« Le projet de partenariat entre la BEA (Banque extérieure d’Algérie), le FNI (Fonds national de l’investissement) et l’assureur français AXA, construit dans la concertation, est en bonne voie. Nous ne pouvons pas vous en dire plus pour l’instant, mais cela se fera dès que les principales étapes seront franchies », a déclaré mercredi dernier à El Watan Economie Adlène Messelem, représentant du groupe AXA en Algérie, en marge de l’inauguration officielle de l’Ecole supérieure des assurances à Alger. Selon l’assureur privé Alliance assurance, «l’arrivée d’AXA a intervenu à un moment où il y a eu des changements. AXA devait donc s’adapter ou obtenir une dérogation que les autorités algériennes lui ont refusée, car cela aurait remis en cause toute la politique de l’Etat algérien vis-à-vis d’autres partenaires qui auraient pu aussi demander la même chose. Puisque l’acceptation des nouvelles règles au niveau du top management d’AXA et que les autorités algériennes ont trouvé des solutions sur les 51% en offrant la participation de la BEA et du FNI ». Pour le DG du Trésor et président de la commission de supervision des assurances, Hadji Baba Ami, « il n’existe pas de problème au niveau d’AXA pour s’installer en Algérie, mais il y a un problème d’application de la disposition de la loi de finances complémentaire qui impose aux nouvelles sociétés à créer de donner la majorité des actions aux Algériens ».
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté Le : 27/09/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : Fella Midjek
Source : www.elwatan.com