Le «geste» de la CFA est louable, mais il ne fera pas oublier aux proches et collègues du défunt l'absence d'un représentant de cette structure lors de l'enterrement du jeune arbitre, le 14 octobre, et plus encore l'absence, depuis ce jour, de la moindre «petite» condoléance de la part de la CFA à la famille du jeune arbitre disparu. Pis encore, dans sa correspondance adressée à cet effet (demande d'observation de la minute de silence), la CFA indique le 14 octobre comme jour de la disparition de Ramdane Lahreche, alors qu'en fait il est décédé le 13 octobre. C'est dire combien le décès de ce serviteur de l'arbitrage a bouleversé sa hiérarchie… au point où elle ne fait pas la différence entre le jour de sa mort et celui de son enterrement, sans parler de l'absence remarquée de ses représentants à Ouargla et de la moindre condoléance. Ainsi va le monde du football et de l'arbitrage.
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Posté Le : 22/10/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Yazid Ouahib
Source : www.elwatan.com