Algérie

Une ville, une histoire



Une ville, une histoire
Résumé de la 16e partie ? Méziane se rend chez le vieux Tahar et ne résiste pas à la tentation de lui demander qui était le vieil homme avec qui il avait discuté dans les bois. Celui-ci se met alors à hurler.Méziane jubile déjà en pensant à la surprise d'El-Vachir quand il voit le vieillard qui a failli trépasser la veille, en train de sautiller comme un jouvenceau. Mais à sa grande surprise, le forgeron passe devant le vieil homme sans s'arrêter ni le saluer?! Mais qu'est-ce que cela veut dire?! Il ne l'a pas vu?' Alors qu'il se trouvait presque en travers de son chemin?! Méziane veut crier et appeler le forgeron pour lui demander s'il était devenu aveugle mais au dernier moment, il parvint à plaquer ses deux mains contre sa bouche. Soudain, il sursaute parce qu'il a senti quelqu'un à côté de lui. Il émet un long soupir de soulagement quand il reconnaît son épouse?:?Ah?! Sekkoura?! Tu as bien fait de te réveiller.?C'est toi qui m'as réveillée...Le jeune berger réfléchit rapidement et se dit qu'avec un peu de chance il pourrait amener sa femme à voir le vieux cinglé de Tahar sans qu'il lui en parle. Il lui dit alors?en usant du mensonge?:?J'ai toujours été fasciné par El-Vachir, notre vieux forgeron.... C'est en pleine nuit qu'il se réveille pour se rendre au marché qui se trouve derrière ces montagnes alors que beaucoup d'entre nous évitons de nous y rendre parce qu'il est trop loin de notre village. Regarde-le s'éloigner avec son vieil âne. Il s'écarte de la lucarne de telle sorte que sa femme peut regarder à l'extérieur?:?Oui, il s'agit bien d'El-Vachir. Je reconnais son âne. Méziane s'attend à ce qu'elle lui demande ce que le vieux Tahar fait en jetant des cailloux qu'il ramasse mais il n'en est rien?: elle non plus n'a pas l'air de le voir et encore moins d'entendre le bruit des cailloux tombant sur le sol rocheux. (A suivre...)




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