Une enseignante, pro-fesseur au CEM Aïssa-Dat Nitakayne d’Hussein-Dey, a été surprise de recevoir trois convocations de surveillance pour les examens de fin d’année (6e, BEM et bac), alors qu’elle est en arrêt de maladie.
Son état de santé a nécessité une intervention chirurgicale à deux reprises (2002 et 2005) et actuellement elle est suivie pour dépression.
À la suite de quoi elle a été dispensée de toute surveillance par sa tutelle. Nous nous interrogeons comment une dépressive peut veiller au bon déroulement des épreuves d’un examen.
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Posté Le : 31/05/2008
Posté par : sofiane
Ecrit par : Rédaction de Liberte
Source : www.liberte-algerie.com