Depuis la promulgation de la loi portant la régularisation des logements publics locatifs du patrimoine immobilier de l'Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI), direction générale de la wilaya direction d'Aïn Témouchent, cédés entre personnes sans acte de vente, beaucoup de litiges et de conflits ont émergé dont certains sont parvenus aux tribunaux.La plupart de ces cas concernent les logements cédés par la formule d'actes de désistement ou de reconnaissance de dettes établis par les notaires ou huissiers de justice étant donné que la vente légale de ce type de logement était interdite à cette époque. Ainsi triste fut la journée mondiale de la femme pour la citoyenne M'rah Amaria qui a été expulsée de son logement du type F3 situé dans la cité des 1000 logements dite Hay Meziane à Aïn Témouchent après l'avoir occupé à partir de l'année 2005. Maintenant, elle se retrouve à la rue. Cette infortunée Témouchentoise a déclaré à la presse locale : «Je suis victime d'une escroquerie tissée par une mal intentionnée personne. En fait, à partir du 17 septembre 1997, ce logement en litige a fait objet de quatre opérations de vente successives par désistement dont je suis la dernière acquéreuse. J'étais surprise par l'action d'expulsion entamée par la première locatrice.» Les voisins voient que cette affaire est rocambolesque et que seule la justice puisse dénouer.
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Posté Le : 11/03/2018
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Moulay Djelloul
Source : www.lnr-dz.com