Algérie

Une protestation prévue le 20 septembre



Les transporteurs privés sont en ébullition. Ils prévoient un large mouvement de protestation le 20 de ce mois, pour protester contre l'interdiction de leurs activités et ce malgré un déconfinement progressif.Les transporteurs privés sont en ébullition. Ils prévoient un large mouvement de protestation le 20 de ce mois, pour protester contre l'interdiction de leurs activités et ce malgré un déconfinement progressif.
Les bus privés et les chauffeurs de taxis longs trajets ont adressé dernièrement, un courrier au ministre des Transports signifiant leurs refus de se voir "interdire l'activité de transport interwilaya, alors que le déconfinement a été salvateur pour d'autres secteurs". C'est en effet l'Union nationale des transporteurs, syndicat de l'UGCAA, qui reste le plus mécontent dans cette histoire. Dans un communiqué publié hier, l'union déclare que "des pourparlers ont été prévus avec le ministre des Transports pour évaluer la situation et libérer l'activité entre wilayas pour le transport privé".
Cette réunion n'a pas été entamée selon le syndicat, qui précise que "l'ultimatum est donné pour le 20 septembre, pour une réponse à nos préoccupations". Autrement, cette catégorie de transporteurs menace de recourir à une grève qui paralysera l'activité detransport. Le Syndicat national des taxis a, quant à lui, réagi dans sa page Face book en estimant que "les taxis interwilayas sont lésés depuis des mois, suite à l'apparition de la pandémie et le confinement qui ontbaissé le chiffre d'affaires des taxis et induit de grosses pertes". Aujourd'hui et bien que la situation sanitaire tend un peu à s'améliorer, lesprotestataires invoquent encore une "situation de détresse", dont l'interdiction faite durant les week-ends, et même parfois durant la semaine, les obligent à arrêter nettement. Dans une précédente édition, nous avions signalé que la situation des transporteurs privés prêtait à être relancée. Les différents représentants du secteur privé avaient misé la rentrée, en garantissant un respect strict des gestes barrières et du protocole sanitaire en vigueur.
Mais ces derniers n'ont reçu, depuis l'été dernier, aucune réponse où les responsables invoquent toujours le même motif de risque accru des rassemblements de voyageurs pour ce qui est bus et autocars. Un argument qui est rejeté par les syndicats qui estiment que certains engagements ne ce sont pas traduits dans le terrain. Parmi les mesuresprises par le gouvernement, rappelonsle, il y la compensation accordée à tout transporteur privé qui a subi les dommages du confinement pendant ces 5 derniers mois. De plus, il y a la réductiondes charges pour les assurances, comme une doléance adressée à la tutelle et qui n'a pas abouti à une réponse. Il faudra attendre la réponse prochaine du ministre surcette situation qui perdure
Les bus privés et les chauffeurs de taxis longs trajets ont adressé dernièrement, un courrier au ministre des Transports signifiant leurs refus de se voir "interdire l'activité de transport interwilaya, alors que le déconfinement a été salvateur pour d'autres secteurs". C'est en effet l'Union nationale des transporteurs, syndicat de l'UGCAA, qui reste le plus mécontent dans cette histoire. Dans un communiqué publié hier, l'union déclare que "des pourparlers ont été prévus avec le ministre des Transports pour évaluer la situation et libérer l'activité entre wilayas pour le transport privé".
Cette réunion n'a pas été entamée selon le syndicat, qui précise que "l'ultimatum est donné pour le 20 septembre, pour une réponse à nos préoccupations". Autrement, cette catégorie de transporteurs menace de recourir à une grève qui paralysera l'activité detransport. Le Syndicat national des taxis a, quant à lui, réagi dans sa page Face book en estimant que "les taxis interwilayas sont lésés depuis des mois, suite à l'apparition de la pandémie et le confinement qui ontbaissé le chiffre d'affaires des taxis et induit de grosses pertes". Aujourd'hui et bien que la situation sanitaire tend un peu à s'améliorer, lesprotestataires invoquent encore une "situation de détresse", dont l'interdiction faite durant les week-ends, et même parfois durant la semaine, les obligent à arrêter nettement. Dans une précédente édition, nous avions signalé que la situation des transporteurs privés prêtait à être relancée. Les différents représentants du secteur privé avaient misé la rentrée, en garantissant un respect strict des gestes barrières et du protocole sanitaire en vigueur.
Mais ces derniers n'ont reçu, depuis l'été dernier, aucune réponse où les responsables invoquent toujours le même motif de risque accru des rassemblements de voyageurs pour ce qui est bus et autocars. Un argument qui est rejeté par les syndicats qui estiment que certains engagements ne ce sont pas traduits dans le terrain. Parmi les mesuresprises par le gouvernement, rappelonsle, il y la compensation accordée à tout transporteur privé qui a subi les dommages du confinement pendant ces 5 derniers mois. De plus, il y a la réductiondes charges pour les assurances, comme une doléance adressée à la tutelle et qui n'a pas abouti à une réponse. Il faudra attendre la réponse prochaine du ministre surcette situation qui perdure


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