Algérie

Une résolution de l'Algérie adoptée par l'Onu Prise d'otages par les terroristes


Une résolution de l'Algérie adoptée par l'Onu                                    Prise d'otages par les terroristes
La 18e session du Conseil des droits de l'homme de l'Onu a adopté une résolution de l'Algérie sur les droits de l'homme et les questions relatives à la prise d'otages par les terroristes, confie à l'APS, une source diplomatique.
La 18e session du Conseil des droits de l'homme de l'Onu a adopté une résolution de l'Algérie sur les droits de l'homme et les questions relatives à la prise d'otages par les terroristes, confie à l'APS, une source diplomatique.
Le texte, endossé par le groupe africain, a été adopté le 29 septembre 2011 par consensus par le Conseil. Par ce texte, le Conseil des droits de l'homme "reconnaît que la question des prises d'otages soulève des défis et impacte négativement sur les droits de l'homme", notamment des otages, a indiqué l'ambassadeur, représentant permanent de l'Algérie à Genève, M. Idriss Jazaïry. Il a ajouté que le Conseil des droits de l'homme "exprime sa préoccupation quant à l'aggravation de cet impact négatif que peuvent entraîner les actions et mesures prises dans le cadre de la libération des otages".
Cet impact négatif implique "automatiquement le paiement des rançons", a-t-il dit. M. Jazaïry a précisé que le Conseil, par cette résolution, charge le comité consultatif d'élaborer une étude sur les questions précitées. Il a souligné que le consensus, qui a entouré l'adoption du texte, résultait de "l'esprit et l'engagement constructifs que la mission permanente (de l'Algérie) a pu obtenir des délégations qui étaient initialement réticentes, notamment la France, les Etats-Unis d'Amérique et l'Espagne", relevant le "rôle positif" joué par la délégation du Royaume-Uni en faveur de l'initiative algérienne au sein de l'Union européenne.
L'ambassadeur, représentant permanent à Genève, a considéré l'adoption de cette résolution comme un hommage rendu à l'Algérie dans le cadre de cette initiative et un soutien exprimé à ses efforts pour mettre un terme au paiement de rançons, ajoutant que la délégation américaine a réaffirmé sa condamnation d'un tel paiement qui "renforce le terrorisme".
La Turquie, la Russie, Cuba, la Colombie, le Sri Lanka et le Bengladesh se sont portés co-auteurs de la résolution. M. Jazaïry a indiqué que l'Algérie oeuvrera à sensibiliser le comité consultatif sur la question du paiement des rançons "pour qu'elle soit adéquatement reflétée dans l'étude".
Le texte, endossé par le groupe africain, a été adopté le 29 septembre 2011 par consensus par le Conseil. Par ce texte, le Conseil des droits de l'homme "reconnaît que la question des prises d'otages soulève des défis et impacte négativement sur les droits de l'homme", notamment des otages, a indiqué l'ambassadeur, représentant permanent de l'Algérie à Genève, M. Idriss Jazaïry. Il a ajouté que le Conseil des droits de l'homme "exprime sa préoccupation quant à l'aggravation de cet impact négatif que peuvent entraîner les actions et mesures prises dans le cadre de la libération des otages".
Cet impact négatif implique "automatiquement le paiement des rançons", a-t-il dit. M. Jazaïry a précisé que le Conseil, par cette résolution, charge le comité consultatif d'élaborer une étude sur les questions précitées. Il a souligné que le consensus, qui a entouré l'adoption du texte, résultait de "l'esprit et l'engagement constructifs que la mission permanente (de l'Algérie) a pu obtenir des délégations qui étaient initialement réticentes, notamment la France, les Etats-Unis d'Amérique et l'Espagne", relevant le "rôle positif" joué par la délégation du Royaume-Uni en faveur de l'initiative algérienne au sein de l'Union européenne.
L'ambassadeur, représentant permanent à Genève, a considéré l'adoption de cette résolution comme un hommage rendu à l'Algérie dans le cadre de cette initiative et un soutien exprimé à ses efforts pour mettre un terme au paiement de rançons, ajoutant que la délégation américaine a réaffirmé sa condamnation d'un tel paiement qui "renforce le terrorisme".
La Turquie, la Russie, Cuba, la Colombie, le Sri Lanka et le Bengladesh se sont portés co-auteurs de la résolution. M. Jazaïry a indiqué que l'Algérie oeuvrera à sensibiliser le comité consultatif sur la question du paiement des rançons "pour qu'elle soit adéquatement reflétée dans l'étude".
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