Algérie

Une ville, une histoire Si l'Algérie m'était contée (15e partie)



Une ville, une histoire
                                    Si l'Algérie m'était contée (15e partie)
Résumé de la 14e partie - La princesse Alia, en quittant momentanément son palais de verre, croise le regard du prince d'un pays voisin. Elle en tombe éperdument amoureuse.
La gouvernante, ne sachant que faire, décide d'en informer le roi.
' Ma fille est malade ' s'inquiète le roi.
' Elle ne veut plus manger ! Elle ne veut plus parler !
' Je ne peux plus la laisser dans ce palais. Je vais la ramener auprès de moi et la faire soigner, comme il se doit !
Il la fait conduire dans son propre palais, dans des appartements qui lui sont désormais réservés. Il fait fleurir la chambre, engage même des danseuses pour la divertir, mais la princesse reste prostrée. Elle refuse de s'alimenter.
' Pourquoi refuses-tu de manger '
' Oh père, je veux mourir !
' Mais dis-moi ce qui te met dans cet état '
' Je ne sais pas ce que j'ai !
Le roi réfléchit.
' Le mal est plus profond que je ne le pensais !
Il fait venir des médecins qui prescrivent des drogues. Mais aucune n'a d'effet sur la princesse Alia qui, de jour en jour, dépérit. Le roi se met en colère.
' Tous ces médecins ne sont que des charlatans !
Il déclare alors.
' Celui qui parviendra à guérir ma fille, je le comblerai d'or, mais celui qui s'essaye et qui échoue, je lui trancherai la tête !
La récompense promise tente plus d'un, mais la perspective d'avoir la tête coupée, en cas d'échec, éloigne les plus ambitieux.
Pourtant, un médecin se présente et veut soigner la princesse. Le roi le regarde et lui dit.
' tu es au courant des conditions que j'impose '
' oui, majesté !
' si tu ne parviens pas à guérir ma fille, tu auras la tête tranchée !
' je le sais !
' alors, va et soigne-la !
L'homme se courbe.
' avant de soigner la princesse, je demande à l'observer, mais à la dérobée.
' fais comme tu penses. Mais maintenant que tu t'es engagé, tu dois guérir ma fille ou' mourir !
L'homme se fait conduire dans la chambre de la jeune fille. Il se cache et l'observe. La princesse, quand elle est seule, se met à se plaindre à voix haute.
«Oh, mon prince, si beau, je ne peux t'oublier !»
Et elle parle de ses yeux, de sa chevelure, de sa taille' et elle verse d'abondantes larmes et pousse des gémissements.
L'homme se frotte les mains.
«Je comprends l'origine de sa maladie !»
Il a compris que la princesse est amoureuse. (A suivre...)


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