Algérie

Une instruction présidentielle piétinée



Après le plafonnement du SNMG à 15 000 DA à partir de janvier 2012, Salah Barbeche continue à percevoir son ancienne pension de retraite de 7500 DA.
Père d'enfants et malade, le susnommé ne sait quoi faire devant le silence de la CNR, agence locale de Sétif, auprès de laquelle il a introduit deux demandes de régularisation. Le pauvre retraité qui n'est autre qu'un ancien soldat ayant fait la guerre de 1967 au Moyen-Orient, s'est en outre présenté à deux reprises sans recevoir les explications nécessaires quant à son exclusion du bénéfice de l'augmentation accordée à tous les travailleurs et retraités n'atteignant pas le SNMG.
Au niveau de cette administration on continue à lui faire entendre que son cas sera soumis à une commission qui tranchera. Blessé dans son amour-propre, le brave soldat s'interroge: «Depuis quand les décisions présidentielles sont elles soumises à l'aval de l'administration locale'» la question de Salah, plus connu sous le sobriquet Khemissi, mérite des éclaircissements car le procédé de la caisse s'apparente à la fois à une bourde administrative et à un abus déguisé.




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