Algérie

Une ''ONG printaniste'' corrompue qui doit disparaître du paysage médiatique algérien et africain !



Imaginons une Radio dite «F », financée par l'Algérie, exerçant en France, sans agrément, dirigée par un Français nommé E.K Isidor avec son adjoint françaisK. Didier ayant pour mission d'inciter les Français à la révolte et au désordre pour destituer leurs dirigeants civils et militaires obéissants aux injonctions et ingérences algériennes.
Au nom de la liberté d'expression, leur crédo, le peuple français et ses gouvernants seront là pour la défendre et son administrateur récompensé par un prix ! RSF sera certainement en première ligne pour approuver et féliciter cette action ! Patience ! Pas de panique, ce n'est que de la fiction!
Un Parlement européen corrompu, infesté de gredins
Il est évident que c'est sous influence de RSF et ses mentors, que le Parlement européen avec des députés corrompus, dans le «moroccogate»et «qatargate», s'est ingérer dans les affaires algériennes en votant une ''résolution'' (qui n'est pas la première) condamnant l'Algérie à propos des «droits de l'Homme», «la liberté d'expression» demandant aux autorités algériennes avec des manières effrontées, pernicieuses de libérer Ihsane El Kadi «condamné par la justice pour financement étranger et non sur ses écrits». Le monde et les citoyens européens savent que ce Parlement n'a aucune crédibilité pour juger qui que ce soit ! Il faut vraiment être atteint d'une aliénation mentale due à l'emprise de l'argent, des vacances royales gratuites, d'addiction à la luxure pour se laisser guider par des escrocs, aussi fripouille qu'eux.
C'est-à-dire par des Etats corrupteurs et une multitude de canailles regroupées dans des «ONG». RSF, de droit français, est bien l'initiatrice de cette résolution juste suite à une lettre transmise à la Présidence algérienne des mains de son représentant. Que peut bien faire à l'Algérie ce Parlement de gredins ? incapables de défendre les intérêts de leur pays face aux actions destructrices de leur économie, en déclin, par leur maître US ? discrédité par la corruption en plus d'être sans souveraineté et fortement affaibli par la gifle russe '
Diversion pour cacher leurs tares qui consiste à se rabattre souvent sur les pays africains pour certifier leur pseudo-puissance afin de se consoler et d'atténuer leur humiliation ' «Qui se fait ange n'est bien souvent qu'un diable qui se cache» (proverbe italien) ! Même les pressions les plus ardues en complots politiques, économiques ou terroristes ont été mises en échec ! Sa «Cour» des droits de l'Homme serait aussi financée par le milliardaire G. Soros, selon «Valeurs
actuelles». En conformité avec ses principes, l'Algérie va la négliger tout en réservant à cette ingérence crasse et méprisante une suite appropriée ; elle a suffisamment de ressorts pour le faire.
Les Algériens ont appris que quand il y a des «campagnes», initiées depuis l'étranger, c'est qu'il y a tromperie et RSF par cette action vient de fournir un motif inespéré pour que l'Etat prenne des mesures légales et légitimes ! À notre avis, bannir cette ONG funeste du paysage médiatique algérien (voire de toute l'Afrique) est salutaire ! Ainsi, elle sera remise à sa place géographique d'où elle disparaîtra également faute de matière ou de thème et donc d'activité ! En attendant, l'Assemblée algérienne a condamné cette «résolution» la jugeant «une immixtion éhontée dans les affaires internes du pays», suivie du Parlement arabe qui recommande de cesser de s'ingérer dans les affaires internes des pays arabes.
Pour notre part, nous pensons que ce Parlement a beaucoup à faire en matière des droits de l'Homme et des libertés d'expression à l'intérieur de ses frontières avant de regarder ailleurs, souvent vers des pays qui la dépassent dans ce domaine. Le «hirak» en Algérie qui a mobilisé des millions de citoyens dans plusieurs villes durant plus d'une année n'a pas enregistré un seul mort ou subit la répression ou les interdictions que l'on constate en France par exemple.
