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« Une expérience réussie qui doit être poursuivie » A travers la couverture médiatique du salon



« Une expérience réussie qui doit être poursuivie »                                    A travers la couverture médiatique du salon
Les journalistes algériens et étrangers qui ont assuré la couverture de la 17e édition du SILA, salon international du livre d'Alger, qui a pris fin hier, ont qualifié cette manifestation d'expérience réussie qui doit être poursuivie. Les journalistes interrogés ont relevé le succès de ce SILA, en dépit de certaines insuffisances. Nadji Debache, journaliste photographe français, a indiqué que « l'organisation d'un salon de cette envergure n'est pas aisée », affirmant que l'Algérie a prouvé sa capacité d'abriter une manifestation de cette importance et a réussi malgré quelques insuffisances ». C'est le cas de Hayat Sartah, journaliste au quotidien « El Fadjr », Sassia, journaliste au quotidien « Le temps d'Algérie », qui déplorent l'impossibilité de tout couvrir en raison de la dispersion des endroits où se déroulent les festivités. Pour sa part, Nouara Lahrach, journaliste au quotidien « Nasr », regrette le manque de transport qui dessert ce lieu, notamment, précise-t-elle, de nuit. Quant à Z'hor Gharbi, journaliste au quotidien « Chourouk », elle a qualifié ce salon d'expérience importante qui doit être renouvelée, soulignant la diversité des activités dans différentes salles et espaces, ce qui rend difficile une couverture complète ». De son côté, Nadjoua Karika, journaliste à l'ENTV, témoigne : « C'était une bonne couverture et un bon salon. Toutefois, je préconise aux professionnels du livre de mieux travailler et d'investir les contenus, surtout le livre d'enfant ». Le journaliste Ammar Cheriti, de la Radio internationale, a vu, dans ce salon, « une opportunité unique en son genre car rassemblant plus de 600 éditeurs d'une quarantaine de pays qui ont apporté une grande richesse culturelle ». Un éditeur égyptien spécialisé dans le livre universitaire, a affirmé qu'il ne pensait pas que le SILA « allait remporter autant de succès. Je suis ébahi par la parfaite organisation de cet évènement qui a été une heureuse occasion de prendre connaissance de la culture algérienne ». Pour M. Dorian, journaliste anglais, le seul obstacle rencontré par certains journalistes anglophones est « linguistique car toutes les activités se sont déroulées en arabe et en français, espérant que d'autres langues seront ajoutées lors des prochaines éditions du salon du livre ». Samira Lakhdari, journaliste au quotidien « Chaâb », a estimé que ce salon est « un apport riche au plan de l'information pour tous les journalistes qui l'ont couvert, tout en remerciant les autorités pour les conditions mises en place ».


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