Algérie

Une rentrée difficile ! UNIVERSITE MOULOUD-MAMMERI



Une rentrée difficile ! UNIVERSITE MOULOUD-MAMMERI
C'est à une rentrée difficile qu'ont droit les étudiants de l'université Mouloud- Mammeri de Tizi-Ouzou cette semaine. C'est du moins le point sur lequel s'accordent les témoignages des étudiants que nous avons pu approcher au niveau des deux campus de Hasnaoua et Tamda.C'est à une rentrée difficile qu'ont droit les étudiants de l'université Mouloud- Mammeri de Tizi-Ouzou cette semaine. C'est du moins le point sur lequel s'accordent les témoignages des étudiants que nous avons pu approcher au niveau des deux campus de Hasnaoua et Tamda.
Les choses ne se déroulent pas tel qu'il se doit donc et il était somme toute prévisible que toutes les difficultés relevées soient au rendez-vous. La principale raison est la précipitation dans laquelle se déroule ladite rentrée. En ces premiers jours de la rentrée universitaire 2013/2014, c'est plutôt au niveau des résidences universitaires que plusieurs problèmes se posent parfois avec acuité pour les étudiants qui y atterrissent.
Les aléas de la rentrée universitaire concernent plus particulièrement les nouveaux étudiants inscrits, a-t-on constaté. La première insuffisance que les étudiants ont eu à affronter, c'est l'absence de restauration, mais aussi celui de l'indisponibilité d'eau potable dans les robinets de la majorité des cités. Dans bon nombre parmi ces dernières, il a été constaté que le service minimum en matière de nettoyage des cités n'a pas été effectué.
C'est le cas au niveau de la cité des jeunes filles de Mdouha, l'une des plus anciennes, située à l'entrée est de la ville de Tizi-Ouzou. Les étudiantes ont dû passer ces premiers jours sans eau ni pour boire et surtout pour se laver. Les étudiants et les étudiantes ont droit à des repas froids puisque les réfectoires sont encore fermés.
Pourtant, il y a plusieurs jours depuis que les étudiants concernés par les examens de rattrapage ont déjà rejoint des cités universitaires de l'université Mouloud-Mammeri qui en compte 7 : Hasnaoua I et Hasnoua II, Boukhalfa, Oued Aïssi, Tamda, Hamlat et l'Habitat. D'autres cités sont toutefois épargnées par ce genre de problèmes comme celle de Hasnaoua II où les étudiantes ont droit à des repas complets au sein de la résidence universitaire et où le problème d'eau ne se pose pas. Les autres étudiants s'interrogent, d'ailleurs, pourquoi des problèmes touchent certaines résidences et non pas d'autres '
Depuis le 4 septembre passé, jour où les premiers étudiants ont commencé à affluer sur l'université de Tizi-Ouzou, c'est plutôt le statu quo. A la résidence universitaire de Oued Aïssi, les universitaires déplorent également une multitude d'insuffisances qui compromettent le bon déroulement de la rentrée universitaire. Le problème que pratiquement l'ensemble des étudiants dénoncent à l'unanimité est celui de l'absence d'hygiène et l'insalubrité qui caractérise les cités U.
Il y a lieu, en outre, de rappeler que le problème qui ne manquera pas de surgir cette année aussi, est celui du sureffectif qui frappe de plein fouet cette université qui voit les rangs des étudiants qui la fréquentent grossir. Ceci, au moment où les infrastructures ne s'améliorent pas à la hauteur de ce changement. Pour cette année universitaire, on comptera 48.000 étudiants au total. Ils seront répartis sur les 7 campus et les différentes cités.
Le nombre des inscrits en première année est de l'ordre de 6.842. Le problème de la surcharge s'exacerbera quand on sait qu'aucune nouvelle infrastructure ne sera réceptionnée au courant de l'année universitaire 2013/2014. Les nouveaux bacheliers seront répartis comme suit : 1303 pour la spécialité technologie, 1.147 en sciences économiques et de gestion et 613 en sciences de la nature et de la vie.
