Algérie

Une véritable gangrène



Une véritable gangrène
Une fois le mois de Ramadhan, est là, le temps est à certains métiers aussi bien spécifiques que saisonniers : Chaque année, nombreux sont ceux qui saisissent cette période de grandes consommations pour s'adonner à des métiers saisonniers, afin d'améliorer leurs revenus.Une fois le mois de Ramadhan, est là, le temps est à certains métiers aussi bien spécifiques que saisonniers : Chaque année, nombreux sont ceux qui saisissent cette période de grandes consommations pour s'adonner à des métiers saisonniers, afin d'améliorer leurs revenus.Si la vie est chère durant toute l'année, elle devient exorbitante en ces temps de vaches maigres. Ce sont souvent des petits commerces informels qui fleurissent en particulier dans les quartiers populaires et endroits stratégiques.Ces commerçants occasionnels proposent aux clients toutes sortes de produits : gâteaux, galettes et toutes sortes de pains (industriels et traditionnels) diverses sortes de brioches, ou encore des fruits. Par ailleurs, des jeunes profitent du mois sacré pour préparer et vendre plusieurs variétés de jus. Les jus connaissent pendant le Ramadhan un réel engouement étant donné leurs vertus alimentaires, surtout en cette période caniculaire.Dans certains locaux loués pour l'occasion, des femmes et des hommes préparent les feuilles de diouls, pour préparer les boureks ou encore, les incontournables gâteaux du Ramadhan : zlabia, kalb elouz et ktayef... Outre les mets qui garnissent la table du f'tour, le citoyen connaît aussi une frénésie d'achat de vêtements pour se préparer pour l'Aid el-fitr.Contrairement à l'Aïd el-adha, l'Aïd el-fitr qui clôture le mois de Ramadhan est beaucoup plus festif parce que les enfants y jouent un grand rôle.Certains disent même que c'est l'Aïd des enfants. Effectivement, à partir de la deuxième moitié du mois de Ramadhan, les discussions sur les vêtements de l'Aïd commencent à faire de la concurrence à celles dédiées à la cuisine et à la gastronomie, qui monopolise le mois saint. Et pendant la deuxième quinzaine, effectivement, les commerçants saisonniers occupent toutes les artères, les places stratégiques et les boutiques ouvrent leurs portes après la rupture du jeûne.Commence alors la course des parents pour trouver la chaussure, robe ou la chemise qui allie qualité, moindre coût et qui surtout plaît aux enfants. Ces habits, qui s'écoulent comme des petits pains, illustrent les coutumes et traditions ancestrales très ancrées dans la société. De même, le Ramadhan constitue un moment propice pour la vente de livres religieux.Avant le mois sacré, des milliers de familles travaillent pour se préparer à cette période spéciale. Ce sont généralement des familles nécessiteuses qui mobilisent tous leurs membres pour réussir ce petit business.Les jeunes profitent aussi de ce mois. Ils saisissent ainsi cette aubaine pour financer leurs études et passer des vacances avec des amis. Les revenus de ces commerçants saisonniers sont souvent importants, surtout que les consommateurs n'aiment pas se priver et vont jusqu'à s'endetter pour pouvoir satisfaire leurs envies et garnir leurs tables du f'tour.Si la vie est chère durant toute l'année, elle devient exorbitante en ces temps de vaches maigres. Ce sont souvent des petits commerces informels qui fleurissent en particulier dans les quartiers populaires et endroits stratégiques.Ces commerçants occasionnels proposent aux clients toutes sortes de produits : gâteaux, galettes et toutes sortes de pains (industriels et traditionnels) diverses sortes de brioches, ou encore des fruits. Par ailleurs, des jeunes profitent du mois sacré pour préparer et vendre plusieurs variétés de jus. Les jus connaissent pendant le Ramadhan un réel engouement étant donné leurs vertus alimentaires, surtout en cette période caniculaire.Dans certains locaux loués pour l'occasion, des femmes et des hommes préparent les feuilles de diouls, pour préparer les boureks ou encore, les incontournables gâteaux du Ramadhan : zlabia, kalb elouz et ktayef... Outre les mets qui garnissent la table du f'tour, le citoyen connaît aussi une frénésie d'achat de vêtements pour se préparer pour l'Aid el-fitr.Contrairement à l'Aïd el-adha, l'Aïd el-fitr qui clôture le mois de Ramadhan est beaucoup plus festif parce que les enfants y jouent un grand rôle.Certains disent même que c'est l'Aïd des enfants. Effectivement, à partir de la deuxième moitié du mois de Ramadhan, les discussions sur les vêtements de l'Aïd commencent à faire de la concurrence à celles dédiées à la cuisine et à la gastronomie, qui monopolise le mois saint. Et pendant la deuxième quinzaine, effectivement, les commerçants saisonniers occupent toutes les artères, les places stratégiques et les boutiques ouvrent leurs portes après la rupture du jeûne.Commence alors la course des parents pour trouver la chaussure, robe ou la chemise qui allie qualité, moindre coût et qui surtout plaît aux enfants. Ces habits, qui s'écoulent comme des petits pains, illustrent les coutumes et traditions ancestrales très ancrées dans la société. De même, le Ramadhan constitue un moment propice pour la vente de livres religieux.Avant le mois sacré, des milliers de familles travaillent pour se préparer à cette période spéciale. Ce sont généralement des familles nécessiteuses qui mobilisent tous leurs membres pour réussir ce petit business.Les jeunes profitent aussi de ce mois. Ils saisissent ainsi cette aubaine pour financer leurs études et passer des vacances avec des amis. Les revenus de ces commerçants saisonniers sont souvent importants, surtout que les consommateurs n'aiment pas se priver et vont jusqu'à s'endetter pour pouvoir satisfaire leurs envies et garnir leurs tables du f'tour.


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