La presse algérienne et ses journalistes sont bien plus libres avec des analyses de qualité que la leur concentrée et dirigée par des lobbies de pression où les journalistes réduits à des «plumitifs» se contentent des communiqués, les obligeant à mentir et à faire dans la subversion pour semer le désordre dans les pays visés tout en leur donnant la liberté d'émettre leurs avis, mais sans sortir du cadre idéologique et politique tracé au risque de se retrouver en chômage ; d'où le qualificatif de «mainstream». La censure ou l'interdiction des médias est devenue une pratique légale sous les prétextes «désinformations» ou «propagande» (contre RT ou Sputnik par exemple, et même ''France-Soir''), alors qu'eux-mêmes ne débitent que cela et médiocrement, à longueur d'année. Ils feignent parfois quelques auto-critiques, mais c'est pour distraire afin de mieux faire passer le prochain mensonge. Cela n'existe pas en Algérie ! RSF ne dit rien, car elle ne voit que ce que lui montre le doigt de ses maîtres hors de leurs frontières ! Le système judiciaire, malgré quelques insuffisances et injustices durant la gouvernance déchue par le peuple, a repris son indépendance en regagnant méthodiquement ses lettres de noblesse contrairement à la propagande.
Ces «milieux» et «organismes justiciers» sont des fossoyeurs qui accablent plus qu'ils n'assistent ! Ils vivent aux dépens du malheur de ceux qu'ils manipulent, en faisant en sorte que leur malheur dure le plus longtemps possible !
Comme les Occidentaux sont toujours en avance, en matière des «droits de l'Homme», nous pensons qu'ils doivent redoubler d'efforts pour faire avancer les projets d'avenir des LGBT, encourager la pédophilie, les mariages entre personnes du même sexe, les changements de sexe pour instaurer une société nouvelle avec des êtres nouveaux plus équilibrés, intelligents et productifs afin qu'à terme, les pays émergents adoptent facilement leur nouvelle civilisation avancée. Terminons par ce commentaire de Jacques-Marie Bourget (grand reporter et écrivain, blessé «à mort» par un sniper sioniste de Tsahal) suite à une interview réalisée par le quotidien algérien L'Expression de décembre 2020 : «Ce très grave épisode de ma vie m'a encouragé à m'informer sur la vraie nature de RSF. Une association... qui vit... d'argent public : français, américain ou autre. Si RSF ne m'a pas défendu, c'est pour ne pas offenser l'Etat d'Israël... Il faut savoir que, dans le classement mondial... RSF s'est arrangé pour ne prendre en compte que les seuls critères qui concernent Israël.... Tous les crimes et violences contre la presse palestinienne, toutes les exactions commises par Israël en Palestine occupée, colonisée, ne comptaient pas. On pouvait assassiner des reporters, des photographes, sans que la cote d'Israël chute dans le classement des libertés de presse. Imaginez que j'ai été blessé par l'armée nationale lors d'un reportage en Algérie.
Je passais immédiatement au rang de héros.
RSF est un outil à l'indignation sélective. Il est exact de dire que la NED, (National Endowment for Democracy), a soutenu RSF. Qui, en conséquence, est structurellement un outil de la propagande atlantiste.
Soyez sûr d'une chose, RSF ne fera rien qui puisse chagriner Washington. RSF, s'est retrouvé à court d'argent après le départ de son patron Robert Ménard. Un Ménard qui avait eu le culot, avant de quitter RSF, d'aller chercher des fonds au Qatar. Christophe Deloire, le nouveau patron de RSF, s'en est allé, lui, faire la quête au Gabon et au Maroc, main dans la main avec le quotidien Libération. Mieux, Deloire est allé aussi faire tendre la main en Israël où il a reçu, pour son «ONG», une sorte de prix Nobel israélien doté d'une pluie de dollars».
«L'argent qu'on possède est celui de la liberté ; celui qu'on pourchasse est celui de la servitude». (Jean-Jacques Rousseau)
( Suite et fin)


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