Algérie

Une présidentielle «en son temps»



Une présidentielle «en son temps»
Messahel a affirmé que les élections présidentielles se tiendront «à la fin du mandat du président de la République». Bouteflika, a-t-il dit, a instruit le gouvernement pour bien préparer ces élections «dans le cadre des lois en vigueur». Il confirme la présence d'observateurs étrangers à cette occasion «mais aussi nationaux». A propos de la révision de la Constitution, il rappellera que la commission mise en place à cet effet a remis son rapport au président de la République. «C'est au président que revient la prérogative constitutionnelle de décider de l'opportunité et du timing de cette révision», a-t-il souligné. Interrogé sur la suite à donner aux accusations contre l'ancien ministre de l'Energie, Chakib Khelil, le ministre de la Communication répondra «quand la justice est saisie d'un dossier, je ne peux en parler».A propos des déclarations de Saïdani, Messahel lancera en premier que «la question devrait lui être posée». Il dira que «l'Exécutif applique et réalise sous la direction du 1er ministre le plan pour lequel le président a été élu». Et précisera en outre que «ce qui a été dit par le SG du FLN relève d'un parti politique». Il affirme cependant que «je suis là en tant que membre du gouvernement» mais rappelle que «je suis membre du Comité central, cette instance se réunira le 16 novembre prochain»… Interrogé avant sur les nominations de personnes qui ont des liens de parenté avec de hauts responsables, Messahel interrogera «celui qui a un fils ou un frère responsable n'a plus le droit d'exercer une fonction supérieure ou quoi '!»


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