Algérie

Une solution idoine pour la greffe rénale



Le prélèvement d' organes sur des personnes décédées " est une solution idoine " pour la prise charge desgreffes rénales, a affirmé avant-hier le Mustapha chef deservice de néphrologie au CHU Dr "Tidjani Damerdji"de TlemcenLe prélèvement d' organes sur des personnes décédées " est une solution idoine " pour la prise charge desgreffes rénales, a affirmé avant-hier le Mustapha chef deservice de néphrologie au CHU Dr "Tidjani Damerdji"de Tlemcen
In tervenant à l'occasion d'une cérémonie préparatoirede la centième grefferénale au niveau de cet établissement,ce spécialiste amis l'accent, devant lesautorités locales, à leur têtele wali, Ali Benyaiche, surla nécessité de ces prélèvementseu égard aux besoinssans cesse pressants auniveau du CHU, soulignant que "cela ne s'arrête pas au stade de l'acte opératoire ou de la sélection des futursgreffés, mais demande unsuivi permanent des malades". "La greffe n'est pas aussi simple que l'on le pense.
Elle nécessite la réunion de plusieurs facteurspour l'effectuer", a-t-il expliqué.Ce programme, encours de développement pourla transplantation rénale,permettra au CHU deTlemcen de s'ériger en pôle régional pour la greffe rénalepour espérer atteindre latransplantation entre 50 et 60 malades/an, a-til ajouté, proposant l'édification d'unpôle à Oran pour la grefferénale pour enfants. Le servicede néphrologie, quieffectue des séances de dialyseau profit d'un millier de patients à travers la wilaya de Tlemcen, voit arriver, annuellement, entre 100 à 140 malades nouveaux par an, dont 30 à 40 doivent êtregreffés, selon la même source. Cependant, ce programme est confronté à la réticence de dons d'organes, en dépit des multiples actions de sensibilisation menées sur le terrain, dont notamment un colloqueorganisé en 2011 sur ce thème, d'où la nécessité du prélèvement sur les cadavres,a-t-il insisté.
Pour sa part, le chef de service de chirurgie A, Dr. Abi Ayad Chakib, a donné un historique de la greffe rénale qui a débuté en décembre 2007, pour atteindre, 98 interventions du genre. La centième étant prévue pour la deuxième quinzaine de ce mois d'avril. Organisée par le comité de greffe du CHU de Tlemcen, cette cérémonie, abritée par la bibliothèque "Bachir Benamar", a réuni les équipes médicales des deux services, des représentants de la direction générale l'établissement, des greffés, des donneurs et des malades en instance de greffe.
Répondant à leurs sollicitations, le responsable de l'exécutif s'est engagé à mobiliser tous les moyens et équipements nécessaires pour assurer la suite de cegenre d'interventions chirurgicales et leur augmentation invitant les greffés s'organiser en associationpour mieux sensibiliser les potentiels. Le général du CHU, Nasreddine Mazouni, a rappelé que l'équipe de chirurgie A s'est engagée à réaliser, en 2018, quatre intervention/ mois, soit 48 pourtoute l'année.
In tervenant à l'occasion d'une cérémonie préparatoirede la centième grefferénale au niveau de cet établissement,ce spécialiste amis l'accent, devant lesautorités locales, à leur têtele wali, Ali Benyaiche, surla nécessité de ces prélèvementseu égard aux besoinssans cesse pressants auniveau du CHU, soulignant que "cela ne s'arrête pas au stade de l'acte opératoire ou de la sélection des futursgreffés, mais demande unsuivi permanent des malades". "La greffe n'est pas aussi simple que l'on le pense.
Elle nécessite la réunion de plusieurs facteurspour l'effectuer", a-t-il expliqué.Ce programme, encours de développement pourla transplantation rénale,permettra au CHU deTlemcen de s'ériger en pôle régional pour la greffe rénalepour espérer atteindre latransplantation entre 50 et 60 malades/an, a-til ajouté, proposant l'édification d'unpôle à Oran pour la grefferénale pour enfants. Le servicede néphrologie, quieffectue des séances de dialyseau profit d'un millier de patients à travers la wilaya de Tlemcen, voit arriver, annuellement, entre 100 à 140 malades nouveaux par an, dont 30 à 40 doivent êtregreffés, selon la même source. Cependant, ce programme est confronté à la réticence de dons d'organes, en dépit des multiples actions de sensibilisation menées sur le terrain, dont notamment un colloqueorganisé en 2011 sur ce thème, d'où la nécessité du prélèvement sur les cadavres,a-t-il insisté.
Pour sa part, le chef de service de chirurgie A, Dr. Abi Ayad Chakib, a donné un historique de la greffe rénale qui a débuté en décembre 2007, pour atteindre, 98 interventions du genre. La centième étant prévue pour la deuxième quinzaine de ce mois d'avril. Organisée par le comité de greffe du CHU de Tlemcen, cette cérémonie, abritée par la bibliothèque "Bachir Benamar", a réuni les équipes médicales des deux services, des représentants de la direction générale l'établissement, des greffés, des donneurs et des malades en instance de greffe.
Répondant à leurs sollicitations, le responsable de l'exécutif s'est engagé à mobiliser tous les moyens et équipements nécessaires pour assurer la suite de cegenre d'interventions chirurgicales et leur augmentation invitant les greffés s'organiser en associationpour mieux sensibiliser les potentiels. Le général du CHU, Nasreddine Mazouni, a rappelé que l'équipe de chirurgie A s'est engagée à réaliser, en 2018, quatre intervention/ mois, soit 48 pourtoute l'année.


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