai aussi que l'ESS reste sur deux faux pas à domicile en championnat, mais on ne se fie pas trop à ces résultats, d'autant plus que nous évoluerons dans une tout autre compétition, sans oublier que les matchs se suivent mais ne se ressemblent pas. Il faudra donc se méfier de la réaction d'une bête blessée», estime l'entraîneur adjoint de cette équipe harrachie. Une formation de l'USMH, qui contrairement à son adversaire du jour, évoluera avec un effectif au complet, ce qui constituera un avantage considérable pour la formation algéroise, habituée à des exploits en déplacement. Par ailleurs, la délégation harrachie, qui a pris, hier en fin d'après-midi, la route à destination de Sétif, a décidé d'élire domicile à El Eulma, où elle a passé la nuit en guise de mise au vert, pour fuir la pression de Sétif, et ne rejoindre la capitale des Hauts-Plateaux et le stade du 8 Mai 1945 qu'aujourd'hui, en fin d'après-midi.




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