Algérie

Une ville, une histoire



Une ville, une histoire
Résumé de la 8e partie n L'épouse d'Abdenour et un de ses fils débarquent au bureau et découvrent la jeune fille. Une vraie catastrophe.Abdenour hurla à son tour?: Ah?! Parce que tu les aimes plus que moi?' C'est toi qui as travaillé comme un dingue pendant des années et des années d'arrache pied ne t'accordant ni répit ni repos pour qu'ils ne manquent de rien et pour que tu puisses mourir en paix en sachant que tu leur as laissé de quoi vivre décemment après toi?'- Et cette?cette??«?khamdja?»?' hurla encore Razika.- «?khamdja?», hein?' Tu insultes les gens maintenant, hein, Razika?' Cette fille ne t'a rien fait. Et jusqu'à preuve du contraire, c'est une fille très gentille. Je l'ai fait venir pour qu'elle me prépare du couscous.- Mais papa, cette fille est vraiment «?khamdja?»?Tout le monde la connait à Ain Bénian, Staoueli et La Madrague. Que diront les gens quand ils la verront avec toi?'Dès qu'Abdenour eut entendu ces mots, il donna à son fils une gifle à assommer un éléphant?:- Inaâl waldik?! C'est toi qui es «?khamedj?»?! Tu as peur que les gens disent que ton père a de mauvaises fréquentations, ce qui du reste n'est pas vrai, et tu n'as pas peur qu'ils disent que le fils ainé de Abdenour a 25 ans et il se comporte non pas comme un être humain mais comme un tube digestif.?Jamais tu ne t'es dit que ton père était fatigué et qu'il avait besoin d'être aidé dans ses activités.Des activités dont tu es pourtant un des bénéficiaires. Tu ne fais que manger et changer de vêtements dix fois par jour. Inaâl waldik?!Razika voulut intervenir pour «?protéger?» son fils et à son tour elle reçut deux gifles d'une rare violence. Puis, il ouvrit la porte de son bureau et les fit sortir en les poussant.C'était la première fois en près de trente ans de vie commune que Abdenour levait la main sur son épouse. Jamais il n'avait été énervé comme cette-nuit-là. A tel point qu'il s'endormit sans avoir mangé le couscous que la jeune fille avait préparé. Il n'avait plus d'appétit. Et le lendemain, il allait commettre un acte des plus inimaginables.A suivre




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