Quant aux spécialités de chirurgie dentaire, pharmacie et mathématique, on recense respectivement : 68, 127 et 198 nouveaux étudiants en première année. « Plus de 94% de ces nouveaux inscrits sont issus de la wilaya de Tizi-Ouzou, alors que le reste des étudiants provient essentiellement des wilayas de Boumerdès, Bouira et Béjaïa », ont indiqué les responsables de l'université de Tizi-Ouzou.
Les choses ne se déroulent pas tel qu'il se doit donc et il était somme toute prévisible que toutes les difficultés relevées soient au rendez-vous. La principale raison est la précipitation dans laquelle se déroule ladite rentrée. En ces premiers jours de la rentrée universitaire 2013/2014, c'est plutôt au niveau des résidences universitaires que plusieurs problèmes se posent parfois avec acuité pour les étudiants qui y atterrissent.
Les aléas de la rentrée universitaire concernent plus particulièrement les nouveaux étudiants inscrits, a-t-on constaté. La première insuffisance que les étudiants ont eu à affronter, c'est l'absence de restauration, mais aussi celui de l'indisponibilité d'eau potable dans les robinets de la majorité des cités. Dans bon nombre parmi ces dernières, il a été constaté que le service minimum en matière de nettoyage des cités n'a pas été effectué.
C'est le cas au niveau de la cité des jeunes filles de Mdouha, l'une des plus anciennes, située à l'entrée est de la ville de Tizi-Ouzou. Les étudiantes ont dû passer ces premiers jours sans eau ni pour boire et surtout pour se laver. Les étudiants et les étudiantes ont droit à des repas froids puisque les réfectoires sont encore fermés.
Pourtant, il y a plusieurs jours depuis que les étudiants concernés par les examens de rattrapage ont déjà rejoint des cités universitaires de l'université Mouloud-Mammeri qui en compte 7 : Hasnaoua I et Hasnoua II, Boukhalfa, Oued Aïssi, Tamda, Hamlat et l'Habitat. D'autres cités sont toutefois épargnées par ce genre de problèmes comme celle de Hasnaoua II où les étudiantes ont droit à des repas complets au sein de la résidence universitaire et où le problème d'eau ne se pose pas. Les autres étudiants s'interrogent, d'ailleurs, pourquoi des problèmes touchent certaines résidences et non pas d'autres '
Depuis le 4 septembre passé, jour où les premiers étudiants ont commencé à affluer sur l'université de Tizi-Ouzou, c'est plutôt le statu quo. A la résidence universitaire de Oued Aïssi, les universitaires déplorent également une multitude d'insuffisances qui compromettent le bon déroulement de la rentrée universitaire. Le problème que pratiquement l'ensemble des étudiants dénoncent à l'unanimité est celui de l'absence d'hygiène et l'insalubrité qui caractérise les cités U.
Il y a lieu, en outre, de rappeler que le problème qui ne manquera pas de surgir cette année aussi, est celui du sureffectif qui frappe de plein fouet cette université qui voit les rangs des étudiants qui la fréquentent grossir. Ceci, au moment où les infrastructures ne s'améliorent pas à la hauteur de ce changement. Pour cette année universitaire, on comptera 48.000 étudiants au total. Ils seront répartis sur les 7 campus et les différentes cités.
Le nombre des inscrits en première année est de l'ordre de 6.842. Le problème de la surcharge s'exacerbera quand on sait qu'aucune nouvelle infrastructure ne sera réceptionnée au courant de l'année universitaire 2013/2014. Les nouveaux bacheliers seront répartis comme suit : 1303 pour la spécialité technologie, 1.147 en sciences économiques et de gestion et 613 en sciences de la nature et de la vie.
Quant aux spécialités de chirurgie dentaire, pharmacie et mathématique, on recense respectivement : 68, 127 et 198 nouveaux étudiants en première année. « Plus de 94% de ces nouveaux inscrits sont issus de la wilaya de Tizi-Ouzou, alors que le reste des étudiants provient essentiellement des wilayas de Boumerdès, Bouira et Béjaïa », ont indiqué les responsables de l'université de Tizi-Ouzou.


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